Hier, 10:13 AM
Ce qui est sûr c’est qu’esthétiquement les EBM se fondent parfaitement dans cette pièce!
Mac Mini M4-Audirvana-Qobuz; RME Adi-2 dac fs; PSI A25ms black
|
Le Grenier du Brocanteur
|
|
Hier, 10:13 AM
Ce qui est sûr c’est qu’esthétiquement les EBM se fondent parfaitement dans cette pièce!
Mac Mini M4-Audirvana-Qobuz; RME Adi-2 dac fs; PSI A25ms black
Hier, 11:11 AM
Merci David pour la narration de ton passage chez Nico (où je t’avais dit à Aix que je pourrais éventuellement vous rejoindre, mais ça n’a pas pu être possible au final) et bravo à vous 3 d’avoir réussi à faire grimper les demoiselles sur les hauteurs de la brocante, pour notre plus grand plaisir à nous aussi, indirectement…
Sources : Sansui TU-317 / Daphile sur Mini PC + C19 / Dac : meitner ma 1 dac / Amplification : Kora Design 30 / Cyrus ONE / Stormaudio V35 / PP EL84 (OKS)
/ Enceintes : LS3/5a Rogers 15Ω (1984) / ASA « Monitor Pro en bois massif »
Hier, 11:23 AM
Je pense que comme ThierryNK on a deux belles salles de références pour révéler aux mieux le potentiel des enceintes.
Encore bravo à toi (pi à Julien aussi ).
Accuphase PS550 / C2300 / P7500 / DP770 -- Lumin U2 -- Dynaudio Confidence 20
Pièce d’écoute dédiée & traitée
Attention quand même à ne pas aller trop loin dans l’absorption lors du traitement de la pièce au risque de perdre la « vie » car les concerts ne se font pas dans des chambres sourdes …..
Watt puppy, B.Audio, CH Précision et Ypsilon, Melco (ou Dela), Shunyata….
Hier, 11:28 AM
vu de loin, une des qualités (indispensables) de la pièce de Nicoben, c'est la hauteur de plafond assez conséquente...
(Hier, 11:26 AM)marius30 a écrit : Attention quand même à ne pas aller trop loin dans l’absorption lors du traitement de la pièce au risque de perdre la « vie » car les concerts ne se font pas dans des chambres sourdes …..C'est bien pour ça qu'un traitement Acoustique ça se fait pas au doigt mouillé
Accuphase PS550 / C2300 / P7500 / DP770 -- Lumin U2 -- Dynaudio Confidence 20
Pièce d’écoute dédiée & traitée
Merci David pour ton retour, et content de t’avoir accueilli même si ce fut un peu dans la fatigue et l’urgence.
Tout cela nous rappelle, si besoin en était, que l’on met en œuvre des systèmes, pas des matériels isolés, et un système va de la prise de courant (voir de la prise de son surtout…) au cerveau de l’auditeur, avec tout ce qui se trouve entre les deux. Chaque enceinte propose un mode de diffusion sonore différent, une conception différente, qui se solde dans 100% des cas par un positionnement et orientation différents, une perception différente. Avec cinq amplifications à la maison dans la plupart des cas je me retrouve avec une seule amplification des cinq à obtenir une fusion correcte avec une paire d’enceintes, par fusion j’entends une bonne cohérence, dans la maîtrise et nuance des registres, dans la répartition d’énergie dans l’espace, entre premier et arrière plan pour l’image sonore, en densité…. L’on aimerait bien que ce soit plus facile mais il n’en est rien. Parfois dans une pièce de vie ça l’est plus facile car beaucoup de choses sont moins lisibles, moins critiques, plus diluées dès lors que l’on entend autant la pièce que les enceintes, c’est factuel, tout comme il est factuel qu’il y a plus de vie dans une pièce plus claire. En fait il est très facile d’être catégorique dans nos appréciations si l’on se trouve à une place extrême. La plus extrême est celle du concepteur je pense, avec son vécu, ses expériences, son bagage technique et sensoriel. Il faut composer avec les visions des concepteurs chez soi pour obtenir la bonne mise en oeuvre, peu importe sa vision, y compris sur le plan acoustique. Tout cela pourrait conduire à un débat sur les qualités, limites ou défauts de ma pièce d’écoute, comme toute chose elle est soumise à compromis, personnellement je prend chaque expérience de mise en oeuvre d’une nouvelle enceinte dans cette pièce comme une expérience pour comprendre et essayer de peaufiner la sauce globale, mon but final comme l’a justement dit David étant d’obtenir deux mises en œuvre différentes, l’une plutôt grand spectacle que je considère comme quasi acquise avec les Vivid G1, et une autre plus intimiste, moins filtrée dans la nuance tonale. Je vais faire en un coup le débat à moi tout seul si vous permettez, après tout étant sur le fil de mon système je peux me permettre Bbill a raison, la hauteur sous plafond est essentielle, elle permet avec la largeur de pièce une ampleur sonore, celle du live, difficile à obtenir quand les murs sont plus près. Et quand on pousse le traitement objectivement loin les distance courtes au plafond et murs latéraux est un handicap je pense, on perd bien plus vite la vie si l’on cherche la meilleure lisibilité, parce que pour diffuser sur de larges fréquences il faut de la distance entre diffuseurs et enceintes ou auditeur. Quand on traite peu c’est la distance importante entre enceintes et parois qui fera que le retour des réverbérations sera assez long pour décoreller temporellement la musique des sons réfléchis par la pièce. Mais j’ai des limites aussi, les rampants c’est à double tranchant, une proximité à 45 degrés qui peut aussi concentrer de l’énergie vers l’auditeur. Et si j’avais deux mètre de profondeur de pièce en plus je perdrais probablement les derniers modes au point d’écoute qui peuvent parfois m’embêter un peu dans la zone 100/200hz selon les enceintes. Ce n’est pas une raison cependant pour faire remonter le RT dans le haut medium aigu de façon inconsidérée, et remettant des surfaces dures réfléchissantes en place, qui elles aussi n’existent pas en extérieur, dans un petit club de jazz ou une bonne salle de concert. J’ai fait mon choix de traitement acoustique suite à tous les systèmes que j’ai entendu, pratiqué dans des pièces de vie et qui ne m’ont jamais convaincu, toujours cette sensation d’entendre plus la pièce que la musique, toujours une fatigue auditive anormale et précoce dès qu’on monte un peu le son, des distorsions qui ne sont pas dans la musique, un manque de lisibilité qui dilue la musique dans une ambiance de pièce plus que l’ambiance de là où étaient les musiciens. Alors le choix c’était d’obtenir les meilleures mesures objectives pour laisser les systèmes s’exprimer, que l’ambiance des enregistrements apparaisse au travers des enceintes et de leur capacité d’expression, pas que l’ambiance de la pièce fabrique quelque chose de « surround » justement, qui n’est pas dans l’enregistrement, par retours du signal musical depuis les murs avec un retard temporel . L’ambiance du lieu du live est dans l’enregistrement et retranscrit par les enceintes, le rôle de la pièce est de s’effacer face à cela en offrant un champs diffus décorellé de la musique qui permet à la musique d’être lisible tout en restant vivante, un RT stable selon les fréquences qui permet de ne pas trahir l’enregistrement par des redondances de sons ajoutés à la musique par réverbération. Il y a deux limites à cette réalité pratique et théorique: le résultat en terme de cohérence globale dépend très majoritairement de la diffusion sonore des enceintes dans l’espace, de leur capacité à imager sans avoir une réverbération de pièce pour donner au point d’écoute la sensation de live contenue dans l’enregistrement. De plus, la limite entre meilleurs résultats objectifs et sensation de naturel en terme de vie reste un équilibre à peaufiner, via un dosage final entre absorption et diffusion. Et cela l’acousticien le dit aussi. D’un autre coté, il y a ce à quoi notre cerveau est habitué et l’idée qu’une enceinte doit pouvoir s’insérer dans nos environnements tels qu’ils existent, améliorés mais pas dédiés, et ça ce n’est pas le banc Klippel qui en décide, les enceintes ne sont pas mesurées chez le client lors de leur conception mais mesurées pour leurs performances propres, avec une constante délégation de la mise en oeuvre au client dans sa pièce. Il semble donc légitime et hyper cohérent d’avoir des enceintes plus conçues pour les pièces de vie, essayant de construire au mieux la restitution musicale avec les contraintes du monde réel, jouant avec les angles de pièce, la réverbération. Le pavillon est probablement le moyen le plus répandu mais il a ses propres contraintes en terme de directivité, de respect du signal originel. L’inconvénient chez moi est que vouloir jouer avec la pièce en étant pas directif vers l’auditeur peut facilement créer un déséquilibre, cest le jeu. Cela n’empêche pas que factuellement l’on va entendre l’enceinte telle qu’elle a été conçue, en particulier quand cela ne colle pas idéalement avec le manque de réverbération « dure » de la pièce. Sur ce point les EBM recherchent une part de réverbération brillante, précoce il me semble pour véhiculer le chatoiement naturel de l’enregistrement, au point où un enduit chaux chanvre même sans traitement ne soit pas de nature à donner quelque chose de totalement naturel par rapport à de la pierre ou même du placo, vu la directivité des compressions aigu non dirigées vers l’auditeur. Il y a une recherche de jeu avec l’air que l’on déplace dans la pièce pour obtenir un maximum de vie sans trahir l’enregistrement pour autant dans le haut du spectre. Je perçois cela comme une forme de compromis assumé et bien réalisé pour éviter de percevoir les fréquences directives de la musique de façon directive pour mieux percevoir les nuances qui viennent derrières les sons les plus forts, parce qu’en live ces fréquences directives ne sont pas dirigées vers vous. Cela impose quand même une mise en oeuvre soignée du coup, la pièce devenant de facto un peu plus responsable du résultat final, y compris sur la nature des matériaux muraux dont elle est faite. Ce que cela m’a appris dans ma pièce, c’est qu’une partie des enceintes du marché ne peuvent pas s’y exprimer tel qu’elles ont été conçues, on les entend un peu plus tel qu’elles sont mais pas tel qu’on les a imaginées pour diffuser la musique. De plus, dans le compromis final de la pièce, il reste une marge d’ajustement à essayer d’obtenir entre absorption et diffusion pour clarifier un peu la restitution, permettre à des enceintes un peu moins ouvertes dans leur mode de diffusion de s’exprimer avec plus d’ouverture, de mise en valeur de l’ambiance des enregistrements, du chatoiement, de perception d’air, afin de toucher un peu plus l’auditeur et coller un peu mieux à la réalité de la perception humaine, au delà des résultats objectivement mesurés. Oui on ne fait pas de l’acoustique au doigt mouillé au risque de perdre une partie de la lisibilité de la musique ou ne traiter qu’une partie des problèmes au détriment d’autres, mais non on ne peut pas non plus dire que les meilleurs résultats objectifs suffisent à retrouver une musique qui touche comme le live et laisse passer intégralement les qualités que l’on peut obtenir d’un large bande à excitation bien mis en oeuvre. Je vais donc sereinement essayer de peaufiner le compromis, en commençant par le plus simple, à savoir passer les panneaux derrière les enceintes d’absorbants à diffusants. Selon les résultats, je pourrais en faire de même sur les rampants au dessus des diffuseurs latéraux actuels, où il subsiste un peu d’absorption pouvant se transformer en diffusion. Le but est aussi de ne pas perdre les qualités existantes, il faut donc que cela apporte aussi aux Vivid G1 quand elles sont en place, et simplement enlever des panneaux absorbants pour repasser à des murs nus c’est aussi retrouver plus de problèmes que de solutions, factuellement, le but n’est certainement pas de redonner l’autorisation à des murs parallèles de redialoguer entre eux basiquement. C’est bien une transformation d’absorptions en diffusions qui permettra de faire mieux sans contre partie trop négative. Car en l’état, la vie de la salle de concert elle est là avec les Vivid G1 bien positionnées ou avec les DeHaven Kerloas dirigées vers l’auditeur sans grand réglage de précision à réaliser. Elle est là avec les leedh dans une cohérence et facilité difficile à égaler, de même avec les Andra même si moins précises que les Vivid donnent du live « à l’àmericaine », immersif . L’intérêt des EBM et de leur bonne mise en oeuvre c’est d’aller plus loin dans la perception des nuances tonales, intentions musicales dont le 21 à excitation non filtré est capable, c’est cela en premier lieu qui fait la plusvalue face à mes autres solutions plus filtrées ou juste moins finement analysées et liées dans le tout musical.
La hifi est femme. Imparfaite par nature, on la choisit pour ce qu'elle a, pas pour ce qu'elle dit avoir. Mais si on voit ses défauts avant ses qualités, on est pas fait pour en avoir une, mieux vaut se soulager sous la douche, en écoutant la radio.
Ventes en cours ou à venir (MP si intéressé pour en discuter): Leedh E2 Glass + caisson 20.1 ; Piega MLS3 ; Egglestonworks Andra 3
Pourquoi ne pas avec l'aide de Julien, concevoir des enceintes totalement en osmose avec la pièce, à partir d'un cahier des charges musical subjectif, et de mesure objectives !
Dans ce cas je resterais avec les Vivid G1 uniquement à priori, elles suffisent à ce que l’on peut rechercher dans cette direction, les caissons conçus avec Julien et complétant les Vivid en système 5 voies répondent à cet objectif. La philosophie de conception d’enceintes en toute objectivité va rejeter le large bande à excitation ou le filtrage à 6db à coup sûr
Si je partais sur une paire d’enceintes avec Julien ce serait certainement pour une deux voies avec pavillon de medium aigu, complétée par mes sub, c’est dans cette direction que son travail sur les enceintes le mènent. Il est d’ailleurs invité depuis longtemps à la maison quand il aura peaufiné cette recette pour juger de la pertinence d’un tel choix ici. Mais ce n’est pas pour autant ce que je recherche en seconde écoute, voulue plutôt « sans filtre ». Là on serait un peu plus dans l’esprit de la grande écoute Vivid. La Kerloas pour le moment représente une sorte d’intermédiaire intéressant à mes oreilles, compatible avec la pièce, le coté grande écoute et une bonne part de ce que l’on peut attendre d’un Fertin à excitation, avec facilité de mise en oeuvre dirigées vers l’auditeur, et parfaitement adaptées à mon petit Enleum au passage. Mais l’on ne va pas si loin dans les nuances musicales que le 21 chargé à la sauce EBM écouté dans les meilleures conditions. Et si je devais résumer ma situation actuelle sans détour, tant que je n’aurai pas vendu deux paires d’enceintes au moins, rien se se passera plus de ce coté, par la force des choses. Autant dire qu’en l’état on aura probablement changé 100% de nos gouvernants de bas en haut de l’échelle avant qu’il ne se passe quelque chose, avec le risque que cela ne fasse que d’aller de mal en pis. Il me reste le troc, mais pour le moment ce n’est pas plus efficace. En attendant je vais sûrement vivre sur mes acquis un certain temps.
La hifi est femme. Imparfaite par nature, on la choisit pour ce qu'elle a, pas pour ce qu'elle dit avoir. Mais si on voit ses défauts avant ses qualités, on est pas fait pour en avoir une, mieux vaut se soulager sous la douche, en écoutant la radio.
Ventes en cours ou à venir (MP si intéressé pour en discuter): Leedh E2 Glass + caisson 20.1 ; Piega MLS3 ; Egglestonworks Andra 3
Donc le Quatuor; MSB Reference / blocs mono Ypsilon Aelius 2 / Vivid G1 / caissons de grave faits sur mesure reste indétronable chez toi, si je comprends bien.
Vu la qualité de chaque éléments individuels et si la ‘synergie se met en place’ je veux bien imaginer que ce soit Superlatif globalement. |
|
« Sujet précédent | Sujet suivant »
|
| Sujets apparemment similaires… | |||||
| Sujet | Auteur | Réponses | Affichages | Dernier message | |
| LEDAIM OUVRE SON GRENIER | Ledaim | 63 | 39,791 |
06-06-2021, 03:21 PM Dernier message: audyart |
|