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La tournée des popotes
Bonsoir

Merci pour cet éclairage. 

Si des vinyles pressés depuis de nombreuses années à partir de masters numériques sonnent vraiment mieux que leurs versions numériques, on peut peut-être en déduire que le DAC MSB utilisé n’est pas à la hauteur.
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Je pense que pour ces vinyles il n’y a pas eu d’étapes numériques.

Un de ses propos concernait les câbles numériques, avec le constat qu’ils posent beaucoup de problèmes. On en est tous conscients. Ça n’explique pas comment en 70 ans malgré des mesures en progrès énormes on n’a pas été foutu d’améliorer le résultat réel, celui perçu par nos oreilles.
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tien tien tien  Big Grin
une platine de course sur des J24+Devialet ... je sais où tu peux en écouter une Smile
Jalucine 24 - Devialet 220 expert Pro - Platine vinyle Pierre Riffaud Saturn+Decca London Référence - Nano player V4 Prémium 3dlab - essais de différents switch pas chers
Ma config http://forum-hifi.fr/thread-15822.html
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Bonjour

Après quelques recherches, je m’excuse d’avoir dit des grosses bêtises. Je commence bien ici Pasvoir

Le mastering du fameux album d’Armstrong et Fitzgerald a été effectué par Ryan Smith dont on trouve des vidéos explicatives sur YouTube. 

Il a été effectué à partir des bandes, aussi pour le CD. Et pour le vinyle, le mastering est différent de celui du CD pour tous les paramètres, EQ, compression, niveaux. 

Jalucine a raison, aucune phase numérique pour cet album et ma suggestion de comparer les versions n’a pas de sens, quand quel que soit l’album, le mastering est forcément différent entre Vinyle et CD. 

Mes excuses…
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No problèmo
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Pour revenir sur les anciens/récents enregistrements, sur Qobuz, donc tout passé à la moulinette numérique, à partir du morceau "Comes love" cité dans la playlist de Plugnprod, mais bien connu, on tombe sur les interprétations de  Nikky Yarofski, du monde moderne, d'Ella et Louis, de Billy Holiday, Joni Mitchell, Sarah Vaughan, Peter Cincotti, Maria Kim, Sheila Jordan, Stacey Kent, Alice Ricciardi, 

C'est intéressant d'écouter toutes ces versions, bien sûr pour les qualités d'interprétations, les accompagnements variés, les timbres de voix différents, mais aussi les grandes variations dans les résultats "techniques" d'enregistrements, différents micros, différentes distances des voix au micro, image sonore et positionnement de la chanteuse dans l'orchestre, équilibre des timbres instrumentaux, etc. Celle de Nikky Yarofski montre toute la capacité de bricolage du son moderne, très bon pour auto-radio, très artificiel sur système hifi.

La voix de velours d'Ella Fitzgerald remporte facilement la mise.

L'interprétation de Stacey Kent sort aussi du lot, sur les plans musicaux et techniques. Celle de Sheila Jordan est aussi sympa.

Les enregistrements les plus "crédibles" et qui nous mettent le mieux dans l'ambiance cool de cette composition sont sans discussion les plus anciens. Un de ces jours, je comparerai vinyl/démat. Jusqu'à présent, mais que depuis quelques années (une dizaine), j'avais mis à quasi égalité les deux sources, suivant les disques et les enregistrements, avec plus souvent un avantage au démat, car avec le rendement des Onken (ou Goto), l'abaissement du bruit de fond prend des proportions critiques, avec des micro-informations qui apparaissent, et la dynamique qui subjectivement n'est pas forcément supérieure en démat, passe quand même mieux en numérique sur les messages à très forte dynamique qui montrent les limites du vinyl. Et puis tout le protocole, pour ne pas dire le rituel ou le cérémonial de la galette noire finit par me gonfler. 

Après, cela dépend des sources disponibles, mais je pense que j'ai un certain équilibre qualitatif entre les deux.
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Un site de comparaison "technique" des versions.
Malgré le fait qu'il soit en British, c'est bien un Français qui officie, Jean-François.

Le site et la chaîne Youtube
https://magicvinyldigital.net
https://www.youtube.com/channel/UCuEja-C...fG7iea3EgA
Mais qu'est-ce qu'on fabrique ?
Ca : http://forum-hifi.fr/thread-6049.html
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Nouvelle visite chez Euterpe pour constater ses évolutions de système et faire un essai de préamplificateur passif (pour le volume) que j’avais apporté. 
Cet essai n’a pu se faire car les sensibilités sortie du DAC et entrée de l’ampli n’étaient pas compatibles.

Pour le reste, on peut déjà se référer au texte et explications de ma première visite, pour évaluer les changements :

http://forum-hifi.fr/thread-9266-post-80...#pid803954

Nouveaux câbles RCA, nouvelles « terres » virtuelles sur chaque appareil, nouveaux pieds plus ou moins amortisseurs sur les enceintes et le filtre secteur !

Les « terres » virtuelles sont des boitiers remplis de « limaille » métallique, dont du cuivre, raccordés à des prises de masse des appareils, ampli, CD et ordinateur, mais pas raccordés entre eux ni à la terre électrique de la maison. 
Je ne peux pas vous dire comment cela marche ! 

Marc Philip m’impressionne dans sa gestion de tous les points annexes de la mise en oeuvre de son système. 
Je ne connais personne qui va aussi loin dans les détails. 
Il y a aussi un résonateur de Schumann, c’est dire que l’on peut rester quelque peu perplexe. 
Mais c’est cela l’intérêt de visiter d’autres « grands amateurs », on risque de découvrir de l’inattendu !

À l’écoute, l’impression est meilleure que la dernière fois, avec un haut médium-aigu très propre, détaillé, très peu de distorsion subjective, beaucoup de transparence, signe que la source et l’amplification font du bon boulot, et que tous les détails de mise en oeuvre doivent avoir un effet positif, même si on n’a pas cherché à revenir pour chaque chose sur la situation antérieure, histoire de jauger l’intérêt de chaque élément. 
Sauf sur un : les pieds sous le dispositif de filtrage du secteur contenant simplement un transfo dont je n’ai pas les caractéristiques. 
Cet appareil est déjà posé sur deux plaques qui doivent déjà amortir le passage des vibrations, un transfo, ça vibre. 
Donc on peut penser que les pieds, des genres de rondelles en bois multiplis dense, vont avoir un effet très relatif. 

Pourtant, l’écoute avec ces pieds fait preuve de beaucoup de clarté et de résolution, plutôt plaisant comme équilibre, mais je trouve que la voie grave est en retrait. 
On enlève ces pieds et l’équilibre tonal retrouve à mon goût un naturel plus évident, un raccordement des voies avec plus d’homogénéité dans la reproduction globale des timbres, même si on perd une partie de l’impression de grande transparence du système. 
Il y a toujours un compromis à trouver entre l’incarnation et la transparence. 
Je suis toujours moi-même à la recherche du meilleur compromis sur une moyenne de pistes musicales. 
Sur le plan de la profondeur d’image, la seconde formule est également plus convaincante que la première qui rapprochait la scène sonore. 
Bref, que des rondelles de bois sous un tranfo posé sur les plaques plus ou moins amortissantes puissent avoir un effet significatif sur l’équilibre global du système laisse songeur. 

Les 38 cm des boomers n’ont pas des moteurs magnétiques impressionnants et je reste étonné de leur alliance globalement réussie avec une chambre de compression médium-aigue. 
J’aurais besoin des caractéristiques des différents HPs et du filtre pour savoir comment ça marche, mais il faut reconnaître que le système est agréable à écouter, sans la dynamique assez perturbante des Goto ou des Onken, juste ce qu’il faut pour la belle musique.
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Merci Philippe pour ce compte rendu fidèle de ce que nous avons vécu.

En effet, il y eu de l'évolution depuis quelques semaines.

J'ajoute que je commence à mieux domestiquer le transfo d'isolation en l'occurrence un Powertore 450 Signature, qui n'était pas up-gradé lors de ta première visite.
https://www.magazine-audio.com/transfo-d...powertore/

J'ai fini par trouver le juste compromis afin d'obtenir cette fameuse clarté sur le médium/aigu sans avoir à rogner sur la restitution du grave.

Pour ce faire, cet après midi j'ai choisi de découpler sous le boulon qui maintient le transfo avec un visco-élastique semi dur, genre contre-pointe de plywood à 13 plis en merisier surmontée d'un insert en caoutchouc.

Le couplage central plywood+composite ayant apporté seulement un bienfait sur le mid/high et le montage d'origine sur les 4 pattes en caoutchouc bridant quelque peu la dynamique, il est apparût évident de combiner le principe des deux afin de libérer les performances du Powertore.
Je reste toujours fasciné par le rendu sonore que l'on peux modeler à sa guise, ou presque, en utilisant de simples moyens mécaniques de couplage ou découplage.

Concernent les terres virtuelles, j'ai délibérément choisi de raccourcir le fil qui les relient aux appareils respectifs et d'utiliser des connecteurs plaqués rhodium.
Après moult essais, nous en sommes venus à cette conclusion.

Les nouveaux câbles RCA sont des modèles FirstVoice Doctor's Câbles, élaborés par jacques Bloch qui les a conçus en partant d'un coax en argent avec un double blindage et un boîtier genre terre virtuelle sur chacune des voies en son centre.
Ce câble RCA tiens compte de la règle mathématique du nombre Phi.

Le but de tout ceci étant de libérer la pleine plage dynamique, sans nuire à l'équilibre tonal, même sur un système comme le miens relativement simple.

Les personnes qui sont venus écouter chez moi il y a ne serait-ce que 1 mois, vont être étonnés des améliorations, si vous souhaitez revenir.
Webzine multi-média : http://www.magazine-audio.com
Junilabs Audio Player, Jundac 6 (R2R), CDP integris, Amplificateur B&K 200.2 S Reference,
Open Baffle PureAudioProject Trio 15 Horn 1, Juniwave 2 Edition limitée, FirstVoice Powertore 450 Signature - FV doctor’s câbles et inovaudio.


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Ton système comprend énormément d'éléments originaux, peu connus en France, comme les enceintes et l'électronique, et la masse de détails annexes dont j'ai beaucoup de mal à comprendre le fonctionnement. Il est certain que la transparence et la résolution sont au dessus de la moyenne donc je ne mets pas en doute l'intérêt des accessoires comme les pieds spécifiques utilisés pour les enceintes, le transfo sur le secteur ou l'électronique. Moi, je suis resté à une conception assez basique des pieds d'appareil. Dans un système hifi, la plupart des éléments génèrent des vibrations par leur fonctionnement, et ces mêmes éléments sont en même temps perturbés dans leur fonctionnement par ces vibrations, que ce soit les enceintes ou l'électronique comme les câbles ou n'importe quel composant électrique soumis à un courant non continu. Donc en général on a intérêt à utiliser des pieds qui évacuent les vibrations parasites de l'appareil vers une "terre mécanique" qui est en général le sol. Mais si le sol est constitué d'un plancher qui transmet des vibrations, il faut se préoccuper des vibrations du sol qui remontent vers les appareils. D'où l'idée des cônes qui théoriquement transmettent que dans un sens. Mais il y a des situations où des pieds qui "isolent" par un matériau "mou" parait intéressant subjectivement pour protéger un élément des vibrations externes, surtout valable quand par exemple une électronique a son alimentation déportée. Mais quand un pied comprend à la fois des pièces qui "transmettent" et des pièces qui "ne transmettent pas" les vibrations, cela devient compliqué à gérer, sinon à constater un résultat subjectif sans vraiment comprendre ce qu'on amortit et ce qu'on laisse passer. Dans mon expérience avec les cônes, il suffit d'une couche de colle pour diminuer leur effet et si je veux vraiment évacuer les vibrations d'un coffret, il faut que la base du cône en métal soit vraiment au contact du métal du coffret. Et si en plus il y a une plaque de marbre posée sur l'appareil, c'est encore mieux. Et un sandwich bois sablé, c'est le top.

Il faudrait avoir des capteurs de vibrations pour savoir ce qui se passe sur la question un peu partout dans chaque système. On comprendrai mieux cet aspect très important de la HIFI. Si j'avais ton système, j'agirai sur les pires vibrations parasites de n'importe quel système : celles des haut-parleurs. Je ferai une colonne très lourde avec béton et sable sur laquelle viendrait s'appuyer les moteurs des 38cm pour leur donner de l'inertie et les empécher de transmettre leurs "réactions" aux mouvements des équipages mobiles à toute la structure des baffles plans. Il y a certainement beaucoup à gagner aussi sur ce point.
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