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Correction numérique, le sens de la mesure...
#1
Bonsoir,

J'ouvre ce sujet pour ne pas polluer d'avantage le sujet sur lequel j'ai été interpellé par cette notion.
Nous avons tous des conditions d'écoute approximatives (matériel, lieu...), et la correction numérique me semble inévitable arrivé à un certain niveau qualitatif pour progresser encore.
Mais j'ai lu ce soir sur le sujet des propos qui m'ont semblé pleins de bon sens: la musique est plus qu'une suite de notes ou de fréquences...
Il y était expliqué entre autres qu'une note appuyée dans le temps pouvait donner une sensation d'intensité plus grande qu'une note jouée plus fort mais de façon plus soudaine, ou encore qu'une intensité musicale pouvait être perçue par les intervalles entres les notes (le do et le la par exemple), et pas seulement par un niveau de décibels...

J'en appelle donc à ceux et celles qui ont déjà procédés à de la correction numérique, pour savoir qu'elle à été leur façon de procéder afin de corriger les "défauts" de niveau sonore (les creux et les bosses observés dans leurs mesures), tout en vérifiant qu'ils ne dégradaient pas la qualité musicale sous d'autres aspects que celui-ci.

J'espère pour autant que ce sujet ne donnera pas lieu à querelles, mais plutôt à réunir différentes expériences et façon de procéder, avec lorsque ce sera possibles, les avantages et limites de chacun d'entre eux.

Ceux qui sont tout à fait surs d'eux peuvent bien sur donner leur avis, mais celui de ceux et celles qui doutent m'intéresse aussi beaucoup...

Laurent
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#2
...Surtout sûr de l'avis d'un pro :
"Que vous soyez audiophile, musicien, ingénieur du son, sachez que les performances de votre matériel ne seront jamais pleinement restituées si vous négligez le maillon acoustique de la chaîne audio.
Pour réunir les conditions d'une écoute neutre et fidèle, la correction acoustique du local est une priorité.

Voici mon conseil: avant de se lancer aveuglément dans une correction électronique, explorez d'abord toutes les autres solutions.
Un placement judicieux des enceintes et du point d'écoute, peut résoudre une bonne partie des problèmes.
Les systèmes électroniques deviennent transparents quand on leur demande une correction modérée.
Ceci suppose que les problèmes majeurs soient déjà atténués par un traitement acoustique préalable"
...Et bien plus sur :
http://www.lafontaudio.com/criteres.htm

Mon propre point de vu, empirique, après une petite expérience de traitement de mon salon:
Mais pourquoi tant d’efforts, alors qu’une solution active, un micro, et zzzzou ?
Parce que j’ai du mal à comprendre comment on peut passer tant d’attention à choisir et soigner les sources, câbles, électroniques, et autres tweaks pour être au plus proche du « fil avec du gain », graal des audiophiles, puis… compenser les défauts d’une pièce en manipulant cette source sonore pour modifier le signal transmis par les enceintes que l'on avait choisi... pour leur neutralité le plus souvent !
Ca revient à ne plus maitriser cette recherche du « fil avec du gain », et à dégrader une source pour corriger un défaut qui lui est parfaitement extérieur : La pièce d’écoute.
Traitons le plus possible les défauts à leur origine !
(Cette expérience de traitement acoustique sera mise en ligne sur le site Living-leedh ce week end)

Clairement, je me passerai de correction active, sauf si j'ai un jour une pièce trop confuse et complexe, même après traitement acoustique qui restera prioritaire.
Ce n'est pas toi qui aimes la Musique... Mais la Musique qui te fait aimer... Thierry.
Mon contexte : http://www.living-leedh.com/?page_id=528
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#3
@loandsound=
Dans un premier temps, il me semble qu'il faut en rester aux généralités.

1/ On ne peut pas dissocier "amplitude" (ce que tu appelles "niveau"), et phase acoustique. Une courbe d'amplitude parfaite associées a une courbe de phase dégueulasse donne un grand n'importe quoi. Les deux paramètres sont liés.
Si on veut corriger sérieusement une installation, un bon conseil est d'investir dans un système de mesures simple d'emploi, genre REW ou OMNIMIC.

2/ Dans le cas d'anomalies, il faut en premier comprendre quelle est leur origine, et leur cause.En effet il vaut toujours mieux s'attaquer a la cause qu'accepter la cause et tenter de la contourner plus ou moins mal...
-Cause: les enceintes,mauvaises réponses amplitude/phase... Il faut, dans ce cas, et de préférence, modifier le design, et au minimum revoir le filtre passif, revoir le positionnement des hp's dans l'espace, revoir si nécessaire les fréquences de coupure ,les pentes de coupure,voire le TYPE de filtre,jusqu'à obtenir qqch d'acceptable en amplitude/phase.
Dans le cas d'enceintes actives, choisir de préfernce des enceintes filtrées en FIR ayant une phase linéaire.
-Cause: la pièce d'écoute...de nombreuses améliorations très simples sont possibles,tout d'abord  et EN PRIORITE en modifiant les positions des enceintes et du point d'écoute pour écouter en "champ direct", ensuite en réduisant le Tr de la pièce par les moyens du bord.

3/ Alternatives= les correcteurs numériques puissants.Quand et comment les employer?
Il y a plusieurs cas de figures, la réponse n'est pas "monolithique"....
-certaines correction assez minimes peuvent etre suffisantes..je prends un petit exemple:pour éviter d'"accrocher" la fréquence propre (principale) de la pièce, souvent autour de 60hz,il peut suffire de baisser très légèrement le niveau dans la zone 55-65hz... et , pour celà, il existe un moyen très simple et peu couteux:utiliser un equalizer paramétrique digital, je dis bien paramétrique,à phase minimale, par ex le DEQ2496 de Behringer (en entrées sorties AES ou SPDIF impératif), il ne coute que 300Euros et n'introduit pas de distorsions.Ne pas exagérer la correction négative,(par ex -2dB)et restreindre  le plus possible la largeur en octaves de la correction, jusqu'à satisfaction.
-le meme appareil peut être utilisé aussi pour creuser très légèrement les médiums, sur bande large en octaves, par ex 2 oct, correction très minime de -1dB, qui ne fera pas sensiblement bouger la phase acoustique.

-Quand les corrections indispensables s'avèrent concerner aussi la phase acoustique,(et que l'on ne peut pas modifier les enceintes comme en 2/) l'emploi de logiciels puissants est la seule solution ! Voir les posts de pdaO /Bear, le choix à prix raisonnable est Rephase sur PC, Mac,ou mini-dsp, Dirac sur PC , Mac, ou mini-dsp,ou les solutions efficaces mais très chères comme DEQX ou Trinnov.Ces logiciels permettent de reoucher aussi l'amplitude, bien sur, tout en maintenant une phase linéaire.

Ces logiciels  permettent ils de corriger "la pièce"??????
Eh bien NON, c'est une illusion!!!!!
Ces logiciels sont rigoureusement incapables de supprimer les réflections primaires (et les suivantes), ils ne retouchent que les caractéristiques des enceintes en jouant sur les deux paramètres que sont l'amplitude et la phase. Ils ne peuvent pas agir sur ce qui se produit une fois que le son est "sorti" des hp's.Tout au plus peuvent ils "compenser" l'effet délétère de reflections incontrolées, (un peu comme le DEQ2496 le faisait, plus haut pour eviter d'accrocher un mode principal )en réduisant artificiellement une amplitude exagérée ou en creux due a une réflection qu'il vaudrait bien mieux supprimer!!.
Si les pubs prétendent le contraire, c'est seulement pour une raison de "marketing". 

Toutes les corrections numériques sont elles anodines ou ont elles des effets pervers (effets secondaires comme les médicaments)?
Oui, elles peuvent en avoir (saturation numérique, bruit, augmentation du jitter,défauts de correction,latence..), mais les constructeurs se gardent bien de produire des données objectives à ce sujet. Il est en tout cas souhaitable a mon avis de controler toute la chaine digitale avec une bonne horloge maitre unique de qualité à faible jitter pour éviter en tout cas limiter le risque de distorsions dues au jitter d'horloge, et d'employer au final un très bon DAC ayant un étage d'entrée réduisant les problèmes d'horloge.
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#4
Pour moi, les corrections passives et actives sont complementaires.

Il y a des corrections qu'on peut faire en passif ou en actif. Celles là, autant les faire de façon passive quand on a la possiblité.
Puis il y a d'autres corrections plus complexe en passif, comme tout ce qui touche à la phase. Autant utiliser les outils numériques, qui à mon sens ont acquit une bonne maturité maintenant.
DAC: Fostex HP-A8 - HP-A4 - Furutech GT40 / DAP: Cayin N5
Casques: Grado PS1000e - Shure 1440 - AKG Q701- Sennheiser HD650 - Sharkk Bravo
Encientes actives: Advance Accoustic AIR 120
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#5
(09-07-2016, 05:56 AM)Chet a écrit : Ca revient à ne plus maitriser cette recherche du « fil avec du gain », et à dégrader une source pour corriger un défaut qui lui est parfaitement extérieur : La pièce d’écoute.
Traitons le plus possible les défauts à leur origine !

Bonjour,

 La correction numérique du signal et le traitement acoustique de la pièce sont deux domaines distincts, différents par nature, et si des termes marketing comme "digital room correction" entretiennent le confusion, ils sont impropres : on ne corrige pas la pièce en modifiant le signal source et ce n'est l'intention de personne.

Mais c'est bien pour maitriser cette recherche du <<fil droit avec du gain >> à la source,
 notamment pour l'aspect temporel, où 95% des enceintes sont déficientes,
 que le traitement en fir du signal est souverain.

 cdt
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#6
on ne corrige pas la pièce en modifiant le signal source et ce n'est l'intention de personne.
Je suis d'accord avec la première partie de la phrase, mais pour la partie en gras, il me semble que bien des audiophiles se méprennent donc, ne serait-ce que sur ce forum...
Ce n'est pas toi qui aimes la Musique... Mais la Musique qui te fait aimer... Thierry.
Mon contexte : http://www.living-leedh.com/?page_id=528
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#7
(09-07-2016, 10:36 AM)Chet a écrit : on ne corrige pas la pièce en modifiant le signal source et ce n'est l'intention de personne.
Je suis d'accord avec la première partie de la phrase, mais pour la partie en gras, il me semble que bien des audiophiles se méprennent donc, ne serait-ce que sur ce forum...

Je ne suis pas sur qu'il faille forcement séparer defauts des enceintes et defaut de la pièce, du moins dans leurs traitement. Si les corrections passives et actives sont complementaires, il y a des zones ou elles se recoupent.

Certains systèmes actifs permetent d'attenuer les reflexions, défaut imputable à la pièce: La calibration detecte les reflexions, leurs amplitudes et décalages temporel, et le système de correction injecte un signal en opposition de phase pour, sinon les annuler, au moins les diminuer. C'est un principe similaire aux casques à atténuation de bruit environnent.
Il est certain que ce sera loin d'être parfait, et qu'une correction passive reste la meilleure réponse à ce problème.
Mais... certains n'ont pas la possibilité de traiter en passif, ou pas totalement. Accessoirement, une correction active de ce type de defaut permet d'en tester l'effet avant d'envisager une correction passive.
DAC: Fostex HP-A8 - HP-A4 - Furutech GT40 / DAP: Cayin N5
Casques: Grado PS1000e - Shure 1440 - AKG Q701- Sennheiser HD650 - Sharkk Bravo
Encientes actives: Advance Accoustic AIR 120
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#8
La comparaison avec les casques anti-bruits n'est pas valable, car dans le casque anti bruit, on n'atténue pas les bruits produits par les transducteurs (musique), mais on atténue les bruits extérieurs.


Les systèmes actifs n'ont absolument pas prouvé à ce jour leur efficacité.Celà reste très flou et sans références, les rares essais effectués sur les caissons PSI montrent pour le moins une atténuation très faible, et par contre un prix très élevé, dissuasif, car un caisson actif est loin de suffire, il faut en empiler plusieurs.
Rajouter de la puissance acoustique dans un volume fermé ne réduit pas la puissance à dissiper, elle l'augmente en moyenne. Celà veut dire que rajouter du rayonnement complique le problème global et ne résoud pas la vraie question, qui est évidemment de dissiper la puissance acoustique et la transformer en chaleur.

A l'opposé, le traitement d'une pièce d'écoute peut être réalisé à un coût raisonnable, pour une bonne efficacité.
Divers exemples sont donnés, d'autres seront examinés plus tard dans des posts à venir (bass traps).
Le post de Bear sur le plafond plenum réalisé est déjà très positif.
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#9
(09-07-2016, 10:36 AM)Chet a écrit : on ne corrige pas la pièce en modifiant le signal source et ce n'est l'intention de personne.
Je suis d'accord avec la première partie de la phrase, mais pour la partie en gras, il me semble que bien des audiophiles se méprennent donc, ne serait-ce que sur ce forum...

Je pense qu'il faut distinguer plusieurs configurations avec la correction numérique.

Il y a les systèmes "boite noire" comme Trinnov ou Dirac qui mesurent l'ensemble pièce/enceintes et effectuent de savants calculs pour proposer une correction du système dans sa globalité.
Leur marketing dit qu'ils intègrent la correction des réflexions néfastes mais gardent les réflexions utiles (lire les white-papers, très bien faits d'ailleurs, de Dirac par exemple), mais en pratique on ne sait pas vraiment tout ce qu'ils font et ne font pas.
En regardant les mesures que l'on obtient, on peut voir que la phase est très bien corrigée, et même s'il y a débat sur les réflexions, il apparait que l'amplitude des réflexions semble moindre (je suis prudent là dessus car s'il est indéniable que l'amplitude des pics sur l'impulsion est plus faible, dire que c'est la réduction des réflexions que l'on observe, serait une affirmation non démontrée...).

Dans tous les cas, le résultat obtenu est d'autant plus convaincant que le point de départ nécessite une correction. Si on peut s'en passer c'est toujours mieux évidemment (même si la correction de phase des enceintes mérite qu'on s'y intéresse à mon avis). Mais chez moi, par exemple, il est, tout simplement, impossible de se passer de correction active, et le résultat obtenu est vraiment très bon.

Il y a ensuite les systèmes "manuels", dont RePhase est un bon exemple. Avec RePhase on peut tout faire, y compris les plus grosses âneries possibles, mais si on prend les précautions de bon sens, on obtient un résultat remarquable (encore une fois, si et seulement si, on a besoin de correction).
RePhase permet, si on le souhaite, de prendre en compte les réflexions dans la correction que l'on applique, mais c'est à ses risques et périls car ça ne garantit pas un résultat. Et il semble plus raisonnable de ne s'en servir que pour corriger la phase des enceintes (avec là un impact auditif positif indéniable), et également l'amplitude mais avec modération.


Pour ce qui concerne l'affirmation "on ne corrige pas la pièce en modifiant le signal source et ce n'est l'intention de personne.", tout dépend ce qu'on appelle corriger la pièce.

Quand on réduit l'amplitude d'un ventre, on ne corrige pas, stricto sensu, la pièce, mais quand même l'influence de la pièce sur l'amplitude !
Donc en pratique, on corrige bien la pièce (ou plutôt l'influence de la pièce sur la réponse amplitude/fréquence).
La correction numérique permet aussi de corriger la phase des enceintes (effet positif certain), et éventuellement l'influence de certaines réflexions sur la phase (effet incertain, qui me semble, personnellement, plus négatif que positif).

Tout cela pour dire que la correction numérique bien mise en oeuvre (c'est à dire avec modération, et en sachant ce qu'on en attend) est un apport positif indiscutable.
On peut débattre pendant des heures sur le respect des intervalles, de l'importance de la dimension temporelle de la musique, etc... mais je ne vois pas en quoi la correction numérique viendrait mettre en péril ces paramètres, alors que la pièce dans laquelle est installé le système est souvent catastrophique pour le respect des intervalles et des aspects temporels de la musique...

Il me semble que la plupart de nos systèmes sont installés dans des environnements défavorables (que la cause en soit le WAF ou toutes les contraintes techniques d'un salon non dédié à la musique), et dans ce contexte, l'intégration d'une correction numérique bien réfléchie et mesurée est un plus considérable (qui, à mon avis, devrait être mise en place avant tous les tweaks, câbles et autres poudres de perlinpinpin, dont l'effet ne pourra qu'être magnifié par la présence d'une correction préalable des gros "défauts").

Evidemment, celui qui a une pièce parfaite, traitée et avec les bons matériaux, n'aura que faire de ces considérations et pourra se consacrer exclusivement à l'écoute de la musique Smile
NUC+Uptone JS-2, Roon, MSB Premier, Soulution 511, Magico S3 MkII, Câbles Crystal
Mon instal. : ici
Guide Acoustique : 
Playlist: Qobuz
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#10
(09-07-2016, 12:53 PM)maxitonus a écrit : La comparaison avec les casques anti-bruits n'est pas valable, car dans le casque anti bruit, on n'atténue pas les bruits produits par les transducteurs (musique), mais on atténue les bruits extérieurs.

C'est un exemple sur le procédé Maxi. Forcement, le but et les mesures sont differents.

Un casque à reduction de bruit vise à atténuer le bruit exterieur, pas ses propres defauts. Il ne mesure donc que le son hors de oreilletes.
Un systeme de correction active, mesure ce qui sort des enceintes pour le comparer à ce qui a été envoyé.

Dans les deux cas, un signal en opposition de phase avec le signal à atténuer est généré.

(09-07-2016, 01:15 PM)pda0 a écrit : Il me semble que la plupart de nos systèmes sont installés dans des environnements défavorables (que la cause en soit le WAF ou toutes les contraintes techniques d'un salon non dédié à la musique), et dans ce contexte, l'intégration d'une correction numérique bien réfléchie et mesurée est un plus considérable (qui, à mon avis, devrait être mise en place avant tous les tweaks, câbles et autres poudres de perlinpinpin, dont l'effet ne pourra qu'être magnifié par la présence d'une correction préalable des gros "défauts").

Evidemment, celui qui a une pièce parfaite, traitée et avec les bons matériaux, n'aura que faire de ces considérations et pourra se consacrer exclusivement à l'écoute de la musique Smile

Voilà un parfait résumé de ma propre pensée Smile

Et encore, je pense que pas mal de monde ici a un environement relativement bon. Ou a la possibilité d'utiliser des elements améliorants simples Smile

Pour ma part, si je met une couverture sur la TV, un trop grand tapis au sol, ou pire, des panneaux absorbants, vous me retrouvez le lendemain avec des chausures en béton, coulé au large du vieux port Big Grin (bon j'exagère hein!)

Une question que je me pose par curiosité, et que je pose donc à nos deux chevaliers de la mesure Wink

Avez vous déjà utilisé REW pour des mesures de distortions? J'ai cru lire que le UMIK-1 n'etait pas vraiment bon pour ça d'ailleurs.
Pour ma part j'aurais aimé mesurer la DHT sur les differentes interfaces de mes enceintes actives (RCA, BT, Coax et fibre) combinées avec les sources dont je peux disposer (RCA Soundblaster, RCA DAC, Fibre DAC, Fibre SB, etc...).

Ca changerait des eternelles FFT utilisés courament pour comparer les interfaces et le bruit qu'elles genèrent, si bien sur la mesure DHT est suffisement fiable, et je pense que ça doit dependre avant tout du micro.
DAC: Fostex HP-A8 - HP-A4 - Furutech GT40 / DAP: Cayin N5
Casques: Grado PS1000e - Shure 1440 - AKG Q701- Sennheiser HD650 - Sharkk Bravo
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