De retour d’un beau week-end prolongé, j’ai retrouvé avec hâte mon système pour savourer ma nouvelle cellule d’exception (non pour son prix mais pour sa rareté et ses qualités hautement musicales) JAN ALLAERTS MC1 Boron MKII qui n’a pas fini de me surprendre. En effet, si les quelques morceaux tests vendredi dernier étaient particulièrement convaincants, l’écoute prolongée de cet après-midi renforce très fortement ma satisfaction d’achat.
J’ai commencé par l’écoute intégrale d’un disque que je connais très bien et qui m’avait servi de test pour l’achat de ma platine : Clapton Unplugged dans sa version MFSL One Step. Dès les premières secondes, phono et ampli tout juste chauds, je suis impressionné par l’ouverture et le réalisme accru de l’ambiance de salle et de scène. Sur le morceau Signe les percussions sont très nettes, la caisse de la guitare est très réaliste grâce à un registre grave très réussi, profond à souhait avec l’EA-1200. Sur Layla, les accords sont très distincts. De même, sur Running on Faith, les frappes de percussions sont très nettes, avec un impact que je n’avais pas entendu à ce niveau. Sur Alberta, la ligne de de basse est profonde et les attaques de piano de Chuck Levell sont superbes, parfaitement distinctes. Sur Old Love, outre l’aération et une assise remarquable, les attaques de mediator sont hyper nettes. La scène est très réaliste.
Je passe sur Bowie. Vendredi dernier, tests plus que concluants sur les morceaux très chargés I’m Afraid of Americans et Warszawa. Le grave était très impressionnant et la musique du premier morceau très lisible, beaucoup plus aérée encore qu’avec la Sculpture A. Essai transformé sans surprise cette fois mais avec beaucoup de plaisir sur Station to Station, morceau également exigeant que je redécouvre sous l’éclairage de Jan Allaerts : du grave avec de l’impact, percussions et jeu de guitare qui se détachent nettement.
Sur Walk On the Wild Side, la résonnance de la caisse de contrebasse est très présente et très réaliste.
Sur Ben Webster - Tenderly, le saxo révèle une profondeur inouïe ! Il en est de même sur le violoncelle de Sonia Wieder Atherton (Bach, 1ere suite) dont le registre grave restitué est très impressionnant.
De même, les attaques de la main gauche de Daniel Varsano dans la 1ere Gnossienne de Satie se sont révélées avec plus de vivacité et d’impact.
Comme avec la Sculpture A, les voix sont hyper naturelles, avec une présence encore plus incarnée (Clapton, Brel, Billie Holiday, Dominique Fils-Aimé pour les écoutes du jour).
Le diamant de la Jan Allaerts extrait énormément d’informations des sillons…pour restituer la musique avec un grand naturel et un réalisme que je trouve impressionnant à ce stade sur la musique acoustique. L’écoute est solidement charpentée sur le registre rock. Les premiers extraits symphoniques écoutés sont prometteurs, avec une très belle scène sonore.
Voilà une cellule dont on parle peu…mais une véritable merveille qui justifie sa réputation.
Merci à François d’AMS de m’avoir proposé de découvrir et de profiter de cette rareté.
J’ai commencé par l’écoute intégrale d’un disque que je connais très bien et qui m’avait servi de test pour l’achat de ma platine : Clapton Unplugged dans sa version MFSL One Step. Dès les premières secondes, phono et ampli tout juste chauds, je suis impressionné par l’ouverture et le réalisme accru de l’ambiance de salle et de scène. Sur le morceau Signe les percussions sont très nettes, la caisse de la guitare est très réaliste grâce à un registre grave très réussi, profond à souhait avec l’EA-1200. Sur Layla, les accords sont très distincts. De même, sur Running on Faith, les frappes de percussions sont très nettes, avec un impact que je n’avais pas entendu à ce niveau. Sur Alberta, la ligne de de basse est profonde et les attaques de piano de Chuck Levell sont superbes, parfaitement distinctes. Sur Old Love, outre l’aération et une assise remarquable, les attaques de mediator sont hyper nettes. La scène est très réaliste.
Je passe sur Bowie. Vendredi dernier, tests plus que concluants sur les morceaux très chargés I’m Afraid of Americans et Warszawa. Le grave était très impressionnant et la musique du premier morceau très lisible, beaucoup plus aérée encore qu’avec la Sculpture A. Essai transformé sans surprise cette fois mais avec beaucoup de plaisir sur Station to Station, morceau également exigeant que je redécouvre sous l’éclairage de Jan Allaerts : du grave avec de l’impact, percussions et jeu de guitare qui se détachent nettement.
Sur Walk On the Wild Side, la résonnance de la caisse de contrebasse est très présente et très réaliste.
Sur Ben Webster - Tenderly, le saxo révèle une profondeur inouïe ! Il en est de même sur le violoncelle de Sonia Wieder Atherton (Bach, 1ere suite) dont le registre grave restitué est très impressionnant.
De même, les attaques de la main gauche de Daniel Varsano dans la 1ere Gnossienne de Satie se sont révélées avec plus de vivacité et d’impact.
Comme avec la Sculpture A, les voix sont hyper naturelles, avec une présence encore plus incarnée (Clapton, Brel, Billie Holiday, Dominique Fils-Aimé pour les écoutes du jour).
Le diamant de la Jan Allaerts extrait énormément d’informations des sillons…pour restituer la musique avec un grand naturel et un réalisme que je trouve impressionnant à ce stade sur la musique acoustique. L’écoute est solidement charpentée sur le registre rock. Les premiers extraits symphoniques écoutés sont prometteurs, avec une très belle scène sonore.
Voilà une cellule dont on parle peu…mais une véritable merveille qui justifie sa réputation.
Merci à François d’AMS de m’avoir proposé de découvrir et de profiter de cette rareté.