09-05-2022, 02:49 PM
A l'écoute, deux symphonies extraites du coffret "The great EMI recordings", la symphonie n°4 de Brahms, dans un enregistrement live du 24 octobre 1948 interprétée par le Wiener Philarmoniker.
Dès l'Allegro initial, Furtwangler distille une tension qui ne se relâche pas pendant les 4 mouvements.
La remasterisation fort bien faite, clarifie littéralement une interprétation de quasiment référence absolue.
Plus ancienne, la Pathétique de Tchaikovsky, enregistrée en octobre 1938 avec la philharmonie de Berlin, amène à la même évidence : Furtwangler est insurpassable !
Plus qu'un dépoussiérage, ces disques nous font re-découvrir des trésors souvent noyés dans la brume des crachotements.
Ce fil m'a donné l'occasion de renouer avec un coffret que j'avais quelque peu négligé.
Dès l'Allegro initial, Furtwangler distille une tension qui ne se relâche pas pendant les 4 mouvements.
La remasterisation fort bien faite, clarifie littéralement une interprétation de quasiment référence absolue.
Plus ancienne, la Pathétique de Tchaikovsky, enregistrée en octobre 1938 avec la philharmonie de Berlin, amène à la même évidence : Furtwangler est insurpassable !
Plus qu'un dépoussiérage, ces disques nous font re-découvrir des trésors souvent noyés dans la brume des crachotements.
Ce fil m'a donné l'occasion de renouer avec un coffret que j'avais quelque peu négligé.