Jalucine HC

[jalucine]

Lecteurs de DVD-BlueRay à droite, lecteurs de vidéo-disque et de cassettes à gauche pour archives, Trinnov au centre, D220 en dessous, 802 pour voies arrière, toutes liaisons bas niveau en numérique pour éviter des conversions inutiles, ce qui me semble un plus indubitable quand les amplis sont adaptés.

Les "J20" sur la gauche serviront peut-être un jour pour se mettre en 7.1, mais pas sûr.

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(04-28-2019, 04:47 PM)laurent martiarena a écrit : en voilà une bonne nouvelle !  

il va falloir nous en dire un peu plus sur ce système ! sur quel trinnov altitude est tu parti ? le 16 ou carrément le 32 ? dans les deux cas les performances de l'engin vont te procurer  de quoi t'occuper un moment !

dans le home cinéma comme dans la hifi, il y à des "puristes" un peu perturbés, c'est pas grave, fait à ton idée, seul le résultat compte !

bien sur l'intérêt premier du HC c'est pour les films, mais certains concerts filmés méritent également le détour ainsi que de très beaux documentaires.

la qualité de l'image ne cesse de progresser dans le domaine et le son n'est pas en reste.

bienvenu dans le monde merveilleux du cinéma chez soit !

C'est le 32, pour avoir les sorties numériques.

Sinon effectivement, cela peut être un monde merveilleux. Je voudrais simplement avoir plus de temps pour en profiter. Je peux bosser en écoutant de la musique, mais pas en regardant un film. Deux ou trois fois par semaine, c'est déjà bien. Et puis quand on peut retrouver chez soi un concert d'Amy Winehouse comme si on y était, voire mieux, ou le concert au Waldbühne de Berlin avec le Berliner Philharmoniker, Seiji Osawa et l'incroyable Trio de Marcus Roberts, cela améliore considérablement le quotidien. 

J'ai des possibilités d'amélioration notamment sur l'alimentation secteur, mais je ne suis pas pressé. Ça décoiffe déjà largement assez. Le son est au niveau qualitatif des J24 en définition, cohérence et dynamique. Et la focalisation est assez ahurissante, aussi bien en profondeur bien au delà de l'écran, que par les effets venant des voies d'ambiance. Il faut entendre le moustique arriver dans la scène de l'hôpital de Kill Bill 1 de Tarantino, que l'on localise précisément voletant au dessus de nos têtes, pour se dire que la focalisation marche bien dans les trois dimensions. Je considère cette oeuvre comme un opéra du 21 ème siècle, tellement la mise en scène et la mise en son approchent la perfection. C'est un peu gore, mais au troisième degré. Alors ça passe et c'est jouissif. Mais bon, il y a beaucoup d'autres choses que j'aime.