Bonjour Fab, bonjour à tous,
Pour ce dernier jour de l'année, je souhaite à tous une très bonne année, en musiques et en espérant que nous verrons en 2022 le bout du tunnel.
Alors, qu'en est il de nos écoutes ?
l'Allnic étant en place, ce qui est surprenant à l'écoute de ce vinyl, c'est qu'en effet la trompette monte très haut et grâce au système superlatif de Denis, cela pousse sans retenue ni compression. Le grave est rapide, il descend avec de l'impact et une belle articulation; L'équilibre global me parait équilibré, respectueux de la musique.
Place à l'Orpheus. Nous n'arrivons pas à enlever une petite ronfle, certainement à cause du placement du SUT Consolidated très/trop proche, l'alimentation étant intégrée dans l'Orpheus alors que L'Allnic bénéficie d'une alimentation déportée.
Je précise que chez moi, l'Orpheus était exempt de bruit. Il reste à trouver chez Denis, la bonne config, le bon emplacement pour éviter toute interaction. Cela doit pouvoir s'arranger par un judicieux placement et l'Orpheus n'est donc pas éliminé pour autant.
Pas évident de trifouiller derrière le rack. Pressé par le temps, on a laissé tel quel
Mais quand même, un bon point donc pour l'Allnic parfaitement silencieux en toutes circonstances
SURPRISE à l'écoute, le Thrax démontre une dynamique époustouflante. On a le sentiment que cela ne s'arrêtera jamais. La trompette bouchée de Fulvio Sigurta en toute fin du morceau "La Notte" monte encore plus haut avec un déluge d'harmoniques, une prolongation du légato vraiment enivrante.
On s'est regardé avec Denis. Comment est ce possible, écoute t-on le même disque ? Ma femme a résumé l'écoute de "soyeux".
Un bémol quand même, le grave est, relativement à cette restitution "brillante" et peut être à cause de cela, un peu en retrait rendant le tout globalement montant.
Sous le coup de l'émotion, impossible à cet instant de dire ce qui nous plait le plus, de trancher pour l'une ou l'autre écoute.
On passe à la bande master sur le Studer. Là, c'est du direct sans filtre, pas de compensation, les instruments tels qu'enregistrés en studio.
Première constatation : tout est plus ample, plus rapide, plus plein ... la bande est supérieure au vinyl.
Cela dit, par rapport au Thrax qu'on vient juste d'écouter, le grave revient. il est plus présent, mieux intégré à l'orchestre. Quant à la trompette, elle file moins haut et avec une décroissance des notes sur-aigues plus rapide.
C'est moins enjôleur que l'Orpheus qui à l'évidence a tendance à en rajouter sur ce registre.
Il nous reste une dernière chose à faire et pour en avoir le coeur net, remettre le H3000 Allnic.
Et bien, je ne vais pas tourner autour du pot longtemps, il confirme pour moi la bande master. Sans en avoir l'ampleur, c'est lui le plus proche d'une écoute droite, sans fioriture ni mise en avant de tel ou tel registre.
Je laisse à Denis le soin de donner son sentiment et de conclure
Pour ce dernier jour de l'année, je souhaite à tous une très bonne année, en musiques et en espérant que nous verrons en 2022 le bout du tunnel.
Alors, qu'en est il de nos écoutes ?
l'Allnic étant en place, ce qui est surprenant à l'écoute de ce vinyl, c'est qu'en effet la trompette monte très haut et grâce au système superlatif de Denis, cela pousse sans retenue ni compression. Le grave est rapide, il descend avec de l'impact et une belle articulation; L'équilibre global me parait équilibré, respectueux de la musique.
Place à l'Orpheus. Nous n'arrivons pas à enlever une petite ronfle, certainement à cause du placement du SUT Consolidated très/trop proche, l'alimentation étant intégrée dans l'Orpheus alors que L'Allnic bénéficie d'une alimentation déportée.
Je précise que chez moi, l'Orpheus était exempt de bruit. Il reste à trouver chez Denis, la bonne config, le bon emplacement pour éviter toute interaction. Cela doit pouvoir s'arranger par un judicieux placement et l'Orpheus n'est donc pas éliminé pour autant.
Pas évident de trifouiller derrière le rack. Pressé par le temps, on a laissé tel quel
Mais quand même, un bon point donc pour l'Allnic parfaitement silencieux en toutes circonstances
SURPRISE à l'écoute, le Thrax démontre une dynamique époustouflante. On a le sentiment que cela ne s'arrêtera jamais. La trompette bouchée de Fulvio Sigurta en toute fin du morceau "La Notte" monte encore plus haut avec un déluge d'harmoniques, une prolongation du légato vraiment enivrante.
On s'est regardé avec Denis. Comment est ce possible, écoute t-on le même disque ? Ma femme a résumé l'écoute de "soyeux".
Un bémol quand même, le grave est, relativement à cette restitution "brillante" et peut être à cause de cela, un peu en retrait rendant le tout globalement montant.
Sous le coup de l'émotion, impossible à cet instant de dire ce qui nous plait le plus, de trancher pour l'une ou l'autre écoute.
On passe à la bande master sur le Studer. Là, c'est du direct sans filtre, pas de compensation, les instruments tels qu'enregistrés en studio.
Première constatation : tout est plus ample, plus rapide, plus plein ... la bande est supérieure au vinyl.
Cela dit, par rapport au Thrax qu'on vient juste d'écouter, le grave revient. il est plus présent, mieux intégré à l'orchestre. Quant à la trompette, elle file moins haut et avec une décroissance des notes sur-aigues plus rapide.
C'est moins enjôleur que l'Orpheus qui à l'évidence a tendance à en rajouter sur ce registre.
Il nous reste une dernière chose à faire et pour en avoir le coeur net, remettre le H3000 Allnic.
Et bien, je ne vais pas tourner autour du pot longtemps, il confirme pour moi la bande master. Sans en avoir l'ampleur, c'est lui le plus proche d'une écoute droite, sans fioriture ni mise en avant de tel ou tel registre.
Je laisse à Denis le soin de donner son sentiment et de conclure