Explication :
1) les DSP usine à gaz développés par dolby ou DTS, surtout quand on a un nombre de canaux élevé (donc l'Atmos) impliquent effectivement un "sweet spot" assez resséré.
2) ces DSP sont du caca * , et le DPL II de dolby ou le DST:neo ne sont pas beaucoup mieux sur du 2.0 (même si je dois avouer que j'apprécie quand même le côté immersif, mais c'est beaucoup trop flou : aucune précision dans l'image sonore...)
3) il y a d'autres solutions logicielles et/ou hardware, et celle que je connais permet non seulement d'avoir un sweet spot large, de se passer totalement de voie centrale (4.0 suffit), mais aussi et surtout de recréer de façon totalement naturelle (comme si c'était du multicanal discret d'origine) l'immersion et l'image sonore du multivoies, à tel point qu'il est totalement impossible de distinguer les 2 à l'oreille : un signal 2.0 stéréo sonnera exactement comme le 5.1, le 7.2, le 9.1 Atmos, etc (avec localisation très précise dans l'espace, et également en hauteur, de tous les instruments).
Après, évidemment, on me croit ou pas. C'est un système à l'origine exclusivement destiné à remplacer les vieux décodeurs quadraphoniques de plus de 40 ans devenus irréparables (genre Tate), et détourné à mon usage (et celui de quelques autres) pour écouter des signaux stéréo avec un équipement multicanal. Et ça marche, même si le côté immersif peut déranger fortement quelqu'un exclusivement habitué au son stéréo, avec une image gentiment disposée devant lui et débordant très peu des enceintes.
* parce qu'il faut des pré-processeurs énormes et très chers pour les gérer, + toutes les enceintes qui vont avec, et qu'il n'y que peu d'enregistrements sur lesquels on peut finalement en profiter. Donc je ne par le pas de "caca" pour le résultat final sur un système bien mis en oeuvre avec le bon fichier.
1) les DSP usine à gaz développés par dolby ou DTS, surtout quand on a un nombre de canaux élevé (donc l'Atmos) impliquent effectivement un "sweet spot" assez resséré.
2) ces DSP sont du caca * , et le DPL II de dolby ou le DST:neo ne sont pas beaucoup mieux sur du 2.0 (même si je dois avouer que j'apprécie quand même le côté immersif, mais c'est beaucoup trop flou : aucune précision dans l'image sonore...)
3) il y a d'autres solutions logicielles et/ou hardware, et celle que je connais permet non seulement d'avoir un sweet spot large, de se passer totalement de voie centrale (4.0 suffit), mais aussi et surtout de recréer de façon totalement naturelle (comme si c'était du multicanal discret d'origine) l'immersion et l'image sonore du multivoies, à tel point qu'il est totalement impossible de distinguer les 2 à l'oreille : un signal 2.0 stéréo sonnera exactement comme le 5.1, le 7.2, le 9.1 Atmos, etc (avec localisation très précise dans l'espace, et également en hauteur, de tous les instruments).
Après, évidemment, on me croit ou pas. C'est un système à l'origine exclusivement destiné à remplacer les vieux décodeurs quadraphoniques de plus de 40 ans devenus irréparables (genre Tate), et détourné à mon usage (et celui de quelques autres) pour écouter des signaux stéréo avec un équipement multicanal. Et ça marche, même si le côté immersif peut déranger fortement quelqu'un exclusivement habitué au son stéréo, avec une image gentiment disposée devant lui et débordant très peu des enceintes.
* parce qu'il faut des pré-processeurs énormes et très chers pour les gérer, + toutes les enceintes qui vont avec, et qu'il n'y que peu d'enregistrements sur lesquels on peut finalement en profiter. Donc je ne par le pas de "caca" pour le résultat final sur un système bien mis en oeuvre avec le bon fichier.