Retour d'écoute Goldmund, Accuphase , Modwright

[marius30]

(07-06-2021, 09:52 AM)r11bordo a écrit :

(07-06-2021, 08:47 AM)marius30 a écrit :

(07-06-2021, 07:51 AM)r11bordo a écrit : Job, c'est Goldmun usa...
Surprenant que cette société n'ait pas percé dans monde de la hifi.

Peut être parce que écoute aussi stérile que Goldmund mais sans la notoriété ??

Humm, en voilà un qui n'a écouté du Goldmun que durant des salons hifi on dirait ...

Humm, en voilà un qui ne sait pas que j'ai possédé un intégré Goldmund Télos 390 pendant 6 mois on dirait ....

Je n'ai pas vraiment l'habitude de parler d'un matériel que je n'ai pas possédé ou testé longuement, oui je sais ce n'est pas une démarche usuelle sur les forums

C'était très détaillé, propre, clean avec un aigüe pas agressif mais pas assez de courant pour tenir les enceintes difficiles dans les basses, je comprends que l'on puisse aimer ce genre d'écoute mais pas pour moi car pas assez de vie...

[r11bordo]

Ah je comprends, peut être que ta version d'ampli Telos, cela correspond aux modèles d'amplis pour lesquels ils n'ont pas réutilisé les cartes Job ... 

[SuperDupont]

Quand quelqu'un d'entre vous aura fait la comparaison job-goldmund, on pourra commencer a prendre son "avis" un peu plus au sérieux... Mais ce n'est pas demain la veille...
Quand a utiliser un ampli six mois et subitement lui trouver de graves lacunes, c'est pour le moins curieux, c'etait un "goldmun 390" trouvé sur aliexpress?

[r11bordo]

Tu es situé où ? Je suis en région parisienne, j'ai un Job Integrated dernière génération, et tu possèdes le Goldmund équivalent...

[Lio67]

Il existe également plusieurs versions de Telos 390, qui possèdent des variantes de DAC (Alizé 4 ou 5)
La partie amplification est très proche du Telos 150 que j’ai possédé, plutôt très bon ampli.
La partie la plus « faible » de cet intégré étant le préampli analogique sur base de M27.3
Depuis que la marque intègre des preampli numériques, que l’on retrouve dans les Telos 7 et supérieurs, le bon est important, davantage de dynamique de précision.
Je peux comprendre l’écoute “stérile” décrite plus haut en fonction des associations et câbles choisis.
J’ai comparé le Telos 390 avec un ensemble preampli numérique Metis10 + Telos150, le 390 ne rivalisait pas.

[marius30]

(07-07-2021, 12:11 AM)SuperDupont a écrit : Quand quelqu'un d'entre vous aura fait la comparaison job-goldmund, on pourra commencer a prendre son "avis" un peu plus au sérieux... Mais ce n'est pas demain la veille...
Quand a utiliser un ampli six mois et subitement lui trouver de graves lacunes, c'est pour le moins curieux, c'etait un "goldmun 390" trouvé sur aliexpress?

Gardé 6 mois, le temps de tester différents câbles pour être sur de ne pas passer à coté du produit...

Et non pas acheté en Chine mais en France...  

Mais bon si vous aimez le son Goldmund, ce n'est pas un problème et le débat est terminé pour moi ...

[r11bordo]

Chacun ses goûts ... Et sincèrement, je n'ai jamais rien entendu de convainquant en salon avec Goldmund.
En revanche, les mises en œuvre chez des particuliers étaient plus enthousiasmantes.

[Phil7]

De ce que mes oreilles ont pu entendre , Le telos 7 est vif, joyeux, rapide et apporte une atmosphère très vivante sans être envahissante. En fait une écoute très facile, alors que le Trigon, le Modwright, l'accuphase ont une sonorité plus lourde , plus appuyée ,ce qui peut apporter plus de matière mais être aussi plus fatigant à la longue...

[Nicoben]

C’est là tout de même que l’association avec les enceintes prend de l’importance, l’épaisseur du trait sonore ne dépend pas que de la signature sonore de l’ampli (dégraissé ou plus charnu) mais aussi de cet aspect sur les enceintes, et surtout comment les deux se conjuguent. Un ampli sec sur une enceinte sèche, tout comme un ampli charnu sur une enceinte lourde, il y a toutes les teintes du nuancier entre les deux, au cas par cas, et le plus souvent chacun pense un peu trop que son enceinte est idéale, l’équilibre personnifié alors que l’enceinte est par nature l’élément le plus personnalisé (après l’impact colossal de la pièce d’écoute) . Et en plus ce sont ici des intégrés, qui ajoutent le comportement de leur partie préamplification analogique, accessoirement.

Un ampli charnu ne doit pas apparaitre lourd sur une enceinte, tout comme un ampli dégraissé ne doit pas apparaitre éthéré, signes de mariage loupé plus que de « gouts et couleurs ». Parfois ça pousse un peu trop d’un coté ou de l’autre et les mariages prennent alors trop d’importance pour pouvoir parler de versatilité , exemple: les excès des Pass série .5 qui vont un peu au delà du simple charnu malgré toutes leurs qualités dans le medium, les Atoll d’entrée de gamme qui confondent chatoiement et verdeur, puissance et courant…aucun ne peut revendiquer de marcher sur la ligne médiane de la neutralité, ligne dont les contours ne sont pas si net que cela d’ailleurs, à mon humble avis… incarner sans rendre lourd, affiner sans assécher, tenir sans déshabiller de la microdynamique et des grains de voix, rendre la microdynamique sans perdre la vie…. L’art du compromis n’est pas facile pour les fabricants qui choisissent une voie, une voix… pas la voie , la voix.

[marius30]

(07-08-2021, 09:04 AM)Nicoben a écrit : C’est là tout de même que l’association avec les enceintes prend de l’importance, l’épaisseur du trait sonore ne dépend pas que de la signature sonore de l’ampli (dégraissé ou plus charnu) mais aussi de cet aspect sur les enceintes, et surtout comment les deux se conjuguent. Un ampli sec sur une enceinte sèche, tout comme un ampli charnu sur une enceinte lourde, il y a toutes les teintes du nuancier entre les deux, au cas par cas, et le plus souvent chacun pense un peu trop que son enceinte est idéale, l’équilibre personnifié alors que l’enceinte est par nature l’élément le plus personnalisé (après l’impact colossal de la pièce d’écoute) . Et en plus ce sont ici des intégrés, qui ajoutent le comportement de leur partie préamplification analogique, accessoirement.

Un ampli charnu ne doit pas apparaitre lourd sur une enceinte, tout comme un ampli dégraissé ne doit pas apparaitre éthéré,  signes de mariage loupé plus que de « gouts et couleurs ». Parfois ça pousse un peu trop d’un coté ou de l’autre et les mariages prennent alors trop d’importance pour pouvoir parler de versatilité , exemple: les excès des Pass série .5 qui vont un peu au delà du simple charnu malgré toutes leurs qualités dans le medium, les Atoll d’entrée de gamme qui confondent chatoiement et verdeur, puissance et courant…aucun ne peut revendiquer de marcher sur la ligne médiane de la neutralité, ligne dont les contours ne sont pas si net que cela d’ailleurs, à mon humble avis… incarner sans rendre lourd, affiner sans assécher, tenir sans déshabiller de la microdynamique et des grains de voix, rendre la microdynamique sans perdre la vie…. L’art du compromis n’est pas facile pour les fabricants qui choisissent une voie, une voix… pas la voie , la voix.

Je devrais m’inspirer de ta sagesse, bravo …