La cellule a une très grosse importance.
Dans l'électronique la montée en prix est accompagnée d'une hausse de la qualité. Et qu'on aille pas me dire que plus ont monte moins cela s'entend.
Il faut avoir en tête que le pouillème gagné devient indispensable quand on y a gouté et qu'on a su l'apprécier.
Ensuite se rappeler qu'une électronique de grande marque (Accuphase, Luxman, Mc Intosh, Conrad-Johnson ...) a une griffe sonore. Je n'ai jamais apprécié Accuphase, j'ai toujours aimé Luxman. C'est comme ça, c'est subjectif et sans considération de prix. C'est ce qui peut faire dire à tort qu'une électronique ne vaut rien alors qu'elle coûte une blinde.
Je fais cette remarque car je note après quelques années de recul que la griffe sonore est plus critique dans l'électronique que dans la mécanique (tourne disque et enceinte pour lesquels on parle de coloration).
Quand on achète un appareil électronique, il faut avoir conscience que le boitier constitue une partie importante du prix alors qu'il intervient peu dans le résultat final, du moins dans des proportions sans rapport avec son coût. Donc quelque fois doubler le prix de l'appareil revient à acheter un super coffret pour une électronique plus banale. Ce phénomène est moins marqué avec un bras de lecture par ex.
Si possible je choisirai un préampli avec phono intégré plutôt qu'un préampli-ligne et un préampli phono dans des boiters séparés. Pour la même somme on a plus de chance d'avoir une meilleure qualité électrique.
On peut dire qu'avec l'augmentation de qualité (de prix) l'amélioration se porte encore une fois sur le ferraillage qui disparait, la profondeur de la scène sonre qui augmente, puis l'intelligibilité (la séparation des instruments par ex) qui apparait. Un pré phono intégré à 2000€ devrait parvenir à faire tout ceci.
Passé cette barre ça commence à chanter. On écoute de moins en moins son appareil et de plus en plus la musique. Au delà de 4000€ c'est la transparence qui se manifeste. J'ai du mal à concrétiser cette sensation mais quand on a affaire à un appareil transparent on s'en rend compte.
Coté investissement dans le cas d'un pré phono seul qui comporte peu de bouton et entrée/sorties, 50% du prix de l'ensemble c'est plus que bien. Si c'est un préampli avec le phono intégré qui sera plus équipé, on va de 80 à 100% du prix. Dans ce dernier cas il faut impérativement écouter un appareil à tube. C'est le choix que j'ai fait, mais je reconnais avoir des soucis avec les électroniques à transistor et ne pas être objectif.
Les grandes marques ont ma confiance quand il s'agit de phono. Même si elles ressortent des schémas de l'époque du vinyle, au moins on sait que ça marche.
Je n'ai pas bien compris : "Question con mais le préphono hors mi l'adaptation qu'il permet a la cellule ."
Un préamplificateur phono corrige le signal lu sur le disque par la cellule. Avec le microsillon les fabricants de disque ont améliorè les performances et ont pour cela lors de la gravure du vinyle diminué les graves de 20dB par rapport au médium et augmenté les aigus de 20dB, soit entre grave et aigus 40db. Le préampli phono remet tout à niveau donc:
* corrige le signal de la cellule à l'inverse de la gravure (la fameuse correction RIAA)
* augmente le niveau du signal de 40 db (pour faire simple on parle de 40 db de gain)
C'est pour une cellule MM.
Si on utilise une cellule MC il faut un gain supplémentaire de 20db (sans correction) avant d'attaquer les étages RIAA. On utilise soit de l'électronique, soit un transformateur.
C'est le préampli qui s'adapte à la cellule. Son entrée doit être compatible avec les caractéristiques de la cellule dont l'impedance. Les caractéristiques des cellules MM sont globalement normalisées.
Ce n'est pas le cas avec les MC mais le transformateur ou le circuit électronique spécifique font aussi le travail pour l'adaptation d'impédance.
Autrefois quand on parlait de préampli, la section phono était sous entendue. De nos jours peu de préampli ont cette fonction, ce sont des préampli "ligne". Ils amplifient le signal à leur entrée de 12 à 20 db de manière linéaire. Ils sont aussi onéreux que ceux avec pre phono intégré, les consommateurs n'y ont pas gagné.
Dans l'électronique la montée en prix est accompagnée d'une hausse de la qualité. Et qu'on aille pas me dire que plus ont monte moins cela s'entend.
Il faut avoir en tête que le pouillème gagné devient indispensable quand on y a gouté et qu'on a su l'apprécier.
Ensuite se rappeler qu'une électronique de grande marque (Accuphase, Luxman, Mc Intosh, Conrad-Johnson ...) a une griffe sonore. Je n'ai jamais apprécié Accuphase, j'ai toujours aimé Luxman. C'est comme ça, c'est subjectif et sans considération de prix. C'est ce qui peut faire dire à tort qu'une électronique ne vaut rien alors qu'elle coûte une blinde.
Je fais cette remarque car je note après quelques années de recul que la griffe sonore est plus critique dans l'électronique que dans la mécanique (tourne disque et enceinte pour lesquels on parle de coloration).
Quand on achète un appareil électronique, il faut avoir conscience que le boitier constitue une partie importante du prix alors qu'il intervient peu dans le résultat final, du moins dans des proportions sans rapport avec son coût. Donc quelque fois doubler le prix de l'appareil revient à acheter un super coffret pour une électronique plus banale. Ce phénomène est moins marqué avec un bras de lecture par ex.
Si possible je choisirai un préampli avec phono intégré plutôt qu'un préampli-ligne et un préampli phono dans des boiters séparés. Pour la même somme on a plus de chance d'avoir une meilleure qualité électrique.
On peut dire qu'avec l'augmentation de qualité (de prix) l'amélioration se porte encore une fois sur le ferraillage qui disparait, la profondeur de la scène sonre qui augmente, puis l'intelligibilité (la séparation des instruments par ex) qui apparait. Un pré phono intégré à 2000€ devrait parvenir à faire tout ceci.
Passé cette barre ça commence à chanter. On écoute de moins en moins son appareil et de plus en plus la musique. Au delà de 4000€ c'est la transparence qui se manifeste. J'ai du mal à concrétiser cette sensation mais quand on a affaire à un appareil transparent on s'en rend compte.
Coté investissement dans le cas d'un pré phono seul qui comporte peu de bouton et entrée/sorties, 50% du prix de l'ensemble c'est plus que bien. Si c'est un préampli avec le phono intégré qui sera plus équipé, on va de 80 à 100% du prix. Dans ce dernier cas il faut impérativement écouter un appareil à tube. C'est le choix que j'ai fait, mais je reconnais avoir des soucis avec les électroniques à transistor et ne pas être objectif.
Les grandes marques ont ma confiance quand il s'agit de phono. Même si elles ressortent des schémas de l'époque du vinyle, au moins on sait que ça marche.
Je n'ai pas bien compris : "Question con mais le préphono hors mi l'adaptation qu'il permet a la cellule ."
Un préamplificateur phono corrige le signal lu sur le disque par la cellule. Avec le microsillon les fabricants de disque ont améliorè les performances et ont pour cela lors de la gravure du vinyle diminué les graves de 20dB par rapport au médium et augmenté les aigus de 20dB, soit entre grave et aigus 40db. Le préampli phono remet tout à niveau donc:
* corrige le signal de la cellule à l'inverse de la gravure (la fameuse correction RIAA)
* augmente le niveau du signal de 40 db (pour faire simple on parle de 40 db de gain)
C'est pour une cellule MM.
Si on utilise une cellule MC il faut un gain supplémentaire de 20db (sans correction) avant d'attaquer les étages RIAA. On utilise soit de l'électronique, soit un transformateur.
C'est le préampli qui s'adapte à la cellule. Son entrée doit être compatible avec les caractéristiques de la cellule dont l'impedance. Les caractéristiques des cellules MM sont globalement normalisées.
Ce n'est pas le cas avec les MC mais le transformateur ou le circuit électronique spécifique font aussi le travail pour l'adaptation d'impédance.
Autrefois quand on parlait de préampli, la section phono était sous entendue. De nos jours peu de préampli ont cette fonction, ce sont des préampli "ligne". Ils amplifient le signal à leur entrée de 12 à 20 db de manière linéaire. Ils sont aussi onéreux que ceux avec pre phono intégré, les consommateurs n'y ont pas gagné.