Les mots "honorable" et 'lamentable" ne sont pas, et ne seront jamais mes mots.
Mélomane s'applique pour moi autant au Jazz qu'au Blues ou à la Variété.
Mélomane c'est d'abord être remué par la musique elle-même, autant sur un autoradio que sur les Jalucine 1 Max.
Tomber sur le cul parce qu'on entend admirablement bien les plans sonores, la profondeur de la scène, des timbres pleins, des dialogues précis entre pupitres, le tout dans une interprétation médiocre, c'est être audiophile dans le mauvais sens du terme.
C'est équivalent à aller assister à une pièce de Shakespeare et s'extasier sur les décors et les éclairages quand les acteurs ne connaissent pas leur texte et jouent comme des brèles.
Amitiés
PS: il n'y a évidemment pas besoin d'être musicien ou "instruit" musicalement pour être chaviré par la musique.
C'est même la base de la composition musicale de Monteverdi jusqu'au début du XXème siècle pour la musique dite classique: l'auditeur y est, à son insu et malgré lui, malmené, récompensé, effrayé, etc, etc.
Suivant les compositeurs et les auditeurs, cela "fonctionne" plus ou moins bien...
PS2: on reconnait les "audiophiles de l'extrême" aux concerts. Ce sont ceux qui ne supportent pas les mamies qui toussent, les gens qui applaudissent quand il ne faut pas, et qui comptabilisent les fausses notes.
Mélomane s'applique pour moi autant au Jazz qu'au Blues ou à la Variété.
Mélomane c'est d'abord être remué par la musique elle-même, autant sur un autoradio que sur les Jalucine 1 Max.
Tomber sur le cul parce qu'on entend admirablement bien les plans sonores, la profondeur de la scène, des timbres pleins, des dialogues précis entre pupitres, le tout dans une interprétation médiocre, c'est être audiophile dans le mauvais sens du terme.
C'est équivalent à aller assister à une pièce de Shakespeare et s'extasier sur les décors et les éclairages quand les acteurs ne connaissent pas leur texte et jouent comme des brèles.
Amitiés
PS: il n'y a évidemment pas besoin d'être musicien ou "instruit" musicalement pour être chaviré par la musique.
C'est même la base de la composition musicale de Monteverdi jusqu'au début du XXème siècle pour la musique dite classique: l'auditeur y est, à son insu et malgré lui, malmené, récompensé, effrayé, etc, etc.
Suivant les compositeurs et les auditeurs, cela "fonctionne" plus ou moins bien...
PS2: on reconnait les "audiophiles de l'extrême" aux concerts. Ce sont ceux qui ne supportent pas les mamies qui toussent, les gens qui applaudissent quand il ne faut pas, et qui comptabilisent les fausses notes.