Adot explique ni plus ni moins que la différence entre une fibre monomode ou single-mode et une fibre multimode quant à la propagation de la lumière dans la fibre telle que je l'expliquais à mes élèves (figures du dessus).
Dans la fibre multimode il y a donc dispersion du rayonnement sous forme de dispersion modale. En fait, comme on le voit dans les figures du haut la lumière peut prendre plusieurs chemins que l'on appelle mode ce qui fait que ces modes (chemins) ont des distances différentes selon les angles de réflexions. Lorsqu'une impulsion lumineuse est envoyée par la source elle se décompose donc en plusieurs rayons lumineux à cause des différents chemins (modes) que la lumière peut suivre. Au final les différentes composantes du rayonnement lumineux arrivent au récepteur à l'autre bout de la fibre à des moments différents et donc il y a étalement de l'impulsion.
Tout cela peut se calculer.
A noter que dans une fibre monomode il n'y a pas de dispersion modale et donc pas d'étalement de l'impulsion. La fibre monomode est toutefois sujette à une dispersion chromatique mais c'est une autre histoire.
Dans les deux figures du dessous ADOT fait un raccourci entre cette largeur d'impulsion et l'importance du jitter. Ce qu'il faudrait démontrer. Peut-être l'ont-ils fait.
Je n'ai pas d'info à ce sujet car cela n'a pas été abordé dans les stages que j'avais fait en ce qui concerne la fibre optique et c'était une époque où je n'étais pas aussi impliqué dans la HIFI.
Ceci dit on pourrait penser effectivement que le jitter pourrait être moindre dans les fibres monomodes.
Dans la fibre multimode il y a donc dispersion du rayonnement sous forme de dispersion modale. En fait, comme on le voit dans les figures du haut la lumière peut prendre plusieurs chemins que l'on appelle mode ce qui fait que ces modes (chemins) ont des distances différentes selon les angles de réflexions. Lorsqu'une impulsion lumineuse est envoyée par la source elle se décompose donc en plusieurs rayons lumineux à cause des différents chemins (modes) que la lumière peut suivre. Au final les différentes composantes du rayonnement lumineux arrivent au récepteur à l'autre bout de la fibre à des moments différents et donc il y a étalement de l'impulsion.
Tout cela peut se calculer.
A noter que dans une fibre monomode il n'y a pas de dispersion modale et donc pas d'étalement de l'impulsion. La fibre monomode est toutefois sujette à une dispersion chromatique mais c'est une autre histoire.
Dans les deux figures du dessous ADOT fait un raccourci entre cette largeur d'impulsion et l'importance du jitter. Ce qu'il faudrait démontrer. Peut-être l'ont-ils fait.
Je n'ai pas d'info à ce sujet car cela n'a pas été abordé dans les stages que j'avais fait en ce qui concerne la fibre optique et c'était une époque où je n'étais pas aussi impliqué dans la HIFI.

Ceci dit on pourrait penser effectivement que le jitter pourrait être moindre dans les fibres monomodes.
Source: PC CPU AMD Ryzen 9 5900X Audiolinux v3 7.00 - Alim JCAT OPTIMO S ATX + Target Diretta Ustars C19 avec AL RPI 4.40 + Clock by FLR - alim DIY 4 x 5V avec transfos Toroïdy Audio Grade Supreme et composants Audio Grade pour C19, clock FLR, carte JCAT Net Card XE.
DAC: Holo Audio Spring 3 Level 2 - Ampli intégré: La Rosita Maverick -Switches RJ45: Reddo Audio + HNE MagicNet D1 Supreme - Enceintes: AudioPhysic Cardeas - Câblage: vers full Murmure Audio.
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