11-13-2016, 03:20 AM
Les mesures et l'image de (non)-linéarité qu'elles donnent sont un outil de mise en oeuvre à un endroit donné. pda0 l'a montré x fois. Mais un signal sinusoïdal est loin de ressembler aux transitoires musicaux, et la pondération des courbes gomme une grosse partie des multiples résonances des HPs, de l'enceinte et de la pièce. Un creux dans une courbe de réponse peut être la compensation salutaire d'une zone où un HP s'exprime avec plus de dynamique. À quelques db près, mettre en rapport les mesures et l'écoute n'a rien d'évident.
Quant au niveau dans l'extrême-grave, il suffit d'écouter n'importe quel instrument jouant dans les premières octaves pour constater que les 24 descendent très bas, sans trainer et avec du niveau. Un petit coup de Gnomus par Jean Guillou, I try de Public Lover, Kenya bass intro de Ambrose Akinmusire, No more words d'Anna Calvi, le temps passé de Michel Jonas, Scars de Zenzile et vous collerez vos micros au fond du placard.
Quant au niveau dans l'extrême-grave, il suffit d'écouter n'importe quel instrument jouant dans les premières octaves pour constater que les 24 descendent très bas, sans trainer et avec du niveau. Un petit coup de Gnomus par Jean Guillou, I try de Public Lover, Kenya bass intro de Ambrose Akinmusire, No more words d'Anna Calvi, le temps passé de Michel Jonas, Scars de Zenzile et vous collerez vos micros au fond du placard.