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Ripage CD
#61
Pourquoi -1 ? … si le flux binaire (envoyé au DAC) est copie conforme (et FLAC le garantit) toute différence peut provenir d’un problème sur la régularité où il est envoyé, des consommation de courant différentes, etc, ce que j’ai synthétisé sous la forme « le genre de problème que cherche à résoudre le protocole Diretta en lissant le flux d’informations (sans le modifier) ».

Je n’ai pas entendu de différence entre les deux fichiers cités plus haut.

À la limite, si la chaîne de lecture est sensible à la différence et que FLAC est imposé par les tailles disque, on peut décompresser et retrouver les fichiers WAV le temps d’une lecture et les effacer ensuite. Un peu lourd je l’accorde.
Salon : paire de Devialet II 98dB
Bureau : piano numérique Yamaha N1X (6x30W), DAC/ADC Steinberg UR22, casque AKG702
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#62
pour compléter ce que disait pascal
une discussion que j'ai eu il y a quelques années avec le "spécialiste" démat d'un autre forum:
Citation :alors, si j'ai un lecteur qualitatif, aucun intérêt de stocker des Wav ou des Flac en 4000 Kbps ?
je convertis tous les Wav en Flac 800 Kbps et j'aurais la même qualité a l'écoute ?


réponse:
des flac en qualité maximale = niveau de compression minimale sont très biens, mais je répète, rien d'absolu car la décompression flac/wave effectuée par ton lecteur, même si on retrouve exactement les mêmes données à l'arrivée, peut (ou pas...) influencer le rendu en génération +/- d'opération informatiques.
Ce n'est pas un problème de qualité de fichier ou de données mais un soucis (éventuel je répète encore...) de solidité/robustesse/immunité du lecteur face à ce genre d'opération.
Et puis selon le système les écarts liés à ce décompactage, s'ils venaient à exister, ne seraient pas forcément audibles.

le FLAC est lossless... en théorie, mais a l'écoute j'entend bien une différence de qualité entre un flac a 800 Kbps et un autre > 1000 Kbps
et entre un a 650 Kbps et un autre 1000 Kbps il y a un gouffre



ce qui a précédé cet échange c'est l'explication que le lecteur joue un grand role dans la qualité de la restitution, et qu'ils ne le font pas tous bien
[Image: dn1mqq.jpg]


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#63
@floyer

Il est possible de réaliser l'opération de conversion en mettant la piste, l'album ou la playlist en RAM. Dans ce cas la conversion FLAC vers Wave est faite (avec un temps d'attente) avant que la piste joue. C'est ce que peut faire Daphile mais de manière non automatisée.
Pour ma part, je n'ai pas vraiment entendu de différences entre entre la lecture du fichier FLAC en direct ou en RAM.
Mais peut être est ce les limites de mon système ou de mes oreilles vieillissantes.
Serveur: Synology DS 212+ avec LMS et MinimServer
Streamer: Zotac Fanless Zbox Nano I5, Alimentation linéaire Reddo Audio, Daphile
Streamer/Dac/Préampli: TEAC UD-701N avec SSD M2 sur entrée USB
Ampli: Kinki EX M7
Enceintes: PMC Twenty 24
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#64
S’il y a des différences, c’est qu’il manque d’isolation entre la décompression (et une fluctuation de courant ou autre), et le DAC qui bien qu’il reçoit le même train de bit (c’est la définition de lossless) ne le reçoit pas exactement de la même manière. C’est l’objectif même du protocole Diretta : on fait tourner la décompression sur un Host, qui génèrera du bruit de différentes façon (sans altérer le train de bits)… et le protocole Diretta filtre ce bruit afin que le Target ait un flux qui ressemble à s’y méprendre à un flux d’origine WAV.

C’est une manière de découpler. L’approche de Daphile proposé par Paz qui peut décomprimer d’abord en RAM puis ensuite envoyer au DAC le fichier WAV reconstitué en est une autre plus simple.

Après, je veux bien croire que sans ce type de précaution, des lecteurs jouent différemment FLAC et WAV.

(Je n’ose imaginer un bug dans le lecteur qui jouerait le fichier FLAC de façon approximative en terme de flux binaires).
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#65
Qui dit décompression flac sans perte dit conso CPU... Sur une squeezebox d'antan avec son cpu mono core et ses 500 Mo de RAM, la décompression d'un 16/44 avait déjà son petit impact, un 24/44 un petit peu plus, un 24/96 commençait à bien charger le CPU, un 24/176 se faisait bien sentir, et un 24/192 mettait la boiboite au taquet.
Alors un petit transcodage en moins, déporté sur le serveur était le bien venu. Dans ces conditions de charges machines, le format wav ou flac s'entendait sur pas mal de systèmes en parfait état de fonctionnement.
Maintenant conclure que quelque chose cloche sur le système du voisin parce que la différence n'est pas audible sur son système, pourquoi pas mais j'ai un peu du mal avec cette approche (peut être parce que j'étais un fan de x-file) ...
D'autant plus que certains dispose d'un pc optimisé multi cores qui entendent bien cette différence, Mulder & Sculy, vous êtes où ?
Serveur & Réseau : QNAP HS-453DX avec LMS, Cat5 1attack, switch Aqvox SE, Hdplex 200
Electroniques & Enceintes : Nano Player V4, Farad Super 3, Job INT & Atohm GT2
Ficelles : Ocellia Référence Silver, Audioprana Ag, LH Audio, TWL 7+, BlackNoise
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#66
Lorsque j'écris "si le flux binaire (envoyé au DAC) est copie conforme (et FLAC le garantit) toute différence peut provenir ...", tu interprètes "quelque chose cloche sur le système".

Mon propos est plutôt de pointer d'où vient la "différence", et elle ne vient pas d'un défaut d'informations comme on pourrait comprendre par "lossless en théorie" qui semble mettre FLAC et MP3 dans le même panier. (D'ailleurs, "en pratique", la commande flac d'xiph a une option qui vérifie l'absence d'altération lors de la compression : on peut vérifier que cela marche). Il y a plein d'options qui permettraient d'éviter ou limiter les écarts (cités : Diretta, décompression en RAM avant lecture, on pourrait ajouter isolation galvanique - S/PDIF ou AES sur fibre optique...) Après, c'est peut-être disproportionné, inutile vu l'usage, etc.

Et je suppose que la chaîne DAC/amplificateur/enceinte doit avoir une bonne finesse pour relever des "différences", loin de moi l'idée d'insinuer que cela cloche.

Pas compris la référence à X-Files, désolé...
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#67
Bonjour,

Perso je craie une image iso du CD, j'ai mon archive si un jour il faut utiliser un autre format (exemple autoradio Renault Big Grin.)
Je ripp en wav a partir de l'image (10 secondes max) ou mp3 320 pour ma rino

Joël
Drive Cyrus Ti, demat Melco N1, vinyle Lenco l75+Shure V15 III et thorens 124+bras SME long+ortophon 30
DAC  Audio GD R-7HE III
Pré Mc 2300, ampli Mc 7150
Enceintes JBL L100 classic 75 avec leurs pieds JBL Big Grin

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#68
Pas sûr que l’on puisse parler de format ISO dans ce cas. Pour un CDROM, le contenu du CD est dans un format dit ISO copié dans chaque bloc du CD.

Pour un CD-Audio, il me semble que l’on a d’un côté des pistes codées en PCM (souvent stockés en WAV lors de l’extraction), et d’autre part des informations « CUE sheets » stockés par les logiciels de rippage dans des formats variés selon le logiciel. Par sûr qu’il existe un fichier « archive » pour cet ensemble qui soit standard (ISO ou non).
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#69
(11-02-2022, 08:58 PM)floyer a écrit : Pas compris la référence à X-Files, désolé...

La vérité est ailleurs...
Et oui, entre 2 formats dont le contenu est rigoureusement identique, pas évident d'expliquer pour proviennent les différences perçues.
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#70
Le site Diretta est assez pédagogique afin d’éviter de croire que l’intérêt est d’origine surnaturel. Typiquement :

Citation :Packets are transmitted as often as possible at constant short intervals in order to average processing.The transmission is controlled by forecasting Target buffers.
In this way, fluctuations in power consumption of a player as the Target is averaged as much as possible.

(Cf https://www.diretta.link/ avec graphiques)

Ainsi entre deux flux binaires identiques (au sens les mêmes 0 et 1), il peut y avoir des problèmes de timing. L’autre paramètre peut être le bruit analogique. Dans l’idéal, un 1 à 5V et un 1 à 4,9V sont équivalent… en pratique c’est peut-être plus compliqué (le -0,1V peut fuiter) et un usage de CPU qui tirera une puissance (en Watt !) variable pourrait influer sur le résultat. C’est ce qui me fait penser qu’une liaison S/PDIF otique pourrait résoudre ce type de problème (certains préfèreront le WiFi maintenant).
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