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Baffle plan et Ripole. 26Nov et 3dec 2022
#1
…… (Ten) Ground Control (Nine) to Major Tom (Eight, seven).
(Six) commencing (Five) COUNTDOWN, engines on
(Four,Three,Two)
Check ignition (One) and may God’s love (Lift off) be with you.
……

J’ai trouvé que les paroles de Space Oddity collaient bien au contexte. 
Je l’ai évoqué sur un autre fil hier, mais les rencontres, c’est plutôt ici que cela se passe. 
Donc voila. Ce n’est pas encore pour moi le Day1 du grand jour, mais le moment me semble venu pour faire découvrir ces enceintes sans boites. 
Je propose à ceux qui seraient intéressés par une écoute de baffle plans et de ripole de venir chez moi ce samedi après-midi. Disons à partir de 14h. 

Au programme, trois paires d’enceintes ouvertes.
Une paire de baffle plans trois voies, 46cm pour le grave en actif, medium de 25cm et tweeter AMT
Une paire avec grave de 38cm en ripole actif, Médium de 21cm et tweeter AMT.
Et un dernière paire avec 2x 46cm en ripole actif, medium de 31cm (EMS LB12) et tweeter AMT
Je vous mets les courbes de réponses pour info, ce sont toutes des enceintes qui descendent très bas et très proprement avec du niveau. Ce sont des enceintes qui offrent une scène sonore très large et une belle immersion.
Par rapport au baffle plan, et à prestations équivalentes, le ripole est peut être un peu plus dans l’impact et le BP dans l’ouverture, la diffusion. Je n’en dis pas plus, venez les découvrir 
Je suis à la pointe sud du 77, à Beaumont du Gatinais. 

Bonne journée 

Paul
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#2
Salut Bela,
dommage que j'ai déménagé, je serais bien venu les écouter ces enceintes
belle musique à toi  Smile
système  https://www.casimages.com/i/231029024654...0.jpg.html
pc diy - dac et électronique Naim - enceintes Xulyde MD1
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#3
(09-08-2021, 05:04 PM)rico25 a écrit : Salut Bela,
dommage que j'ai déménagé, je serais bien venu les écouter ces enceintes
belle musique à toi  Smile

Bonsoir Eric, 
Ce sera pour une prochaine fois, je pense faire un tour de France découverte de mes belles. Ça a bien changé depuis l’époque FH et la découverte de l’intégré Halgorythme… la philosophie minimaliste est toujours là, mais les gains sont XXL. Émotions garanties. 
Bonne soirée 
Paul
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#4
Bonjour
A deux heures de route en temps normal, j'aurais pris un billet! Mais en déplacement, j'espère qu'une autre date sera possible!
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#5
Bonjour,
Oui bien sur.
comme on continue à avancer, il y aura plus de modèles à découvrir
Bonne journée
Paul
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#6
Bon alors... ???
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#7
J'y étais. Bela Lugosi était venu à Orléans. Personnage très sympathique et atteint de la même maladie que moi, bricolite aigue associée à un esprit imaginatif et débarrassé de tout conformisme encombrant, il y a forcément une forme de connivence qui s’établit.

Après , et pour le même but, c’est-à-dire reproduire la musique au mieux, nos démarches ont été très différentes mais c’est cela qui devient intéressant, entendre les résultats d’une autre voie menée avec une certaine rigueur et logique. 

Ceci dit, à la base, en théorie, je ne suis pas du tout d’accord avec ces principes de dipôle, ripole, infraflex ou baffle plan. Mais en hifi, la théorie peut être gravement contrariée par la pratique et un truc loufoque bien mis en oeuvre peut être meilleur qu’un principe classique mal réglé.

Le problème des « plans » et assimilés est que l’onde arrière qui n’existe pas dans le message musical enregistré vient polluer l’onde avant de façon majeure, avec un niveau équivalent, ce qui correspond à une distorsion de 100 % ! Sur une onde sonore de 20hz, soit de 17 m de longueur, un baffle plan à 50 cm du mur, soit pour simplifier 1 m  de décalage avec l’onde avant, correspond à un décalage de phase de 21 °, dont le cosinus est de 0,93, il ne reste donc plus que 7% de l’énergie « sonore » initiale. À 340 hz, l’onde arrière rejoint en phase l’onde avant et on est à 200 % de l’énergie « normale », entre les deux, l’efficacité monte progressivement avec les altérations liées au comportement des haut-parleurs, la bande passante réduite en haut des grosses gamelles utilisées et les réflexions dans la pièce.

Les avantages des baffles plans sont la liberté laissée aux membranes débarrassées du retour d’onde interne aux coffrets ou la mise en pression de l’air contenu dans ces coffrets, ce qui donne une liberté d’expression qui peut être appréciable, surtout dans le médium. J’ai d’ailleurs mis mes médiums en « plan » pendant de très longues années et vous pouvez encore le voir sur les J21 de mon HC. 

Dans le grave par contre, les HPs manquent de « force de rappel » et le contrôle de leurs excursions peut devenir aléatoire, la limite étant difficile à trouver vu que l’on leur demande de grandes excursions pour compenser l’affaiblissement du rendement dans extrême grave. Mais cette situation de liberté plus ou moins excessive de jeu des membranes permet de gagner en rendement assez vite avec les fréquences, en particulier dans la zone 80-120 hz.

Le principe du ripole qui cherche à « pincer » l’air entre le HP et une paroi proche, permet un meilleur contrôle des débattements de membrane, la pression supplémentaire engendrée devant la membrane fait travailler le HP dans de meilleures conditions. AMT travaille également en « pinçant » l’air. Néanmoins, la différence considérable de rendement entre l’extrême grave et le haut grave oblige pour linéariser à couper très bas par un filtrage actif vers 50 à 80 hz et à utiliser des amplis puissants pour compenser la perte de rendement.

Un autre problème des baffles plans est la difficulté à neutraliser leurs vibrations qui n’ont rien de négligeable à l’écoute. La référence mécanique de fonctionnement des HPs n’étant pas parfaitement stable dans la majorité des cas, cela résulte en une relative perte en clarté et dynamique. 

On est donc à l’opposé total d’une J24 ou un HP de 20 cm (SEAS 22 RNX), chargé en bass-reflex, avec l’évent rayonnant près de l’angle de la pièce, va voir son énergie augmentée de 800% par rapport au champ libre (sans murs ni plafond ni plancher, ou chambre anéchoïde), et ceci avec une amplitude minimale de débattement de membrane évitant au maximum la distorsion. Et d’autre part, les vibrations parasites sont neutralisées dès le moteur des HPs.

Mais bon, il faut écouter !  On commence par les « petites » Ripole avec un 38 cm, médium de 21 Faital, AMT, c’est parti sur mes morceaux connus. Aïe, le médium n’est pas terrible. Un peu nasillard et pas propre dans le haut. Il a un effet de masque sur l’aigu. Paul en est parfaitement conscient. On discute de traitement de membrane et d’amortissement par tube béton-sable. C’est un problème facilement traitable. Pas contre, je reconnais que le grave est propre, ne montre pas de résonances particulières.

Passons aux baffles « plans » avec un 46 cm, un médium de 25 et un AMT. Belle construction en contreplaqué multiplis de hêtre, c’est bien conçu, les vibrations parasites sont plutôt bien  contrôlées, même si on peut toujours imaginer plus massif, mais après, faut pouvoir les déplacer. Elles viennent être terminées et les réglages sont « en cours ». On va bidouiller les filtres avant d’écouter vraiment. Le médium est tout-à-fait appréciable et se lie bien avec l’AMT dont on a relevé la fréquence de coupure (à 6 db/octave). C’est le grave qui est moins bien controlé et on apprécie là l’avantage du ripole sur un baffle plan classique. L’écoute est de bon niveau, aidée par un ampli en 300B spéciales qui apporte sa musicalité.

Dernier au programme, les grands ripoles avec deux 46 par voie, des EMS LB12 et AMT ESS. Là, on monte d’un cran à tous points de vue, qualité des timbres, dynamique, image. Le LB12 est très qualitatif et se lie très bien à l’ESS que l’on ne présente plus. Le grave suit bien, sans trainage ni coloration particulière. Il ne fait pas de « boom-boom «  comme beaucoup de bass-reflex du commerce qui veulent frimer pour épater le consommateur de base. Néanmoins, un bass-reflex bien réglé et bien conçu pour s’intégrer dans une pièce d’écoute peut à mon avis aller plus loin en résolution et dynamique. L’onde arrière et ses réflexions ne disparaissent pas par enchantement. On dispose en hifi, plus particulièrement en transducteurs électro-acoustiques, d’un bon nombre de technologies, électrodynamiques, classiques ou plans, électrostatiques, AMT, isodynamiques, à compression, à pavillons, piézo-électriques, à charges closes, BR, symétriques, libres, dipôles, ripoles, et j’en oublie, plus toutes les combinaisons. Toutes permettent d’aboutir à un haut niveau de reproduction musicale à partir du moment où elles sont bien maitrisées. La question que beaucoup se posent et qu’il vaut mieux bien choisir au départ d’une démarche est de savoir quelle technologie à des chances d’aller plus loin que les autres quand on veut ravir des exigences encore plus hautes.

Merci à Bela Lugosi pour son accueil sympathique et pour l’écoute de ses « Ripole » qui propose une expérience qui mérite d’être appréciée. On a parlé de se retrouver pour une comparaison directe. Il y aura une suite. Ses idées d’évolution ont fusé tout l’après-midi.  Big Grin

Les grandes (la poutre verticale au milieu n'est pas vraiment génante)

[Image: NMCqC1.jpg]

petites rigoles et les baffles plans :


[Image: VYcXAc.jpg]
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#8
Bon, philippe a posté le premier.
J’ai été très heureux de sa visite et c’est toujours une chance d’avoir un auditeur de sa qualité. Une oreille et de l’expérience. Yessss.
L’exercice pour moi était périlleux. A part mon modèle de référence avec ses 46cm, le LB12 et Heil, dont je connaissais bien le niveau qualitatif, j’étais comment dire sans filets pour les autres. Difficile de faire écouter et par la même occasion juger un produit en cours de mise au point.
Commençons par le début. Les petites, les deux ripoles 38cm avec leurs satellites blancs. Je bute depuis le début sur le médium, sur son intégration avec le tweeter. J’en ai testé plusieurs de 10 à 21cm. Rien n’y a fait pour l’instant. Là où le 25cm passe relativement crème, tous les autres HPs essayés se ramassent lamentablement... l’impasse.
J’aurais pu choisir de les cacher, mais cela aurait été dommage. Le caisson, dans sa dernière versions ripole me semble abouti et il est impossible de l’écouter seul.
Voilà. Je suis bien en phase avec les commentaires de Philippe et je vais suivre ses conseils, « Jaluciniser » les membranes au Sicomin. Afin de limiter les caprices de la membrane au raccord avec le tweeter. A suivre….

Les baffles plans.
Je les ai depuis le 30 Aout. Le temps de câbler, de faire une première version de filtrage… de la mesurer…. de la modifier… je n’ai vraiment pris le contrôle que le WE dernier. Elles ont tourné toute la semaine une centaine d’heures environ. Et jeudi soir, le constat était évident. Le filtre était à reprendre. L’aigu s’était ouvert par rapport au 25cm à moins que ce ne soit l’inverse. Le filtre lui, était à revoir. J’ai quasiment divisé par deux la valeur du condensateur, mais ce n’était visiblement pas encore suffisant. Cela a continué à évoluer et philippe a confirmé mes impressions d’hier matin.  L’AMT était un poil too much.
Passé ce moment de bricolage, on a pu enchaîner les morceaux.
Je confirme la bonne lisibilité, l’aération de l’ensemble et l’intégration entre le 25cm et l’AMT. Cela donne une écoute cohérente. Pour le grave, c’est un fait que le concept du ripole va plus loin, mais de mon expérience des HPs de 38 ou de 46cm, ils leur faut plus de temps pour exprimer leur potentiel et les +100 heures à niveau modéré me semblent encore insuffisant.

Dernier modèle, mes enceintes de référence, 2x46cm en ripole par enceinte, LB12 et ESS Heil. Filtrage minimaliste également. Je n’ai rien à ajouter, à par que la caisse que j’ai réalisé à l’époque ne brille pas par sa rigueur (cp de peuplier de 16mm et plan de travail Bricodepo….. lui appliquer ce que j’ai appris lors de l’étude des ripoles 38cm devrait permettre d’aller plus loin…. C’est prévu.
Voilà, cela devrait permettre à ceux qui suivent ce projet de se faire une idée de l’état d’avancement, en attendant la prochaine session.
Bon Week-end à tous et à bientôt
Paul
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#9
merci à jalucine pour le CR, post très intéressant ! Wink
système hifi : magnepan MG1.7,xindak  pa1,yamaha s2000,marantz ud7007,denon 3520EX, gustard P26, project debut carbon, cambridge audio 551P
système HC :  TCL mini led 85C805, panasonic DP-UB9000, Zidoo uhd3000,DALI ikon mk2, FOCAL Sib evo, DENON AVR X4500H
système casque : hifiman edition Xv2,schiit magni 3
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#10
Une histoire de rencontre d’une Onde Avant avec une Onde Arrière.

…..L’onde arrière des plans vient polluer l’onde avant de façon majeure avec un niveau équivalent, ce qui correspond à une distorsion de 100%….

J’avoue que cette phrase de Mr J. m’a fait pas mal gamberger…. Peut-être? …. Non ce n’est pas possible…. Ce n’est pas ce que je ressens et encore moins ce que je mesure….
Bref, j’ai repris mes vieux cours de traitement du signal et de mécanique vibratoire. Gooooogle a été mon ami et je vous propose un éclairage plus technique de la chose.

Dans une enceinte ouverte, j’ai une Onde Avant et une Onde Arrière qui s’éparpillent dans la pièce
Dans une enceinte fermée j’ai une Onde Avant qui s’éparpille dans la pièce et une Onde arrière qui va devoir être contenue dans la caisse. En rencontrant les parois de l’enceinte, l’Onde Arrière va être réfléchie, absorbée et aussi un peu diffusée hors de la caisse. Sans oublier que le volume de l’enceinte qui est très petit (par rapport à la pièce) devra aussi intégrer les contraintes liées aux mouvements de la membrane du HP qui va comprimer/détendre l’air de l’enceinte. Acoustique et Aéraulique sont au programme.
Pas vraiment simple à appréhender et encore moins à traiter.  La notion de retard de groupe ou group delay est un bon exemple. Pour les anglophones le lien ci-dessous décrit assez bien certains problèmes liés à la mise en boite.
https://jahonen.kapsi.fi/Audio/Papers/AES_PortPaper.pdf
Pour les francophones,
http://www.lafontaudio.com/criteres.htm

Mais revenons au baffle plan. Comment l’onde arrière se comporte-t-elle avec l’onde avant? Est elle si méchante que cela?
On peut modéliser l’onde résultante de l’addition de l’onde arrière et l’onde avant comme la somme de deux fonctions sinusoïdales synchrones, de même période T mais déphasées d’un angle téta car n’ayant pas parcouru le même chemin:
Y(t) =Y1(t) + Y2(t) = Y1max.cos(2pi.t/T) + Y2max.cos(2pi.t/T + téta)
L’amplitude du signal sera maximale si les deux ondes sont en phase et, minimal (voire nulle si Y1max = Y2max) si les deux ondes sont en opposition de phase (téta= 2 k pi avec k un entier).
 
Une onde décroit aussi en intensité en fonction de la distance parcourue -6dB à chaque doublement de la distance.
http://www.haliotis-distribution.fr/Supp...sance.html
les matériaux et l’ameublement de la pièce sur le parcours de l’onde réduisent également son intensité.
http://www.acouphile.fr/materiaux.html
et le lien ci dessous et déjà cité qui montre que l’oreille de l’auditeur ne reçoit pratiquement que des sons réfléchis.
 http://www.lafontaudio.com/criteres.htm

En partant de l’exemple de Jalucine et en faisant l’hypothèse que le HP génère le même niveau sonore vers l’avant et vers l’arrière et que l’enceinte est parallèle au mur arrière, mur qui aurait un coefficient d’absorption négligeable, Y2 va faire 50cm x 2 = 1 m avant de revenir au niveau de l’onde avant. Donc si je mesure à 1m de distance du HP, l’onde arrière en revenant au niveau du micro sera déjà atténuée de -6dB.
Si l’enceinte est décalée à 1,5m du mur, l’atténuation de l’onde arrière passera à -12dB, -17dB pour 3m, etc etc….

Pour calculer le niveau sonore résultant Y(t) , Il restera à calculer l’incidence de la temporalité t sur les valeurs respectives de Y1(t) et Y2(t) au point de mesure. (incidence du déphasage). La seule certitude est que Y1max sera  quand  même bien supérieur à Y2max.  

Si les enceintes sont orientées vers l’auditeur, le chemin à parcourir par cette onde arrière Y2(t) sera encore différent, plus complexe et pourrait avoir une incidence plus faible, voire définitivement négligeable.
C’est tout? pas exactement.
 l’onde générée par le HP ne va pas uniquement vers l’avant (ou l’arrière) , en ligne droite. elle rayonne sur 2pi Stéradian autour du HP.
L’onde Y1(t) (enceinte fermée) ou les ondes Y1(t) + Y2(t) (enceinte ouverte) vont rencontrer plein d’obstacles plus ou moins impactant, rebondir dans tous les sens (plafond, murs meubles…), être absorbées, se diffuser.. et potentiellement arriver aussi aux oreilles de l’auditeur. D’où l’importance du positionnement des enceintes, parfois aussi des traitements acoustiques… dans les liens que j’ai mis plus haut on peut lire que le son qui arrive aux oreilles de l’auditeur n’est pratiquement que du son réfléchi…
l’onde arrière d’un dipole n’est au final pas forcement si importante que cela et facilement gérable.
Samedi on a repositionné chaque enceinte avant écoute.
 --------


 
….. Toutes permettent d’aboutir à un haut niveau de reproduction musicale à partir du moment où elles sont bien maitrisées. La question que beaucoup se posent et qu’il vaut mieux bien choisir au départ d’une démarche est de savoir quelle technologie à des chances d’aller plus loin que les autres quand on veut ravir des exigences encore plus hautes…..

Là, je suis bien d’accord. Je ne pense pas qu’une technologie surpasse les autres. Il y a tellement de paramètres objectifs et subjectifs qui entrent en jeu. L’écoute, et l’émotion procurée restera bien entendu le jugement ultime.
Pour moi, les enceintes ouvertes offrent un rapport simplicité de mise en oeuvre % plaisir auditif unique et difficilement égalable.
Voilà, c’était ma réflexion du jour.
bonne journée à tous

Paul
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