10-08-2019, 07:46 PM
(Modification du message : 10-08-2019, 07:53 PM par Musicalbox.)
Dans une platine il y a la qualité de la base : châssis/moteur.
Soit on choisit suspendu, mais je ne connais qu’une seule platine intelligemment suspendue (bras de suspension qui n'autorise que les mouvements verticaux), soit non suspendu, mais il faut un silence encore plus difficile à trouver.
Il y a le choix du type d'entraînement aussi.
Une simple recommandation : quel que soit l’engin, munissez vous d’un stéthoscope, et écoutez le dessus du châssis. On ne doit RIEN entendre.
Une fois ceci fait,
un bras doit être atone.
Tapotez le, cela doit s'entendre parfaitement mat.
Ensuite un bras doit être équilibré. Je parle du tube.
Préférez un tube qui est passé par un équilibrage dynamique. Parce qu’un tournage n’est jamais 100% égal, et le moindre défaut d’équilibre du tube peut créer une distorsion.
Un bras doit être bien assis... Préférez un bras dont la structure est bien ramassée autour du pivot. Ceci rendra le VTA beaucoup plus facile à régler.
Le pivot doit être en métal lourd, pas en plastique léger, car c’est lui qui assure la stabilité.
Un bras doit avoir une tête réglable pour pouvoir pivoter de sorte à bien régler l’azimut.
L’accord bras/cellule est compliqué.
Une histoire de densité du bras.
Exemple une DL 103 ira bien sur un bras moins dense, sera catastrophique sur un bras plus dense. (Si ma mémoire est bonne)
Un excellent bras et une excellente cellule ne sont pas forcément assortis.
Le diamant : évitez ce qui racle le fond du sillon.
Un bon diamant lit les deux côtés du sillon sans tout faire reposer sur sa pointe.
Donc un ovale.
Le niveau de sortie.
Plus il est faible plus le résultat est raffiné.
Le corps de la cellule : une cellule est un élément magnétique.
Donc elle ramasse tout ce qui est à sa portée.
Il faut l’isoler.
Le bois est là meilleure solution.
Ensuite il y a d’autres variantes, carbone, plastique......
La compliance : ne pas oublier que suspension implique compliance.
Longueur du stylus : plus il est court plus le résultat est raide.
Plus il est long plus il faut une suspension précise.
Le matériau du stylus : évitez l’alu, ça résonne, préférez le boron.
Ce qu’il faut ressentir est que le mouvement du cantilever n’est pas anodin.
Qui dit mouvement dit réaction.
Cela peut sembler bizarre mais le support qui est sous le disque participe à cette réaction.
S’il est trop mou, on TUE le mouvement.
Donc surtout ni feutre ni liège.
S’il résonne......... . donc pas de métal creux, pas de verre.
Pas de bois ni composés de bois ça tue tout.
Restent soit métal très épais, soit une matière la plus proche possible du disque : vinyle pur, métacrylate.
Préampli.
Alimentation....................
Le préphono sert à refaire la courbe RIAA, ok.
Mais
il sert aussi à ...? AMPLIFIER !!
Là très clairement soit l’étage phono intégré est sublime, soit il faut un preampli muni d’une vraie alimentation. Pas un petit bidule qui s’envole au vent....
Désolée c’est incomparable.
Les prix.
Il est évident que toutes les bonnes solutions coûtent plus cher à fabriquer....
dans quelles proportions ? Il est dérisoire de citer des chiffres. Ou des marques.
Le mieux est de prendre garde à tout et chaque point important et voir où cela mène.
Soit on choisit suspendu, mais je ne connais qu’une seule platine intelligemment suspendue (bras de suspension qui n'autorise que les mouvements verticaux), soit non suspendu, mais il faut un silence encore plus difficile à trouver.
Il y a le choix du type d'entraînement aussi.
Une simple recommandation : quel que soit l’engin, munissez vous d’un stéthoscope, et écoutez le dessus du châssis. On ne doit RIEN entendre.
Une fois ceci fait,
un bras doit être atone.
Tapotez le, cela doit s'entendre parfaitement mat.
Ensuite un bras doit être équilibré. Je parle du tube.
Préférez un tube qui est passé par un équilibrage dynamique. Parce qu’un tournage n’est jamais 100% égal, et le moindre défaut d’équilibre du tube peut créer une distorsion.
Un bras doit être bien assis... Préférez un bras dont la structure est bien ramassée autour du pivot. Ceci rendra le VTA beaucoup plus facile à régler.
Le pivot doit être en métal lourd, pas en plastique léger, car c’est lui qui assure la stabilité.
Un bras doit avoir une tête réglable pour pouvoir pivoter de sorte à bien régler l’azimut.
L’accord bras/cellule est compliqué.
Une histoire de densité du bras.
Exemple une DL 103 ira bien sur un bras moins dense, sera catastrophique sur un bras plus dense. (Si ma mémoire est bonne)
Un excellent bras et une excellente cellule ne sont pas forcément assortis.
Le diamant : évitez ce qui racle le fond du sillon.
Un bon diamant lit les deux côtés du sillon sans tout faire reposer sur sa pointe.
Donc un ovale.
Le niveau de sortie.
Plus il est faible plus le résultat est raffiné.
Le corps de la cellule : une cellule est un élément magnétique.
Donc elle ramasse tout ce qui est à sa portée.
Il faut l’isoler.
Le bois est là meilleure solution.
Ensuite il y a d’autres variantes, carbone, plastique......
La compliance : ne pas oublier que suspension implique compliance.
Longueur du stylus : plus il est court plus le résultat est raide.
Plus il est long plus il faut une suspension précise.
Le matériau du stylus : évitez l’alu, ça résonne, préférez le boron.
Ce qu’il faut ressentir est que le mouvement du cantilever n’est pas anodin.
Qui dit mouvement dit réaction.
Cela peut sembler bizarre mais le support qui est sous le disque participe à cette réaction.
S’il est trop mou, on TUE le mouvement.
Donc surtout ni feutre ni liège.
S’il résonne......... . donc pas de métal creux, pas de verre.
Pas de bois ni composés de bois ça tue tout.
Restent soit métal très épais, soit une matière la plus proche possible du disque : vinyle pur, métacrylate.
Préampli.
Alimentation....................
Le préphono sert à refaire la courbe RIAA, ok.
Mais
il sert aussi à ...? AMPLIFIER !!
Là très clairement soit l’étage phono intégré est sublime, soit il faut un preampli muni d’une vraie alimentation. Pas un petit bidule qui s’envole au vent....
Désolée c’est incomparable.
Les prix.
Il est évident que toutes les bonnes solutions coûtent plus cher à fabriquer....
dans quelles proportions ? Il est dérisoire de citer des chiffres. Ou des marques.
Le mieux est de prendre garde à tout et chaque point important et voir où cela mène.