12-01-2015, 12:32 PM (Modification du message : 12-01-2015, 01:07 PM par Johnny Fletcher.)
Je viens d'écouter de larges extraits de l'album de Chilcott et pour le coup je n'ai pas été emballé. Ça a plutôt l'allure d'une comédie musicale de Brodway, et comme ce n'est pas du tout ma limonade, ce disque m'est passé au dessus des oreilles.
Par contre grâce à ton post initial, j'ai découvert des compositeurs français que je ne connaissais pas et dont j'ai envie de découvrir davantage le travail.
SOURCE AURA VIVID AMPLI REGA BRIO R ENCEINTES JMR EUTERPE VINYLLENCO L80CELLULEORTOFON 2M RED CÂBLES MODUL VAN DEN HUL THE SECOND CÂBLES HPAUDIOQUEST TYPE 4 SECTEURPANGEA AC 14 SE MKII
Mais quelle est la limite basse au contemporain ?
Dutilleux et Messiaen, Pierre Henry pour rester en France ??
De mon côté, j'ai découvert des compositeurs américains, dont les créations sont enregistrées par des Orchestres Universitaires (très fort niveau) et distribuées par Mark Masters. Des prises de son excellentes en plus !
01-30-2016, 04:33 PM (Modification du message : 01-30-2016, 04:37 PM par Chet.)
Au début, faut un peu s'accrocher pour y rentrer... Comme quelques Messiaen
Tous les instruments sont joués façon percussion... Pas beaucoup de legato... Et après, rien a siffler de mémoire sous la douche !
Mais à découvrir pour se régénérer l'écoute de la musique. http://www.amazon.fr/gp/product/B000027R...ge_o01_s00
en écoutant un concert sur France Musique, j'ai découvert un compositeur intéressant et une œuvre passionnante:
Fausto Romitelli / professor bad trip
un triptyque envoutant
(01-03-2016, 11:25 PM)Chet a écrit : Mais quelle est la limite basse au contemporain ?
Dutilleux et Messiaen, Pierre Henry pour rester en France ??
La diversité de styles est telle que le plus pratique est de dire que la musique contemporaine c'est ce qui a été composé après 1945.
dans l'émissssion d'Armand Panigel,"la tribune des critiques de disques",il y a donc bien longtemps,une spectatrice,(l'émission était en public à la maison de la radio et diffusée sur France Musique) disait qu'elle n'aimait pas la musique contemporaine.
en lui demandant ou était le curseur de l'inaudible pour elle,Debussy était tout juste écoutable ,en faisant des efforts.
05-29-2016, 11:11 AM (Modification du message : 05-29-2016, 11:12 AM par Vonkarl.)
(05-27-2016, 11:41 AM)noisette a écrit :
(01-04-2016, 06:36 PM)demat a écrit :
(01-03-2016, 11:25 PM)Chet a écrit : Mais quelle est la limite basse au contemporain ?
Dutilleux et Messiaen, Pierre Henry pour rester en France ??
La diversité de styles est telle que le plus pratique est de dire que la musique contemporaine c'est ce qui a été composé après 1945.
dans l'émissssion d'Armand Panigel,"la tribune des critiques de disques",il y a donc bien longtemps,une spectatrice,(l'émission était en public à la maison de la radio et diffusée sur France Musique) disait qu'elle n'aimait pas la musique contemporaine.
en lui demandant ou était le curseur de l'inaudible pour elle,Debussy était tout juste écoutable ,en faisant des efforts.
La limite est différente selon sa propre expérience c'est-à-dire selon les types de musiques que l'on a pu écouter auparavant.
Je ferai une analogie avec les langues étrangères. Plus vous en connaissez et plus c'est facile d'en apprendre de nouvelles.
Ainsi, il est très difficile de faire prononcer le son "eu" (beurre) à un espagnol car le phonème correspondant n'existe pas. Inversement, le "rr" doublé ("perro") ou la "jota" est compliqué pour un français.
Pour ma part, j'ai eu la chance de pouvoir écouter Wozzeck à 12 ans au Capitole puis j'ai enchaîné stoïquement sur les 3h et demie de Tristan et Isolde : passé la surprise et l'étonnement, l'oreille s'habitue petit à petit à de nouvelles sonorités.
Pour reprendre Chet, est-ce que je suis en mesure de siffloter dans ma salle de bain du Wozzeck: pas vraiment mais je peux très bien avoir quelques parties qui me trottent dans la tête.
Bien sûr, c'est plus facile de siffloter du Bézu ...
Je vous propose une petite comparaison entre le choral "Vor deinen Thron tret ich hiermit" qui est donné comme la dernière œuvre de Bach juste avant sa mort (1750) et qui n'est pas dans le style implacable de la "divine machine à coudre" comme disait Colette et puis "Meditation über den Bach-Choral 'Vor deinen Thron tret ich hiermit' " de Sofia Gubaïdulina (années 80).
Bach tout d'abord :
Gubaïdulina ensuite (une autre version que celle que j'ai) avec le thème de Bach qui revient de façon lancinante :