Le ratio de compression est la taille du fichier original divisé par la taille du fichier compressé. En FLAC qualité CD on doit être à 2:1 il me semble. Mais cela ne veut pas dire que l’on « jette » de l’information mais que l’on la stocke plus efficacement. Comme un fichier ZIP optimisé pour de l’audio.
(Le principe en FLAC est que pour chaque échantillon, on enregistre la différence entre l’échantillon à enregistrer et l’extrapolation des échantillons précédent… et en général, il n’y a pas besoin de 16bit pour coder cet écart… d’où un gain de place, même si depuis un fichier FLAC on peut reconstituer le WAV initial bit par bit. NB : en FLAC on peut régler le taux de compression. Il s’agit uniquement de la complexité de « l’extrapolation »… mais pas d’approximation sur le résultat).
S’il y a un écart entre l’écoute d’un fichier FLAC et de son original WAV, cela ne peut venir que de l’interférence des temps de calcul FLAC (il faut recalculer les extrapolations), mais pas des données envoyées au DAC. C’est pour cela que l’on parle de lossless.
Et effectivement, en lossy, on ne sait pas reconstituer le flux d’origine… il y a des arrondis à droite et à gauche plus ou moins marqués. En MP3, on décompose le signal par bande de fréquence assez fine et on code ces bandes avec une précision variable en tenant compte des effets de masquage.
(Le principe en FLAC est que pour chaque échantillon, on enregistre la différence entre l’échantillon à enregistrer et l’extrapolation des échantillons précédent… et en général, il n’y a pas besoin de 16bit pour coder cet écart… d’où un gain de place, même si depuis un fichier FLAC on peut reconstituer le WAV initial bit par bit. NB : en FLAC on peut régler le taux de compression. Il s’agit uniquement de la complexité de « l’extrapolation »… mais pas d’approximation sur le résultat).
S’il y a un écart entre l’écoute d’un fichier FLAC et de son original WAV, cela ne peut venir que de l’interférence des temps de calcul FLAC (il faut recalculer les extrapolations), mais pas des données envoyées au DAC. C’est pour cela que l’on parle de lossless.
Et effectivement, en lossy, on ne sait pas reconstituer le flux d’origine… il y a des arrondis à droite et à gauche plus ou moins marqués. En MP3, on décompose le signal par bande de fréquence assez fine et on code ces bandes avec une précision variable en tenant compte des effets de masquage.
Salon : Marantz M-CR612, Elipson Prestige Facet 8B, Elipson Prestige Subwoofer 8.1
Bureau : DAC/ADC Steinberg UR22, casque AKG702, Haut-parleurs : Altec Lansing 220 (PC), paires de Denon Home 150
Bureau : DAC/ADC Steinberg UR22, casque AKG702, Haut-parleurs : Altec Lansing 220 (PC), paires de Denon Home 150