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Version complète : Un petit peu de musique classique ...
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Merci, une version intéressante de cette merveilleuse symphonie !
Chopin : Concerto piano n°1

Après avoir partagé mon coup de coeur avec Alain Lompech qui commentait le 1er concerto de Chopin dans la tribune de disques et avec Mellowman qui comme moi vise à retrouver chez lui les émotions (parfois) ressenties au concert me voilà à vous le présenter
Non présente à la tribune des critiques de disques (qui a sélectionné la version plus qu'honorable de Benjamin Grosvenor), ma version préférée et de Très loin est celle de G Bellucci et de l'orchestre de Montpellier dirigé par A Altinoglu.
Le piano est d'une subtilité d'une ductibilité et d'une éloquence rare, les phrases évitant toute répétition (c'est la marque de fabrique de Giovanni Bellucci).
L'orchestre est à l'avenant, mettant en évidence des détails d'instrumentation jamais entendus sans pour autant se perdre dans le chichi (est-ce un effet des retouches d'orchestration apportées par Trausig?)
Une version à mon goût très au dessus de celle des concurrents ...
https://www.qobuz.com/fr-fr/album/chopin...2894804110
Je ne suis en general, pas trés fan des reprises et adaptations.
Dans un style qui n est pas absolument "academique" ce qui  n empêche pas le talent et la virtuosité.

Une adaptation de Toccata et Fugues pour cordes, qui m a trés agréablement surpris, Pour ceux qui ne connaissent pas.

Pour info j'ai acheté le CD et je ne le regrette pas.

Nemanja Radulovic.


Je ne me souviens pas s'il y a une adaptation typé Bach en contre-points mais une réécriture façon Mozart, Schumann, Beethoven ou autres... Si !

https://youtu.be/WRfsibwR5x4?si=zKvdBNzKnT6uceWg

Je vous laisse decouvrir le thème principal.
(01-12-2024, 06:18 PM)Phoebus a écrit : [ -> ]Je ne suis en general, pas trés fan des reprises et adaptations.
Dans un style qui n est pas absolument "academique" ce qui  n empêche pas le talent et la virtuosité.

Une adaptation de Toccata et Fugues pour cordes, qui m a trés agréablement surpris, Pour ceux qui ne connaissent pas.

Pour info j'ai acheté le CD et je ne le regrette pas.

Nemanja Radulovic.



Merci. Je trouve la prise de son très bonne. par contre, le tempo de l’exécution est un petit peu rapide à mon goût.
Les quatuors de Janacek interprétés par le Quatuor Juilliard. Jamais entendu auparavant, merci Qobuz.
Une interprétation "différente" des habituels quatuors tchèques, très intéressante, à découvrir.
(01-07-2024, 12:34 PM)Olive a écrit : [ -> ]Bonne année les zenfants!

Un peu de Mahler pour se souhaiter plein de bonheur...

Version Barbirolli/New philharmonia

[Image: 20240107-112951.jpg]

Mahler...mon compositeur préféré !
Commencer l'année avec la symphonie tragique...excellent!
La 6ème est une des plus belles, je ne connais pas la version Barbirolli
J'imagine qu'elle est d'une très haute volée
Cet enregistrement est d'une qualité assez exceptionnelle, tout est à sa place et "naturel", les cuivres sont d'une rare puissance.
Côté interprétation, c'est une version sombre, large.
(01-22-2024, 01:23 AM)Pat91 a écrit : [ -> ]
(01-07-2024, 12:34 PM)Olive a écrit : [ -> ]Bonne année les zenfants!

Un peu de Mahler pour se souhaiter plein de bonheur...

Version Barbirolli/New philharmonia

[Image: 20240107-112951.jpg]

Mahler...mon compositeur préféré !
Commencer l'année avec la symphonie tragique...excellent!
La 6ème est une des plus belles, je ne connais pas la version Barbirolli
J'imagine qu'elle est d'une très haute volée

Quel "pif" : CR la tribune des critiques de disques cette semaine :
Aucune concession. La symphonie vue par John Barbirolli est sombre, verrouillée, comme une mise au tombeau, que traduit un premier mouvement qui empoigne immédiatement par un son ramassé, pigmenté – le parti-pris du monumental sera la clef de voûte de l’interprétation. Le tempo, continuellement lent, transforme le Scherzo en une danse de mort, un bal des vampires aux timbres tordus et grinçants. Désolé, le mouvement lent joue sur la dilatation du temps, et le final est une veillée d’arme : rôde l’ombre du Dies Irae rôde, puis le glas s’abat, faisant souffler le vent de l’enfer ; le dernier accord est un clou sur le cercueil, annihilant tout espoir. On n’en sort pas indemne.
Une merveille mais pas un monument d'optimisme en ce début d'année. Personnellement j'ai voté pour la version Bernstein et le Philarmonique de Vienne également indispensable.
A noter la belle prestation de l'Orchestre du Minnesota, dirigé par Osmo Vänskä avec une prise de son récente de haute tenue.