Sur mon système le câble USB a bien un impact sur le rendu (bande passante, détails...)
Pourquoi c’est ainsi je n’en sais rien, c’est un peu comme les câbles RJ45
Il établit des mesures objectives sur des cables, au depart il evoque des tests entre USB basic et USB hors de prix, mais a la sortie de la video il ne les a pas mis en "competition" dommage.
Les questions,
Est ce un effet placebo psycho acoustique ?
Y a t il des phenomenes qui ne trouvent pas de reponses face a des mesures ?
Le coté subjectif prend il vraiment le dessus lors d écoutes ?
Le coté subjectif est propre a chacun, il existe même lors d un concert acoustique ou electro acoustique, il s en degage des perceptions differentes selon les individus. Est ce une erreur ? sachant que lorsque nous assistons a un concert la notion de plaisir, reste primordiale.
Faut il se deplacer lors de concerts avec des appareils de mesures ? et en oublier l essentiel le ressenti. Et/ou coller ses oreilles a 1 metre des instruments ou HP de scénes, puisque les mesures se font a un metre.
Sans oublier que la piéce d écoute son traitement, l association de materiel, la distance, les conditions d écoutes, ont une influence primordiale. Sans oublier sa culture.
Ici encore 2 mondes qui se cotoient, analyse des frequences, mastering....de la musique, et le simple plaisir ressenti a l écoute de la musique.
06-21-2021, 04:46 PM (Modification du message : 06-21-2021, 06:05 PM par KIKIWILLYBEE.)
Bonjour Tony . ,
Stp …
ton expérience, et tes compétences ne sauraient certainement se satisfaire de quelques constats aussi je me permets de revenir sur :
L’usb , Universal serial bus , est composé des signaux data en mode différentiel +\_ et d’une tension de service positive +5V. et. Ground.
(Cette tension produite par l’émetteur peut parfois véhiculer aussi ses interférences et parasites propres , d’où certains usages audio ou elle est dissociée du câble data's +/- )
L’usb est un Flux de données qui nécessitent une récurrence temporelle stricte , à guigue nulle (idéale) , il est dit ´isochrone ‘ : équivalents du flux de données (audio numérique) en temps réels, ( on parle aussi de flux à débit constant , ou bande passante garantie)…
La largeur de la bande passante doit garantir un espace suffisant entre les différents sous ensemble du spectre : bande passante audio : filtre passe bas , Fc…, multiples du nombre de bits de quantification , des canaux x 2 et définit les débits nécessaires… ici dans notre cas de l’usb audio a une bande passante garantie , ou plutôt débit à : 48o Mbits-1 et donc une fréquence definie .
Ce qui fait la caractéristique d’un conducteur électrique , au delà de l’effet ´Kelvin’ ,
sont (pour rappel Stp Tony .) :
sa capacitence pf.
sa bande passante ou fréquence Hz. spécifique maximale (Ghz.)
son impédance
sa tension de service kV.
la composition du des blindages , et son efficacité en -dB. (>= +/-1oo dB.).
délai nS.M-1 (>= 5ns-1.m-1)
atténuation -dB à F. m-1 (Hz.) (4oo MHz , 1,3,12,18 GHz.) (et donc le taux de propagation ) , (- o.2 dB.m-1 à 4oo Mhz est une valeur moyenne)
Vitesse de propagation - % (+/- 7o %).
Tension de réjection (jacket spark) kV. (+/- 2.o kV .)
Capacitance et impédance étant adaptées à l’usage , Bien sûr le choix se fera donc pour un connecteur , permettant le meilleur respect du signal ,en garantissant son intégrité temporelle . Latence et délai produit du temps de propagation, de l'atténuation ....corrompant cette intégrité temporelle .
L’isolation EMI/HF doit être efficace avec ad minima un simple blindage ., ou plutôt double blindage et blindage actif à l’instar du dbs. Audioquest ….de même une attention doit être portée sur la qualité du connecteur et des soudures associées.
En réserve , si le récepteur a des capacités de reclocking spécifiques efficaces , on peut observer une relative insensibilité à la qualité du câble . C’est aussi le cas si il est inefficace, et à donc une précision temporelle , acccuracy , faible qui s’exprimera avec des valeurs de jitter exprimées en temps , seconde élevées , S-1. Dans nos domaines d’utilisation les précisions sont de l’ordre de la pico seconde 1o-12 S-1 , à l’a Femto seconde 1o-15 .
Les précisions extrêmes de cette expression de la précision à court terme , cf. 'Allan Variance' ou bruit de phase proposées pour un instrument de mesure labo hp keysight agilent seront à : 25 1o-15 S-1.
Pour stp, Tony , introduire quelques éléments de lecture du sujet ,
(pour un objectif, via Câble USB. , de préserver la synchronisation des échantillons ? , les meilleurs expériences DIY semblent , sans surprises , avoir été orientées vers le AG.7N.UPC-OCC.NEOTECH.jp)
C'est très difficile d'objectiver l'impact que peut avoir un simple fil de cuivre sur autre chose que l'électricité qui circule dedans ... les données physiques, mesurables, à l'entrée et à la sortie d'un câble ne sont pas légion : résistance, perte de charge, déformation des signaux sinusoïdaux (et de tous les autres par extrapolation ...), échauffement ... mais quel rapport avec la "musique" ?
Bien sûr, un câble est aussi une antenne qui va capter plein de petits signaux électromagnétiques de son environnement, il suffit parfois d'approcher la main pour "entendre" qu'il se passe quelque chose, et qui va aussi émettre plein de petits signaux autour de lui, donc en théorie ce sont des composants "passifs" qui ont une certaine activité ... mais quid de la "musique" ?
Reste l'expérimentation, dont on ne peut pas exclure l'expérimentateur par définition, ce qui ne permet pas d'en faire des théories définitives mais uniquement des cas particuliers.
12-19-2022, 12:49 AM (Modification du message : 12-19-2022, 12:52 AM par floyer.)
J’ai commencé à écouter la vidéo de delta-sigma et me suis arrêté à l’annonce du principe « rester dans le domaine numérique ». Il est évident qu’avec un tel principe, n’importe quel câble est équivalent (un 0 reste un 0 et un 1 un 1).
La question se pose lors de l’usage d’un DAC qui n’est pas parfait et retransmet une part du signal numérique dans la sortie (sorte de diaphonie). Il suffit alors d’un effet antenne pour que le signal soit plus ou moins bruité en fonction 1/ du DAC 2/ du câble 3/ de l’environnement (dont la source).
Il me semble qu’une expérience plus intéressante aurait été d’utiliser un DAC branché sur un ADC et comparer ce que l’ADC reçoit : y a t’il plus ou moins de bruit selon le câble ? Refaire l’expérience avec un DAC bas de gamme et un haut de gamme permettrait aussi de mesurer l’immunité du DAC selon la gamme.
Salon : paire de Devialet II 98dB Bureau : piano numérique Yamaha N1X (6x30W), DAC/ADC Steinberg UR22, casque AKG702
12-19-2022, 06:40 PM (Modification du message : 12-19-2022, 07:55 PM par Amoulsolo.)
(06-21-2021, 04:57 PM)PascalB a écrit : Et sans oublier ... les oreilles !
C'est très difficile d'objectiver l'impact que peut avoir un simple fil de cuivre sur autre chose que l'électricité qui circule dedans ... les données physiques, mesurables, à l'entrée et à la sortie d'un câble ne sont pas légion :
Hello, mais des données comparatives et mesurables en sortie d'appareil, c'est tout à fait possible et cela a déjà été réalisé.
Quelques micro différences d'un câble à l'autre
Des différences mesureables en sortie de dac sur de mauvais appareils lorsque le câble USB est plus long et ces différences s'annulent avec un bon dac capable de filtrer convenablement.
Des différences qui sont toujours en dessous du seuil de l'audition.
Bref, un bon câble court à 3€ et un bon dac. Et pour le reste, mieux vaut le dépenser en albums à écouter, en places de concerts, en WE avec sa moitié...
Enceintes actives - Focal trio 6 BE Dac préampli - RME ADI 2
Streamer - Mano Music Streamer Yellowtec Puc 2 Lite XLR : Canare L4E-6S ( Ô Quetzalwire) Casque - AKG Q701