Je viens témoigner des bienfaits concernant les soins apportés aux alimentations.
Mon système est à base de dual pc sous linux installation minimale avec Roon.
J'avais déjà fait un progrès notable en l'équipant de cartes mère professionnelles de la marque Supermicro avec les OS sur des cartes flash en lieu et place des SSD.
Puis vint la correction acoustique de pièce avec Rew et Rephase (travail délicat qui demande de la patience).
J'ai alors "amélioré" les Ifipower en les faisant suivre d'alimentations à bases de composants issus de mon stock d'électronique.
Le résultat était comparable à une alimentation Sotm (valeur: 600€).
Puis il y a eu le remplacement des carte et interface Sotm par leurs équivalents Matrix.
Gain étonnant sur tous les plans, les Sotm sont larguées sans regret. Cela me permet par ailleurs de relier la Matrix au dac Terminator en I2S et de faire l'essai du DSD.
Et puis c'est là qu'intervient un travail de romain... J'ai repris tous les câblages internes des alimentations, les câblages de leur liaisons externes, ainsi que ceux des Ipower que j'ai toutes démontées.
Le câble utilisé est du cu/ag isolé téflon (toujours issu de mon stock).
Le résultat est bluffant.
Ce qui me surprend tout d'abord, c'est l'aigu et l'extrême-aigu qui montent beaucoup plus haut (comme si on avait retiré un couvercle), avec une sensation de grande rapidité (les transitoires sont fulgurants). J'attribue cela à la partie en argent du câble.
L'exploration de l'acoustique des enregistrements est surprenante et les silences très profonds. Cela donne un caractère encore plus posé à la musique. Les couleurs instrumentales et vocales sont plus riches et variées avec des timbres somptueux (sur les bons enregistrements ). L'isolant du câble, en téflon, qui n'a pas de mémoire, en est responsable.
J'ai gagné aussi de la douceur (une dureté dans le haut-médium a notamment disparu). La fluidité est là, ça baigne!
J'utilise depuis de nombreuses années ce genre de câble avec succès, entr'autres avec les câbles de "Hifi câbles & Compagnie", et aussi dans des réalisations perso. Mais j'étais loin de me douter du résultat obtenu sur des tensions et courants continus.
Le temps passé à refaire tout ce câblage est bien récompensé!
Donc il ne suffit pas d'avoir d'excellentes alimentations, il faut aussi soigner l'acheminement de cette énergie jusqu'au point final.
Même le changement de câblage des interfaces pour le réseau et le pont optiques s'entend
Maintenant je vais tester les petits modules dont il est question dans ce fil. J'en ai quatre et je vais faire des essais rapidement.
Je vous tiens au courant.
Pierre
Un mot sur le DSD qui m'a déçu: par rapport au PCM bien upsamplé en 784 khz, moins de dynamique, de précision, de définition, une scène sonore irréaliste, c'est brouillon sur les nombreux essais effectués.
Avec la définition que j'ai à présent, ça s'entend très bien.
On fait des gorges chaudes du DSD un peu partout, je ne succombe pas à ces sirènes du moment...
Mon système est à base de dual pc sous linux installation minimale avec Roon.
J'avais déjà fait un progrès notable en l'équipant de cartes mère professionnelles de la marque Supermicro avec les OS sur des cartes flash en lieu et place des SSD.
Puis vint la correction acoustique de pièce avec Rew et Rephase (travail délicat qui demande de la patience).
J'ai alors "amélioré" les Ifipower en les faisant suivre d'alimentations à bases de composants issus de mon stock d'électronique.
Le résultat était comparable à une alimentation Sotm (valeur: 600€).
Puis il y a eu le remplacement des carte et interface Sotm par leurs équivalents Matrix.
Gain étonnant sur tous les plans, les Sotm sont larguées sans regret. Cela me permet par ailleurs de relier la Matrix au dac Terminator en I2S et de faire l'essai du DSD.
Et puis c'est là qu'intervient un travail de romain... J'ai repris tous les câblages internes des alimentations, les câblages de leur liaisons externes, ainsi que ceux des Ipower que j'ai toutes démontées.
Le câble utilisé est du cu/ag isolé téflon (toujours issu de mon stock).
Le résultat est bluffant.
Ce qui me surprend tout d'abord, c'est l'aigu et l'extrême-aigu qui montent beaucoup plus haut (comme si on avait retiré un couvercle), avec une sensation de grande rapidité (les transitoires sont fulgurants). J'attribue cela à la partie en argent du câble.
L'exploration de l'acoustique des enregistrements est surprenante et les silences très profonds. Cela donne un caractère encore plus posé à la musique. Les couleurs instrumentales et vocales sont plus riches et variées avec des timbres somptueux (sur les bons enregistrements ). L'isolant du câble, en téflon, qui n'a pas de mémoire, en est responsable.
J'ai gagné aussi de la douceur (une dureté dans le haut-médium a notamment disparu). La fluidité est là, ça baigne!
J'utilise depuis de nombreuses années ce genre de câble avec succès, entr'autres avec les câbles de "Hifi câbles & Compagnie", et aussi dans des réalisations perso. Mais j'étais loin de me douter du résultat obtenu sur des tensions et courants continus.
Le temps passé à refaire tout ce câblage est bien récompensé!
Donc il ne suffit pas d'avoir d'excellentes alimentations, il faut aussi soigner l'acheminement de cette énergie jusqu'au point final.
Même le changement de câblage des interfaces pour le réseau et le pont optiques s'entend
Maintenant je vais tester les petits modules dont il est question dans ce fil. J'en ai quatre et je vais faire des essais rapidement.
Je vous tiens au courant.
Pierre
Un mot sur le DSD qui m'a déçu: par rapport au PCM bien upsamplé en 784 khz, moins de dynamique, de précision, de définition, une scène sonore irréaliste, c'est brouillon sur les nombreux essais effectués.
Avec la définition que j'ai à présent, ça s'entend très bien.
On fait des gorges chaudes du DSD un peu partout, je ne succombe pas à ces sirènes du moment...