11-01-2016, 07:37 PM
Ce que j'ai du mal à comprendre Jalucine, c'est ce que tu ne comprends pas...
Il y a des pics sonores, transitoires, très brefs, dans une piste comme dans un concert.
Ces pics ne participent pas à ce que mesure un sonomètre, ni à la dégradation des tympans. Un pic à 120 dB ne détériore pas les tympans, alors qu'un volume soutenu à 120 dB, si. Il n'y a rien de subjectif, là dedans.
Les calculs donnés indiquent simplement ce qu'il faut comme puissance pour que le système hifi soit capable de reproduire ces pics. Ce sont des notions vieilles comme mes robes, d'où mon étonnement devant tes commentaires.
Il ne s'agit évidemment pas que de signaux sinusoïdaux qui ne sont donnés qu'à titre pédagogique.
La puissance nécessaire pour atteindre un niveau permanent continu de X dB SPL n'est pas du tout représentative de ce qu'i se passe dans la musique.
Et pour les "très bons" systèmes, il y a aussi la capacité à produire ces pics non seulement en intensité, mais dans la bonne chronologie.
D'où, à mon avis, bien plus que le facteur d'amortissement qui n'a aucun sens pusique c'est la résistance des câbles enceintes qui le détermine majoritairement, l'importance du slew rate des amplis, que par le passé les fabricants d'amplis fournissait, mais que plus personne ne donne aujourd'hui.
Amitiés
Il y a des pics sonores, transitoires, très brefs, dans une piste comme dans un concert.
Ces pics ne participent pas à ce que mesure un sonomètre, ni à la dégradation des tympans. Un pic à 120 dB ne détériore pas les tympans, alors qu'un volume soutenu à 120 dB, si. Il n'y a rien de subjectif, là dedans.
Les calculs donnés indiquent simplement ce qu'il faut comme puissance pour que le système hifi soit capable de reproduire ces pics. Ce sont des notions vieilles comme mes robes, d'où mon étonnement devant tes commentaires.
Il ne s'agit évidemment pas que de signaux sinusoïdaux qui ne sont donnés qu'à titre pédagogique.
La puissance nécessaire pour atteindre un niveau permanent continu de X dB SPL n'est pas du tout représentative de ce qu'i se passe dans la musique.
Et pour les "très bons" systèmes, il y a aussi la capacité à produire ces pics non seulement en intensité, mais dans la bonne chronologie.
D'où, à mon avis, bien plus que le facteur d'amortissement qui n'a aucun sens pusique c'est la résistance des câbles enceintes qui le détermine majoritairement, l'importance du slew rate des amplis, que par le passé les fabricants d'amplis fournissait, mais que plus personne ne donne aujourd'hui.
Amitiés