Les évaluer de manière factuelle? En écoutant la musique tout simplement, en débranchant son tweeter pour entendre la différence, en analysant les formes d'ondes et les attaques des différtents sons sur un logiciel éditeur de son...
Chez moi le tweeter commence à 4200hz en 6db, bien sûr on entend encore un peu le 3000hz dedans aussi.
Le déconnecter change totalement la musique , son grain , sa consistance . Le quantifier en chiffre , en db ne mène à rien , c'est l'écoute qui prime, notre ouie a besoin de ces épices , même si vous pouvez penser mathématiquement en proportion que ça représente peu . Une oreille diminuée par l'âge ne va pas bien entendre les aigus d'une sinusoide pure, par contre va mieux entendre les harmoniques complexes , il faut tenir compte de ça aussi.
Analysez par exemple en zoomant l'attaque d'une note de piano et voyez comme c'est riche et surtout composé de fréquences très élevées. C'est ultra court , pas forcément fort en volume mais sans celà on ne reconnaitra même pas que le son provient d'un piano.
C'est donc de l'ordre du petit mais indispensable.
As tu fais l'experience d'entendre un son dont on a amputé l'attaque ? Par exemple tu ne reconnais pas un son de violon ou de flute alors que tu n'as retiré qu'une milliseconde du début de note. Le son est devenu comme la tonalité du téléphone, très pauvre . C'est pourtant le même son mais le cerveau recompose les sons à sa manière en combinant attaque et fondamentale , ce qui n'est évidemment pas mesurable ni quantifiable.
Chez moi le tweeter commence à 4200hz en 6db, bien sûr on entend encore un peu le 3000hz dedans aussi.
Le déconnecter change totalement la musique , son grain , sa consistance . Le quantifier en chiffre , en db ne mène à rien , c'est l'écoute qui prime, notre ouie a besoin de ces épices , même si vous pouvez penser mathématiquement en proportion que ça représente peu . Une oreille diminuée par l'âge ne va pas bien entendre les aigus d'une sinusoide pure, par contre va mieux entendre les harmoniques complexes , il faut tenir compte de ça aussi.
Analysez par exemple en zoomant l'attaque d'une note de piano et voyez comme c'est riche et surtout composé de fréquences très élevées. C'est ultra court , pas forcément fort en volume mais sans celà on ne reconnaitra même pas que le son provient d'un piano.
C'est donc de l'ordre du petit mais indispensable.
As tu fais l'experience d'entendre un son dont on a amputé l'attaque ? Par exemple tu ne reconnais pas un son de violon ou de flute alors que tu n'as retiré qu'une milliseconde du début de note. Le son est devenu comme la tonalité du téléphone, très pauvre . C'est pourtant le même son mais le cerveau recompose les sons à sa manière en combinant attaque et fondamentale , ce qui n'est évidemment pas mesurable ni quantifiable.