(09-23-2021, 11:42 PM)MeloMan a écrit : Je pensais que ma remarque était assez claire
Pour toi 9 (5 ) sur ma version Karajan et que tu en connaissait en réalité la particularité historique nous faisant ,par la une sorte de questionnement "farces " dont j'attendais une chute humoristique
Non parfois je pose des questions sérieuses. Je ne sais pas tout.
Mais je me doute bien que l'éditeur n'a pas fait une faute de frappe et qu'il y a une raison
Citation :Musique symphonique[modifier | modifier le code]
Pendant longtemps, seules cinq symphonies du compositeur étaient connues, numérotées de 1 à 5, dans l'ordre de leur publication (qui ne correspond pas entièrement à l'ordre de leur composition). Ainsi, la Symphonie du Nouveau Monde porte alors le numéro 5, et le dictionnaire Robert des noms propres affirmait encore dans les années 1990 que Dvořák était l'auteur de cinq symphonies. Quelques rares spécialistes connaissaient l'existence du cycle complet, mais il faut attendre les années 1960 pour que paraisse la première édition critique des neuf symphonies dans leur numérotation actuelle. Du jour au lendemain, pas moins de quatre « nouvelles » symphonies de Dvořák étaient offertes au monde musical. Aussitôt, plusieurs chefs en profitèrent et enregistrèrent de véritables intégrales discographiques des neuf symphonies : le Polonais Witold Rowicki (Philips), le Hongrois István Kertész (Decca London) et les Tchèques Rafael Kubelík (DG) et Václav Neumann (Supraphon). D'autres intégrales s'ajoutèrent au fil des ans : notamment celles d'Otmar Suitner (Edel Classics), de Neeme Järvi (Chandos) et de Stephen Gunzenhauser (Naxos). Neumann refit une intégrale à l'ère numérique (Supraphon).