10-16-2022, 04:00 PM
Oui, il y a toujours des plafonds de verre en hifi et il vaut mieux avoir la philosophie au départ de les accepter.
Déjà au niveau musical, quand vous êtes plutôt fan du jazz des années cinquante ou d’interprétations classiques qui ont aussi de la bouteille, ll faut accepter une qualité d’enregistrement pas équivalente à ce que l’on peut obtenir aujourd’hui, quoique !
Au niveau technique, il existe de par le monde, mais surtout au Japon, des systèmes « sans compromis », basés généralement sur des pavillons et chambres de compression, mais même ceux là, dans des acoustiques optimisées, ont leur point faible, qui est la transition entre les voies et la cohérence. Cela se résout maintenant par les filtres informatiques et on retombe alors dans la question de la qualité de la musique numérisée qui a longtemps été discutable. Mais en quarante ans, il faut bien reconnaître qu’elle a fait des progrès constants et on peut dire qu’elle n’est plus maintenant un facteur limitant, au contraire.
Coté électronique, je ne suis pas sûr que les amplis/préamplis haut de gamme actuels fassent mieux que les meilleurs classe A ou tubes d’il y a 40 ou 50 ans.
Le plafond de verre est donc surtout dans le domaine de l’acoustique, la salle d’écoute, les enceintes et l’adaptation entre les deux. La salle est une question de budget et de motivation. Les salles « construites pour » l’acoustique sont excessivement rares, donc on s’adapte aux circonstances. Et sauf exceptions, les enceintes ne sont pas étudiées dans des salles d’écoute typées habitat classique avec toutes les conséquences qu’on lit par centaines de pages. Les Kii font partie des exceptions, avec une conception très pragmatique, partant d’une situation habituelle en salle d’habitation, et avec une réponse technologique très intelligente, et sophistiquée. C’est l’une des meilleures écoutes que je n’ai jamais faite en salon hifi, alors que la pièce n’avait rien de favorable, et cela m’avait beaucoup étonné.
Dans une salle comme celle de pda0, il me semble évident que cette approche peut repousser très loin le plafond de verre, résoudre les principaux problèmes acoustiques et offrir un équilibre et une transparence que je viendrai apprécier un de ces jours.
Où vaut-il mieux s’arrêter ? C’est prendre conscience des limitations de sa salle même traitée et lorsque les solutions possibles sont appliquées et les réglages raisonnablement optimisés, se préoccuper de chercher musique et musiciens qui vont nous ravir.
Déjà au niveau musical, quand vous êtes plutôt fan du jazz des années cinquante ou d’interprétations classiques qui ont aussi de la bouteille, ll faut accepter une qualité d’enregistrement pas équivalente à ce que l’on peut obtenir aujourd’hui, quoique !
Au niveau technique, il existe de par le monde, mais surtout au Japon, des systèmes « sans compromis », basés généralement sur des pavillons et chambres de compression, mais même ceux là, dans des acoustiques optimisées, ont leur point faible, qui est la transition entre les voies et la cohérence. Cela se résout maintenant par les filtres informatiques et on retombe alors dans la question de la qualité de la musique numérisée qui a longtemps été discutable. Mais en quarante ans, il faut bien reconnaître qu’elle a fait des progrès constants et on peut dire qu’elle n’est plus maintenant un facteur limitant, au contraire.
Coté électronique, je ne suis pas sûr que les amplis/préamplis haut de gamme actuels fassent mieux que les meilleurs classe A ou tubes d’il y a 40 ou 50 ans.
Le plafond de verre est donc surtout dans le domaine de l’acoustique, la salle d’écoute, les enceintes et l’adaptation entre les deux. La salle est une question de budget et de motivation. Les salles « construites pour » l’acoustique sont excessivement rares, donc on s’adapte aux circonstances. Et sauf exceptions, les enceintes ne sont pas étudiées dans des salles d’écoute typées habitat classique avec toutes les conséquences qu’on lit par centaines de pages. Les Kii font partie des exceptions, avec une conception très pragmatique, partant d’une situation habituelle en salle d’habitation, et avec une réponse technologique très intelligente, et sophistiquée. C’est l’une des meilleures écoutes que je n’ai jamais faite en salon hifi, alors que la pièce n’avait rien de favorable, et cela m’avait beaucoup étonné.
Dans une salle comme celle de pda0, il me semble évident que cette approche peut repousser très loin le plafond de verre, résoudre les principaux problèmes acoustiques et offrir un équilibre et une transparence que je viendrai apprécier un de ces jours.
Où vaut-il mieux s’arrêter ? C’est prendre conscience des limitations de sa salle même traitée et lorsque les solutions possibles sont appliquées et les réglages raisonnablement optimisés, se préoccuper de chercher musique et musiciens qui vont nous ravir.
1max : http://forum-hifi.fr/thread-1383.html
J24 : http://forum-hifi.fr/thread-182.html
H.C. : http://forum-hifi.fr/thread-12124-post-2...#pid246840
J25 : http://forum-hifi.fr/thread-183.html
J26 : http://forum-hifi.fr/thread-1131-post-19...#pid193456
La rencontre : http://forum-hifi.fr/thread-12918.html
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