Bien d'accord sur les niveaux sonores et l'utilité de la calibration du sonomètre.
J'échangerais pas mes trois 20cm contre un baril de 38.
À part ta façon de calculer la puissance nécessaire pour reproduire un pic sonore musical, en passant par le DR, alors que je préfère partir d'un niveau maximum, je n'ai pas d'objection sur ces propos. Il est vrai que mesurer un niveau sonore sur impulsion n'est pas chose facile. Les instruments numériques ne me semblent toujours pas convaincants sur ce point. On retombe alors sur des appréciations subjectives. Et puis, après ces considérations théoriques, la mise en pratique voudrait que les enceintes puissent transcrire sans limitation la zone d'énergie maximale de 200 à 800 hz, jusqu'au niveau acoustique souhaité. Un PHL 2440 le peut. Un 12,5 cm Vivid risque de faire la grimace si on lui envoie des salves à 500 watts. Heureusement que d'après mes calculs, il suffit de 64 w par enceinte pour atteindre les 102 db au point d'écoute, mais comme le filtre doit bouffer sensiblement plus de la moitié de l'énergie électrique, 150w doivent suffire à vue de nez avant de dépasser les capacités du HP. Tout cela est bien plus raisonnable et montre que les Giya ont été bien calculées pour une écoute domestique.
J'échangerais pas mes trois 20cm contre un baril de 38.
(11-01-2016, 07:37 PM)ThierryNK a écrit : Ce que j'ai du mal à comprendre Jalucine, c'est ce que tu ne comprends pas...
Il y a des pics sonores, transitoires, très brefs, dans une piste comme dans un concert.
Ces pics ne participent pas à ce que mesure un sonomètre, ni à la dégradation des tympans. Un pic à 120 dB ne détériore pas les tympans, alors qu'un volume soutenu à 120 dB, si. Il n'y a rien de subjectif, là dedans.
Les calculs donnés indiquent simplement ce qu'il faut comme puissance pour que le système hifi soit capable de reproduire ces pics. Ce sont des notions vieilles comme mes robes, d'où mon étonnement devant tes commentaires.
Il ne s'agit évidemment pas que de signaux sinusoïdaux qui ne sont donnés qu'à titre pédagogique.
La puissance nécessaire pour atteindre un niveau permanent continu de X dB SPL n'est pas du tout représentative de ce qu'i se passe dans la musique.
Et pour les "très bons" systèmes, il y a aussi la capacité à produire ces pics non seulement en intensité, mais dans la bonne chronologie.
D'où, à mon avis, bien plus que le facteur d'amortissement qui n'a aucun sens pusique c'est la résistance des câbles enceintes qui le détermine majoritairement, l'importance du slew rate des amplis, que par le passé les fabricants d'amplis fournissait, mais que plus personne ne donne aujourd'hui.
Amitiés
À part ta façon de calculer la puissance nécessaire pour reproduire un pic sonore musical, en passant par le DR, alors que je préfère partir d'un niveau maximum, je n'ai pas d'objection sur ces propos. Il est vrai que mesurer un niveau sonore sur impulsion n'est pas chose facile. Les instruments numériques ne me semblent toujours pas convaincants sur ce point. On retombe alors sur des appréciations subjectives. Et puis, après ces considérations théoriques, la mise en pratique voudrait que les enceintes puissent transcrire sans limitation la zone d'énergie maximale de 200 à 800 hz, jusqu'au niveau acoustique souhaité. Un PHL 2440 le peut. Un 12,5 cm Vivid risque de faire la grimace si on lui envoie des salves à 500 watts. Heureusement que d'après mes calculs, il suffit de 64 w par enceinte pour atteindre les 102 db au point d'écoute, mais comme le filtre doit bouffer sensiblement plus de la moitié de l'énergie électrique, 150w doivent suffire à vue de nez avant de dépasser les capacités du HP. Tout cela est bien plus raisonnable et montre que les Giya ont été bien calculées pour une écoute domestique.