09-08-2017, 02:30 PM
Je suis vintage moi même, il y a bien longtemps que je ne suis pas allé m'incruster dans un auditorium, d'ailleurs il n'en reste pas beaucoup de sympathiques à Marseille.
Il est vrai que les haut parleurs vieillissent. Certains bien plus que d'autres, les suspension en mousse ont jeté l'éponge depuis bien longtemps.
La mousse est retourné à la poussière comme le dit la Bible.
Je ne pense pas après avoir tout de même un peu écouté, qu'il y ait des progrès remarquables. Sur la taille sans doute (en zappant un peu les graves), sur la directivité peut-être ? On connaissait le Ticonal et l'Alnico depuis des années, le bextrène ne semble pas s'être maintenu bien longtemps, tant mieux d'ailleurs, pour le reste... Le papier, ça fait quelques temps qu'il existe, le cuivre c'est pareil. Les filtres, peut-être sont moins approximatifs ? Quand on regarde (je n'y connais rien) les filtres des "Voix du théâtre" on m'a toujours dit qu'ils étaient vraiment basiques. Van der Elst d'ailleurs parle chaque fois des améliorations possibles.
Didier de Luca me racontait que tout jeune il était arrivé à trouver le schéma d'un ampli Philips courant à l'époque. Par bricolage et sans doute aussi par économie il l'avait monté en suivant scrupuleusement le plan et les valeurs qu'il donnait.
Son ampli à la fin, comparé à celui d'un copain, était bien meilleur. Il s'était alors rendu compte que l'ampli "industriel" se simplifiait le montage en mettant des valeurs approchantes des éléments, en fonction sans doute des approvisionnements de l'usine. (C'était un ampli "grand public"). Il y avait en ce temps là, tout de même, des choses bien bâclées, je ne pense pas, même en étant indulgent, que quelqu'un maintenant supporte longtemps un Merlaud des années 70 ! Ou alors il est sourd.
Il est vrai que les haut parleurs vieillissent. Certains bien plus que d'autres, les suspension en mousse ont jeté l'éponge depuis bien longtemps.
La mousse est retourné à la poussière comme le dit la Bible.
Je ne pense pas après avoir tout de même un peu écouté, qu'il y ait des progrès remarquables. Sur la taille sans doute (en zappant un peu les graves), sur la directivité peut-être ? On connaissait le Ticonal et l'Alnico depuis des années, le bextrène ne semble pas s'être maintenu bien longtemps, tant mieux d'ailleurs, pour le reste... Le papier, ça fait quelques temps qu'il existe, le cuivre c'est pareil. Les filtres, peut-être sont moins approximatifs ? Quand on regarde (je n'y connais rien) les filtres des "Voix du théâtre" on m'a toujours dit qu'ils étaient vraiment basiques. Van der Elst d'ailleurs parle chaque fois des améliorations possibles.
Didier de Luca me racontait que tout jeune il était arrivé à trouver le schéma d'un ampli Philips courant à l'époque. Par bricolage et sans doute aussi par économie il l'avait monté en suivant scrupuleusement le plan et les valeurs qu'il donnait.
Son ampli à la fin, comparé à celui d'un copain, était bien meilleur. Il s'était alors rendu compte que l'ampli "industriel" se simplifiait le montage en mettant des valeurs approchantes des éléments, en fonction sans doute des approvisionnements de l'usine. (C'était un ampli "grand public"). Il y avait en ce temps là, tout de même, des choses bien bâclées, je ne pense pas, même en étant indulgent, que quelqu'un maintenant supporte longtemps un Merlaud des années 70 ! Ou alors il est sourd.