Il y a 10 heures
On avance dans l'exploration de ce système, somme toute au synoptique assez simple et direct pour s'intéresser désormais au moteur...
Deux gros v8 américains, que sont mes fidèles McIntosh 501.

Ce sont les patrons, dans plusieurs locaux d'ailleurs et avec diverses enceintes (des grosses, des moins grosses, des pavillons, des rayonnements directs, des...) depuis... 2004, et je n'ai depuis jamais eu de velléités de les changer, eux.
Ce sont mes 4ème Mc, sachant que j'ai mis le doigt dans la prise avec un 2125, puis je suis passé sur un 300 (bof)... puis un 500 (mon premier "vrai" gros Mc
) puis finalement finir sur cette paire de 501, qui ne m'a quasiment rien couté avec la revente du 500 (qui est aussi à ce jour, un des amplis que j'ai le plus aimé... une puta*n de muscle car vraiment badass
).
![[Image: lvmyl1.jpg]](https://i.goopics.net/lvmyl1.jpg)
L'avantage des 501, c'est que j'ai retrouvé les timbres (riches, denses, incarnés), le prat, la puissance, le drive, la facilité... du 500, mais avec une finesse juste remarquable, une meilleure précision (focalisation exemplaire), un silence de tombe...
C'est d'ailleurs toujours un des rares amplis sur le marché, en terme de rapport signal/bruit et de capacités dynamiques qui peuvent totalement se caler sur les pré-requis des dits "super-formats". Voir à ce propos les mesures de Stereophile... c'est un cas d'école à cet enseigne.
By the way, pour les (très) gros amplis, les 501 ont une qualité rare, dont j'use et j'abuse, ils fonctionnent parfaitement même en chuchotant. Il m'arrive, tard la nuit et pour ne pas réveiller Madame Dave, de jouer des morceaux où les aiguilles ne bougent même pas...
Or c'est cristallin, rempli, incarné, en relief, vivant... c'est homothétique. Et c'est juste magique, évidemment avec les grands yeux bleus qui battent (ou pas du coup
) la mesure...
A l'inverse, si l'on décide d'écouter fort, la scène sonore se déploie linéairement, pousse les murs, le plafonds, et c'est un déferlement... mais toujours sous contrôle, et cela du Metal le plus dégénéré en passant par une symphonie de Mahler et en terminant par un boom boom technoïde bien senti. Bon, un frêle violon solo, ou un coup de triangle sauront aussi faire leurs effets...
On peut chez moi écouter à un niveau "concert" et c'est franchement le pied comme disait Marty McFly
Les 501 ont aussi cette qualité qu'il s'agit du "son McIntosh" classique, modernisé, mais qui reste reconnaissable entre mille...
A l'inverse, c'est ce que je reproche aux blocs qui sont venus ensuite (les 601, puis actuellement je ne sais même plus...) : cette identité, pourtant très organique et qui prend aux tripes, a été perdue. Il ne s'agit pourtant pas réellement d'une "coloration", au sens le plus vulgaire et schématique et systématique du terme, que d'une "inclinaison euphonique".
L'entendre ? C'est le comprendre...
A noter sinon, pour des blocs solid state, que le fonctionnement par transformateurs de sortie permet aux amplis de parfaitement s'adapter au comportement des enceintes. Il faut juste bien rester dans les clous de ce que des transfo de sortie peuvent faire, exactement comme un ampli à tubes.
Il s'agit sinon d'un vrai schéma quad balanced pour chaque canal, ce qui explique aussi un tel silence : les oreilles collées sur les tweeters, on dirait que le système est éteint...
La suite, et l'on aura fini le tour du propriétaire en clôturant par les câbles et "accessoires" (guillemets car j'estime qu'ils sont essentiels), bref la suite va porter sur la pré-amplifiation et les sources.
Deux gros v8 américains, que sont mes fidèles McIntosh 501.

Ce sont les patrons, dans plusieurs locaux d'ailleurs et avec diverses enceintes (des grosses, des moins grosses, des pavillons, des rayonnements directs, des...) depuis... 2004, et je n'ai depuis jamais eu de velléités de les changer, eux.
Ce sont mes 4ème Mc, sachant que j'ai mis le doigt dans la prise avec un 2125, puis je suis passé sur un 300 (bof)... puis un 500 (mon premier "vrai" gros Mc
) puis finalement finir sur cette paire de 501, qui ne m'a quasiment rien couté avec la revente du 500 (qui est aussi à ce jour, un des amplis que j'ai le plus aimé... une puta*n de muscle car vraiment badass
).![[Image: lvmyl1.jpg]](https://i.goopics.net/lvmyl1.jpg)
L'avantage des 501, c'est que j'ai retrouvé les timbres (riches, denses, incarnés), le prat, la puissance, le drive, la facilité... du 500, mais avec une finesse juste remarquable, une meilleure précision (focalisation exemplaire), un silence de tombe...
C'est d'ailleurs toujours un des rares amplis sur le marché, en terme de rapport signal/bruit et de capacités dynamiques qui peuvent totalement se caler sur les pré-requis des dits "super-formats". Voir à ce propos les mesures de Stereophile... c'est un cas d'école à cet enseigne.
By the way, pour les (très) gros amplis, les 501 ont une qualité rare, dont j'use et j'abuse, ils fonctionnent parfaitement même en chuchotant. Il m'arrive, tard la nuit et pour ne pas réveiller Madame Dave, de jouer des morceaux où les aiguilles ne bougent même pas...
Or c'est cristallin, rempli, incarné, en relief, vivant... c'est homothétique. Et c'est juste magique, évidemment avec les grands yeux bleus qui battent (ou pas du coup
) la mesure...A l'inverse, si l'on décide d'écouter fort, la scène sonore se déploie linéairement, pousse les murs, le plafonds, et c'est un déferlement... mais toujours sous contrôle, et cela du Metal le plus dégénéré en passant par une symphonie de Mahler et en terminant par un boom boom technoïde bien senti. Bon, un frêle violon solo, ou un coup de triangle sauront aussi faire leurs effets...
On peut chez moi écouter à un niveau "concert" et c'est franchement le pied comme disait Marty McFly

Les 501 ont aussi cette qualité qu'il s'agit du "son McIntosh" classique, modernisé, mais qui reste reconnaissable entre mille...
A l'inverse, c'est ce que je reproche aux blocs qui sont venus ensuite (les 601, puis actuellement je ne sais même plus...) : cette identité, pourtant très organique et qui prend aux tripes, a été perdue. Il ne s'agit pourtant pas réellement d'une "coloration", au sens le plus vulgaire et schématique et systématique du terme, que d'une "inclinaison euphonique".
L'entendre ? C'est le comprendre...

A noter sinon, pour des blocs solid state, que le fonctionnement par transformateurs de sortie permet aux amplis de parfaitement s'adapter au comportement des enceintes. Il faut juste bien rester dans les clous de ce que des transfo de sortie peuvent faire, exactement comme un ampli à tubes.
Il s'agit sinon d'un vrai schéma quad balanced pour chaque canal, ce qui explique aussi un tel silence : les oreilles collées sur les tweeters, on dirait que le système est éteint...
La suite, et l'on aura fini le tour du propriétaire en clôturant par les câbles et "accessoires" (guillemets car j'estime qu'ils sont essentiels), bref la suite va porter sur la pré-amplifiation et les sources.
Holo "Spring 3 KTE", SMSL "PL200T" + Reddo Audio "J92 v10”, Musician "MDP-2", McIntosh "Mc501" (x2), Focal "Micro Utopia Be", Murmure Audio "Ultimate" (XLR, HP, AES, Secteur, Barrette), REL "T/7x", DSW "REL True Link", Oyaide "GPX PC", Klinger "Floating Board", Fusibles Synergistic Research "Purple" (x6), Ingress Audio "Rollerblocks" (x12), Marigo "Virtuoso Black CD Mat", résonateur de Schumann "Chartres Mk II", pièce dédiée.
![[Image: banniereforumhifi.jpg]](https://i.postimg.cc/wxwWFvzj/banniereforumhifi.jpg)
