05-12-2024, 02:37 PM
En fait tout est basé sur les définitions comme sur le schéma ci-dessous:
![[Image: Capture-d-cran-2024-05-12-14-14-57.png]](https://i.ibb.co/NrzzNPY/Capture-d-cran-2024-05-12-14-14-57.png)
Ensuite, la DC dépend de la fréquence, du RT60 (à cette fréquence, donc des caractéristiques de la pièce en termes d'absorption et de diffusion et dimensions géométriques), et de la directivité des enceintes.
Pour avoir une DC qui est la même à toutes les fréquences, il faut donc un RT60 stable sur toutes les fréquences (au delà de la zone modale, car dans la zone modale le champ n'est ni diffus ni homogène par définition).
Il faut aussi des enceintes avec une directivité stable en fréquence, ou au minimum contrôlée, sinon le champ réverbéré va varier aussi en fonction de la fréquence.
Bref, ça ne pose pas de vrai problème pour calculer approximativement la distance critique à partir du moment où on a un RT60 stable et des enceintes dont la directivité est connue et un minimum contrôlée.
La DC est d'autant plus longue que le RT60 est faible et que la directivité est forte. En gros, avec un RT60 très faible et une directivité très marquée, on va fort probablement écouter surtout du champ direct, sauf à pouvoir écouter très loin des enceintes.
Dans tous les cas, pour savoir où on se trouve, il faut mesurer. Sinon on fait à l'oreille et on se met là où ça nous convient, et si on a du bol, on n'aura pas trop de trainage ou de modes envahissants, et des enceintes suffisamment directives dans une pièce assez grande pour que les réflexions n'aient pas une intensité trop forte là où on s'est placé.
C'est aussi pour cela que l'écoute de proximité avec des enceintes qui ne descendent pas trop dans le grave, est souvent une très bonne option quand on ne peut pas traiter acoustiquement sa pièce d'écoute. Peu de grave = moins de risque d'avoir des modes gênants, et proximité des enceintes = prépondérance du champ direct sur le champ réverbéré d'autant plus forte qu'on est plus près.
![[Image: Capture-d-cran-2024-05-12-14-14-57.png]](https://i.ibb.co/NrzzNPY/Capture-d-cran-2024-05-12-14-14-57.png)
Ensuite, la DC dépend de la fréquence, du RT60 (à cette fréquence, donc des caractéristiques de la pièce en termes d'absorption et de diffusion et dimensions géométriques), et de la directivité des enceintes.
Pour avoir une DC qui est la même à toutes les fréquences, il faut donc un RT60 stable sur toutes les fréquences (au delà de la zone modale, car dans la zone modale le champ n'est ni diffus ni homogène par définition).
Il faut aussi des enceintes avec une directivité stable en fréquence, ou au minimum contrôlée, sinon le champ réverbéré va varier aussi en fonction de la fréquence.
Bref, ça ne pose pas de vrai problème pour calculer approximativement la distance critique à partir du moment où on a un RT60 stable et des enceintes dont la directivité est connue et un minimum contrôlée.
La DC est d'autant plus longue que le RT60 est faible et que la directivité est forte. En gros, avec un RT60 très faible et une directivité très marquée, on va fort probablement écouter surtout du champ direct, sauf à pouvoir écouter très loin des enceintes.
Dans tous les cas, pour savoir où on se trouve, il faut mesurer. Sinon on fait à l'oreille et on se met là où ça nous convient, et si on a du bol, on n'aura pas trop de trainage ou de modes envahissants, et des enceintes suffisamment directives dans une pièce assez grande pour que les réflexions n'aient pas une intensité trop forte là où on s'est placé.
C'est aussi pour cela que l'écoute de proximité avec des enceintes qui ne descendent pas trop dans le grave, est souvent une très bonne option quand on ne peut pas traiter acoustiquement sa pièce d'écoute. Peu de grave = moins de risque d'avoir des modes gênants, et proximité des enceintes = prépondérance du champ direct sur le champ réverbéré d'autant plus forte qu'on est plus près.