01-09-2017, 08:59 PM
(Modification du message : 01-09-2017, 09:24 PM par Musicalbox.)
La rubrique DIY est faite pour être efficace et permettre directement aux diyeurs d'avoir l'information qui correspond au sujet.
Merci s'il vous plaît de respecter le sujet, pour toute autre considération il y a bien d'autres fils à suivre ou ouvrir.
Effets des sections individuelles.
On ne parle ni de section globale, ni d'autre chose.
Sans vouloir vous embêter mais ce genre d'info est efficace uniquement si l'on ne doit pas faire le tri.
En plus suffit de suivre le titre........
L'aluminium ????!!
Il y a deux manières de cumuler des brins fins :
Soit façon Litz, avec isolation individuelle, soit tout regroupé.
Dans le deuxième cas on va considérer la section globale, dans le premier une multiplication des sections individuelles.
Dans le deuxième cas le grossissement de la section va créer un empatement qui va alourdir le résultat.
La différence entre monobrin et multibrin réside essentiellement dans la profondeur, la dynamique. La présence.
On aura beau cumuler autant de petits brins qu'on veut, il y a des effets qu'ils ne sortiront jamais.
À section égale on n'a tout simplement deux caractères différents.
Cumuler X fois la même section a un effet.
Pour autant cela n'offre pas ce que va donner une autre section, d'autres sections.
Chaque section de monobrins agit dans un registre.
En maîtriser plusieurs, maîtriser leur combinaison, c'est pouvoir assurer l'aplomb, l'assise, la présence sur chaque registre.
Inconvénient : c'est un véritable réglage registre par registre ainsi que la fluidité et la cohérence.
Et cela ne peut se faire qu'à l'écoute.
Avantage : la richesse des timbres, l'ampleur, l'aplomb , sur toute la bande passante sans rien mis en avant ou en retrait et chaque registre considéré dans sa plénitude.
Effets des sections individuelles : un 0,5mm ne donne pas la même chose qu'un 0,3 ou un 0,8mm, 1 ou plus.
Si l'on maîtrise les sections on peut les composer. Formuler précisément le résultat.
Le monobrin réagit d'une manière franche.
C'est son avantage.
Aucun flou, une section = un résultat net et tranché.
Il conserve, mis en faisceau, son identité et ses propriétés sonores.
On peut alors non pas subir un résultat global, mais régler précisément chaque registre. Lequel n'est plus absorbé dans la masse globale mais conserve son caractère.
Merci s'il vous plaît de respecter le sujet, pour toute autre considération il y a bien d'autres fils à suivre ou ouvrir.
Effets des sections individuelles.
On ne parle ni de section globale, ni d'autre chose.
Sans vouloir vous embêter mais ce genre d'info est efficace uniquement si l'on ne doit pas faire le tri.
En plus suffit de suivre le titre........
(01-09-2017, 07:34 PM)curiosity a écrit : Bonjour
Pour mes câbles HP, à l'époque (+ de 20 ans), j'avais eu une discussion avec le revendeur que je "complétais" avec mes connaissances d'électricien. Au final, je suis parti sur du câble cuivre multibrin pour atteindre une section d'environ 4mm2 en xx brins très fin.
Disons, que compte tenu de l'intensité possible en pointe délivrer par un ampli, le 4mm2 me semblait être une bonne section, et que le multibrin (pour des enceintes) offrait plus de détail qu'un câble avec des brins plus "gros", sans parler de la souplesse du câble bien entendu.
Concernant, les autres matériaux plus conducteur comme l'aluminum ou autre plus cher je n'ai jamais testé.
L'aluminium ????!!
Il y a deux manières de cumuler des brins fins :
Soit façon Litz, avec isolation individuelle, soit tout regroupé.
Dans le deuxième cas on va considérer la section globale, dans le premier une multiplication des sections individuelles.
Dans le deuxième cas le grossissement de la section va créer un empatement qui va alourdir le résultat.
La différence entre monobrin et multibrin réside essentiellement dans la profondeur, la dynamique. La présence.
On aura beau cumuler autant de petits brins qu'on veut, il y a des effets qu'ils ne sortiront jamais.
À section égale on n'a tout simplement deux caractères différents.
Cumuler X fois la même section a un effet.
Pour autant cela n'offre pas ce que va donner une autre section, d'autres sections.
Chaque section de monobrins agit dans un registre.
En maîtriser plusieurs, maîtriser leur combinaison, c'est pouvoir assurer l'aplomb, l'assise, la présence sur chaque registre.
Inconvénient : c'est un véritable réglage registre par registre ainsi que la fluidité et la cohérence.
Et cela ne peut se faire qu'à l'écoute.
Avantage : la richesse des timbres, l'ampleur, l'aplomb , sur toute la bande passante sans rien mis en avant ou en retrait et chaque registre considéré dans sa plénitude.
Effets des sections individuelles : un 0,5mm ne donne pas la même chose qu'un 0,3 ou un 0,8mm, 1 ou plus.
Si l'on maîtrise les sections on peut les composer. Formuler précisément le résultat.
Le monobrin réagit d'une manière franche.
C'est son avantage.
Aucun flou, une section = un résultat net et tranché.
Il conserve, mis en faisceau, son identité et ses propriétés sonores.
On peut alors non pas subir un résultat global, mais régler précisément chaque registre. Lequel n'est plus absorbé dans la masse globale mais conserve son caractère.