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Question fondamentale !
(07-25-2017, 06:08 PM)Tonipe a écrit : Y a t'il des cancres qui ne savent faire marcher que du plug and play ?

Tu manques de respect à tout le monde.

(07-25-2017, 06:08 PM)Tonipe a écrit : Je ne comprends pas l'intérêt des lecteurs réseaux, à partir du moment ou nous avons un seul point musique dans la maison, qui envoie le son dans une seule installation, a partir d'un disque dur unique.
S'il y a des raisons sérieuses pouvez vous les indiquer ?

Un lecteur réseau c'est petit. c'est assorti en taille à l'ampli. Ca fait juste de la musique, c'est optimisé pour. Ca n'a pas 79 process Windows inutiles qui polluent le fonctionnement, l'alim est correcte.Ca ne met pas 1 minutes à booter. Ca n'a pas un système préemptif mal conçu qui ne peut garantir l'acheminement des données au DAC dans les temps. Il n'y a pas de licence Windows à payer. Pas besoin d'antivirus. Ca n'a pas besoin du driver machin ou bidule. Il n'est pas besoin d'être informaticien ou passionné d'informatique



(07-25-2017, 06:08 PM)Tonipe a écrit : Mon cahier des charges est de faire la correction par convolution des sources numériques. Ces sources peuvent être la musique dématérialisée, mais aussi le son de la télé ou du DVD.
Je sais le faire avec un PC avec des logiciels gratuits.
Comment le faire sur une autre plateforme ?
Matériels et logiciels à utiliser ?

Linux, BruteFIR, ALSA, Jack, etc.
Hors informatique / Operating System : MiniDSP et assimilés
contact@reddoaudio.com


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(07-25-2017, 10:24 PM)volpone75 a écrit : Je suis aussi interessé par la base DSD DATABASE SONORE, si vous avez un lien ?
De mon coté j'ai trouvé ce recensement la: 
https://docs.google.com/spreadsheets/d/1...edit#gid=0

Effectivement la plupart des DAC supportant le DSD natif le font via USB, peu supportent le DSD 512, et malheureusement lorsque c'est le cas c'est plutot via un driver ASIO (WIN) qu'en ALSA (LINUX).

Bonsoir,
il s'agit de celle-là, j'ai la précédente de 2016 dans mes archives, j'ai cherché chez sonore pour la trouver, on est arrivé au même résultat.

Il faut dire à la décharge des fabricants que peu de gens sont intéressés par le DSD, surtout en natif, et se satisfont de transcoder en PCM avant de convertir, ce que certains appareils acceptant le DSD font, et qu'on peut faire avec Foobar par exemple, ou autres.

On ne va pas continuer éternellement le débat USB/Ethernet, car selon les appareils les entrées sont plus ou moins bonnes, l'une ou l'autre, mais il faut savoir que Sony a utilisé Mytek (le 192 DSD DAC que je possède) pour ses démos du DSD, possible que son entrée USB ne soit pas si mauvaise...Depuis il est remplacé par le Brooklyn, le Manhattan étant le haut de gamme.
 (A tout hasard je signale que ces appareils ont pas mal d'entrées, dont analogique traitée dans le mode analogique (sans digitalisation) et qu'on a le choix entre volume digital, analogique ou bypass -on en parle peu et on en voit peu car les trouver est difficile, par correspondance sur leur site ou en France chez Magic Mastering.)

jean
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(07-26-2017, 12:23 AM)Jacques92 a écrit :
(07-25-2017, 06:08 PM)Tonipe a écrit : Je ne comprends pas l'intérêt des lecteurs réseaux, à partir du moment ou nous avons un seul point musique dans la maison, qui envoie le son dans une seule installation, a partir d'un disque dur unique.
S'il y a des raisons sérieuses pouvez vous les indiquer ?

Un lecteur réseau c'est petit. c'est assorti en taille à l'ampli. Ca fait juste de la musique, c'est optimisé pour. Ca n'a pas 79 process Windows inutiles qui polluent le fonctionnement, l'alim est correcte.Ca ne met pas 1 minutes à booter. Ca n'a pas un système préemptif mal conçu qui ne peut garantir l'acheminement des données au DAC dans les temps. Il n'y a pas de licence Windows à payer. Pas besoin d'antivirus. Ca n'a pas besoin du driver machin ou bidule. Il n'est pas besoin d'être informaticien ou passionné d'informatique
et au niveau qualitatif, 
un lecteur réseau reçoit via le réseau un fichier
alors que le PC envoie via USB un flux audio
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Je vois que certains recensent les DAC avec entrées I2S (donc au format HDMI en principe), 
j'ai ouvert un fil sur les drive SACD sur le forum "sources", et il semble bien que ce type d'entrées ne servent pas à grand chose, hormis pour les possesseurs de platine à tout faire Oppo ? A moins que, justement, à partir d'un ordi, on puisse sortir du DSD via la prise HDMI en I2S ?
Cdlt
Metronome LP2S -> Mastersound DueVenti -> EBM L5c
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(07-26-2017, 01:38 AM)mélaudiophile a écrit : ...
Il faut dire à la décharge des fabricants que peu de gens sont intéressés par le DSD, surtout en natif, et se satisfont de transcoder en PCM avant de convertir, ce que certains appareils acceptant le DSD font, et qu'on peut faire avec Foobar par exemple, ou autres ...
....

Pour continuer en étant toujours un peu HS par rapport à la question "fondamentale" j'ai l'impression que l'expression "DSD natif" a plusieurs acceptations:

1) Enregistrement produit (enregistré ?) en DSD: Apparemment il y en a peu et je n'en ai identifié aucun > DSD 256 sur les différents sites et catalogues en ligne de "DSD natif". Cela s'oppose au PCM "upsamplé" en temps réel via les moteurs DSP qui va souvent jusqu'au DSD 512 (voir 1024 en théorie).

2) Mode de transmission ou cela s'oppose au DoP (DSD over PCM) qui encapsule du DSD dans du PCM pour des questions de compatibilité de drivers. Cela n'a aucun impact sur la qualité du flux mais l'on est souvent limité au DSD 128 car il semblerait que le DAC doit supporter en PCM le double de la fréquence du flux DSD transmis. Par exemple 384Khz pour du DSD 128. 

Mais c'est peut être a préciser, nuancer ?
ROON > HQPlayer > Allo-USBridge (DietPi) > T+A DAC8 DSD > NAD M22 (Ncore Hypex) > Harbeth SLH5+
Schéma installation
Répondre
(07-26-2017, 10:33 AM)volpone75 a écrit :
(07-26-2017, 01:38 AM)mélaudiophile a écrit : ...
Il faut dire à la décharge des fabricants que peu de gens sont intéressés par le DSD, surtout en natif, et se satisfont de transcoder en PCM avant de convertir, ce que certains appareils acceptant le DSD font, et qu'on peut faire avec Foobar par exemple, ou autres ...
....

Pour continuer en étant toujours un peu HS par rapport à la question "fondamentale" j'ai l'impression que l'expression "DSD natif" a plusieurs acceptations:

1) Enregistrement produit (enregistré ?) en DSD: Apparemment il y en a peu et je n'en ai identifié aucun > DSD 256 sur les différents sites et catalogues en ligne de "DSD natif". Cela s'oppose au PCM "upsamplé" en temps réel via les moteurs DSP qui va souvent jusqu'au DSD 512 (voir 1024 en théorie).

2) Mode de transmission ou cela s'oppose au DoP (DSD over PCM) qui encapsule du DSD dans du PCM pour des questions de compatibilité de drivers. Cela n'a aucun impact sur la qualité du flux mais l'on est souvent limité au DSD 128 car il semblerait que le DAC doit supporter en PCM le double de la fréquence du flux DSD transmis. Par exemple 384Khz pour du DSD 128. 

Mais c'est peut être a préciser, nuancer ?

Salut,
la mention DSD natif concerne les appareils qui ont une puce qui décode le DSD, et ont une entrée qui prend le DSD tel qu'il est (ISO, dsf, dff) sans le repasser en PCM.

 DoP est l'encapsulage du DSD dans une forme PCM, pour les entrées qui ne supportent pas le DSD (AES/EBU, coaxial, USB simple pas ASIO) mais cela reste du DSD et l'appareil le traite comme du DSD quand même s'il en est capable. Je citerai l'exemple que je connais: le Mytek reçoit le DSD en natif par l'entrée USB ASIO mais DOP par les autres entrées (USB, AES/EBU, coaxiale,  firewire), mais cela ne change rien ensuite à la conversion en analogique.

Pour les débits, on annonce des chiffres stratosphériques mais la grande majorité est 64, rarement 128. Cela ne doit pas être un obstacle si le DAC est limité à 128.

jean
Répondre
(07-26-2017, 11:27 AM)mélaudiophile a écrit :
(07-26-2017, 10:33 AM)volpone75 a écrit :
(07-26-2017, 01:38 AM)mélaudiophile a écrit : ...
Il faut dire à la décharge des fabricants que peu de gens sont intéressés par le DSD, surtout en natif, et se satisfont de transcoder en PCM avant de convertir, ce que certains appareils acceptant le DSD font, et qu'on peut faire avec Foobar par exemple, ou autres ...
....

Pour continuer en étant toujours un peu HS par rapport à la question "fondamentale" j'ai l'impression que l'expression "DSD natif" a plusieurs acceptations:

1) Enregistrement produit (enregistré ?) en DSD: Apparemment il y en a peu et je n'en ai identifié aucun > DSD 256 sur les différents sites et catalogues en ligne de "DSD natif". Cela s'oppose au PCM "upsamplé" en temps réel via les moteurs DSP qui va souvent jusqu'au DSD 512 (voir 1024 en théorie).

2) Mode de transmission ou cela s'oppose au DoP (DSD over PCM) qui encapsule du DSD dans du PCM pour des questions de compatibilité de drivers. Cela n'a aucun impact sur la qualité du flux mais l'on est souvent limité au DSD 128 car il semblerait que le DAC doit supporter en PCM le double de la fréquence du flux DSD transmis. Par exemple 384Khz pour du DSD 128. 

Mais c'est peut être a préciser, nuancer ?

Salut,
la mention DSD natif concerne les appareils qui ont une puce qui décode le DSD, et ont une entrée qui prend le DSD tel qu'il est (ISO, dsf, dff) sans le repasser en PCM.

 DoP est l'encapsulage du DSD dans une forme PCM, pour les entrées qui ne supportent pas le DSD (AES/EBU, coaxial, USB simple pas ASIO) mais cela reste du DSD et l'appareil le traite comme du DSD quand même s'il en est capable. Je citerai l'exemple que je connais: le Mytek reçoit le DSD en natif par l'entrée USB ASIO mais DOP par les autres entrées (USB, AES/EBU, coaxiale,  firewire), mais cela ne change rien ensuite à la conversion en analogique.

Pour les débits, on annonce des chiffres stratosphériques mais la grande majorité est 64, rarement 128. Cela ne doit pas être un obstacle si le DAC est limité à 128.

jean

Je suis d'accord, les entrées SPDIF / AES sont limitées à 192 donc DSD 64 maximum. 

De plus en plus de DAC compatibles DSD supportent le DSD 512. Non pour lire des fichiers nativement produits en DSD 512 (qui n'existent pas), mais pour être alimentés par des moteurs DSP qui convertissent vers le DSD en temps réel, notamment à partir de PCM 16/44. 

Il y aurait des gains sur la qualité sonore à faire la conversion N/A a partir de plus hautes fréquences. Les logiciels pointus proposent donc cela (HQPlayer, Roon, JRIVER  ...) et il y a des amateurs même si cela demande de la puissance de calcul. C'est du DSD natif au niveau du flux transmis mais l'enregistrement est au départ en PCM. C'était le sens de ma remarque.
ROON > HQPlayer > Allo-USBridge (DietPi) > T+A DAC8 DSD > NAD M22 (Ncore Hypex) > Harbeth SLH5+
Schéma installation
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il semble que pour ceux qui ont depuis longtemps des expériences DSD (donc des fichiers DSD originaux, un dac/lecteur adapté, etc..) ... le problème n'est pas de traiter du DSD ou du PCM mais d'avoir des enregistrements de qualité quel que soit le format.. il se fait qu'il y a quelques très bons enregistrements DSD.. qui sont tout aussi bons transcodés en PCM !  Cool  à côté de cela, certains dac sont meilleurs à reproduire des fichiers DSD et d'autres meilleurs en PCM.. bref, l'important est d'avoir de bons enregistrements (rare) et de les presenter au format qui convient le mieux au dac choisi (simple...)

quant à l'upsampling...
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(07-26-2017, 11:52 AM)volpone75 a écrit : De plus en plus de DAC compatibles DSD supportent le DSD 512. Non pour lire des fichiers nativement produits en DSD 512 (qui n'existent pas), mais pour être alimentés par des moteurs DSP qui convertissent vers le DSD en temps réel, notamment à partir de PCM 16/44. 

Il y aurait des gains sur la qualité sonore à faire la conversion N/A a partir de plus hautes fréquences. Les logiciels pointus proposent donc cela (HQPlayer, Roon, JRIVER  ...) et il y a des amateurs même si cela demande de la puissance de calcul. C'est du DSD natif au niveau du flux transmis mais l'enregistrement est au départ en PCM. C'était le sens de ma remarque.

On a donc des DACs qui prennent le DSD et le passent en PCM avant la conversion en analogique, et d'autre part des DACs qui prennent le PCM pour le passer en DSD avant la conversion analogique.......
On aussi des fichiers DSD qui proviennent d'enregistrements PCM car tous les traitements se font en PCM....

Si on est super indulgent on pourrait dire qu'il y a une certaine "confusion" là-dedans, du grand n'importe quoi...
l'industrie nous prend vraiment pour des billes... Comme les vinyles 180 gr qui ne sont que des fichiers digitaux gravés en vinyle et qui sonnent "analogique"...

je suis un primaire, pour moi les DSD sont lus par un DAC qui les lit comme ils sont (en espérant que ce sont bien des vrais DSD), le PCM par un DAC lisant le PCM, et le vinyle doit être analogique du début à la fin de la production, ce qui exclut la presque totalité des nouveautés.
 Pourquoi pas une copie de vinyle en K7 digitalisée en DSD, gravée sur un vinyle rippé en PCM lu sur un DAC qui convertit en DSD 512...?

jean
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mélaudiophile a écrit :  On a donc des DACs qui prennent le DSD et le passent en PCM avant la conversion en analogique, et d'autre part des DACs qui prennent le PCM pour le passer en DSD avant la conversion analogique...

Oui on a tout ça. J'avoue que j'étais, comme toi, très sceptique sur le fait que convertir à la volée du PCM 16/44 en DSD 512 puisse apporter quoique ce soit si ce n'est de la complexité et des dépenses inutiles !

A l'usage il s'avère que l'influence sur le rendu (avec un DAC DSD natif "qui va bien") est très spectaculaire et pour mes oreilles plutôt euphonique. En me renseignant sur le fonctionnement interne des convertisseurs je me suis aperçu que cela pouvait aussi avoir du sens techniquement.

L'idée est de déporter, sur un ordinateur lambda mais puissant, en amont du DAC, les traitements (filtrage / modulation) qui ne peuvent pas être réalisés avec la même qualité par l'électronique du convertisseur ou seulement sur des machines de très haut de gamme. On peut donc en choisissant les filtres et modulateurs modifier l'esthétique sonore (plus qu'avec les quelques filtres "en dur' que proposent la plupart des DAC). Plus on est sur un échantillonnage haut plus le traitement du signal peut être qualitatif et si le DAC permet la conversion sans avoir a "downsampler" c'est l'ideal. Cela expliquerait l'intérêt des DAC DSD natif supportant le DSD 512 si on les associent a un moteur DSP en amont genre HQPLAYER (ou ROON maintenant).

Le concepteur d'HQPlayer, grand promoteur de cette approche, donne les plans d'un DAC DSD minimaliste a 500 euros qui d'après lui égale les meilleurs DAC en association avec son soft. 

Au final on aime ou aime pas et l'on peut bien sur privilégier le "bit perfect" et les filtres intégrées à son DAC par le constructeur mais ce qui est avéré c'est qu'en fonction de la qualité des algos de filtrage / modulation et de la fréquence d'échantillonnage cela a des effets audibles. Ce n'est pas seulement du pipeau marketing pour audiophile gogol. Cela joue au niveau du bruit, des transitions, des attaques, de l'aliasing, de la largeur de la scene sonore ...
ROON > HQPlayer > Allo-USBridge (DietPi) > T+A DAC8 DSD > NAD M22 (Ncore Hypex) > Harbeth SLH5+
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