10-10-2016, 02:01 PM
Pour étoffer les essais et conclusions très intéressantes de Phile , on peut lire ceci (Je n'ai plus les sources , mais la substance)
Citation :
Le cable coaxial
Ce sont des cables dimpédance 75 Ohms généralement isolés par une tresse et un feuillage pour certains.
Les plus du cable coaxial :
- Un facteur de perte entre 3db/Km et 30 dB/Km à 10 Mhz
- Une bande passante très large (>100 Mhz) essentielle pour les nouveaux signaux SPDIF à 88.2, 96 et 192 Khz
- Un coût assez faible,
- Se prête facilement au DIY
Les moins du cable coaxial :
- Une liaison souvent faite avec des connecteurs en 50 Ohms,
- L'inadaptation d'impédance de ces connecteurs peut provoquer des rebonds d'onde à chaque extrémité qui vont fortement perturber le signal, notamment les informations de synchronisations (header) non modulés en phase
- Conducteur électrique donc pas disolation entre eux des éléments connectés
La fibre optique ou TosLink
Le connectique fibre optique utilisée pour nos installation est différente de celle utilisée dans le monde industriel (elle est en polymère au lieu de fibre de verre et les émetteurs/récepteurs optoélectriques sont bien inférieurs).
Les plus de la fibre optique :
- Une isolation électrique des éléments connectés donc pas de transfert de masses,
- Insensibilité aux ondes magnétiques
Les moins de la fibre optique :
- Un facteur de perte entre 150db/Km et 200 db/Km pour 650 nano-mêtres (longeur d'onde du rouge)
- Des équipement d'extrémités supplémentaires (emetteur Toslink et recepteur Toskink) entrainant la nécessité d'une conversion electrique/optique et optique/electrique. Ces interfaces sont limitées en bande passante : 6 Mhz pour les moins bons, soit la limite acceptable pour du S/PDIF à 48Khz et insuffisante pour les transmissions à 88.2, 96 et 192 Khz. De plus leur puissance optique est limitée, typiquement Toshiba (le principal fournisseur), recommande une distance de transmission maximale de 10 mêtres.
- Fragilité
Conclusion
On peut dire que sur des longueurs importantes (> 10 mètres) il est préférable d'utiliser une liaison coaxiale.
On peut donc avoir un début d'explication en ce qui concerne les différences à l'écoute de telle ou telle fibre et en particulier les meilleurs résultats obtenus avec des fibres de verre
Ici une explication claire des formats :
http://www.mamosa.org/jenfi.home/debuter...riques.php et le fameux jitter ....
"Bien que cela puisse fonctionner sur de courtes distances, l'interface S/PDIF sera beaucoup moins fiable et beaucoup plus sujettes au JITTER, décalage de l'horloge de synchronisation (lire ci-après). Les informations numériques S/PDIF sont transmises dans le câble à des fréquences étant de 2 Mhz (Fs = 32 kHz), 2,8 MHz (Fs = 44,1 kHz) et 3.1Mhz (Fs = 48 kHz). A de telles fréquences, il se produit ce qui est appelé « l'effet pelliculaire » (cf. encart)."
Citation :
Le cable coaxial
Ce sont des cables dimpédance 75 Ohms généralement isolés par une tresse et un feuillage pour certains.
Les plus du cable coaxial :
- Un facteur de perte entre 3db/Km et 30 dB/Km à 10 Mhz
- Une bande passante très large (>100 Mhz) essentielle pour les nouveaux signaux SPDIF à 88.2, 96 et 192 Khz
- Un coût assez faible,
- Se prête facilement au DIY
Les moins du cable coaxial :
- Une liaison souvent faite avec des connecteurs en 50 Ohms,
- L'inadaptation d'impédance de ces connecteurs peut provoquer des rebonds d'onde à chaque extrémité qui vont fortement perturber le signal, notamment les informations de synchronisations (header) non modulés en phase
- Conducteur électrique donc pas disolation entre eux des éléments connectés
La fibre optique ou TosLink
Le connectique fibre optique utilisée pour nos installation est différente de celle utilisée dans le monde industriel (elle est en polymère au lieu de fibre de verre et les émetteurs/récepteurs optoélectriques sont bien inférieurs).
Les plus de la fibre optique :
- Une isolation électrique des éléments connectés donc pas de transfert de masses,
- Insensibilité aux ondes magnétiques
Les moins de la fibre optique :
- Un facteur de perte entre 150db/Km et 200 db/Km pour 650 nano-mêtres (longeur d'onde du rouge)
- Des équipement d'extrémités supplémentaires (emetteur Toslink et recepteur Toskink) entrainant la nécessité d'une conversion electrique/optique et optique/electrique. Ces interfaces sont limitées en bande passante : 6 Mhz pour les moins bons, soit la limite acceptable pour du S/PDIF à 48Khz et insuffisante pour les transmissions à 88.2, 96 et 192 Khz. De plus leur puissance optique est limitée, typiquement Toshiba (le principal fournisseur), recommande une distance de transmission maximale de 10 mêtres.
- Fragilité
Conclusion
On peut dire que sur des longueurs importantes (> 10 mètres) il est préférable d'utiliser une liaison coaxiale.
On peut donc avoir un début d'explication en ce qui concerne les différences à l'écoute de telle ou telle fibre et en particulier les meilleurs résultats obtenus avec des fibres de verre
Ici une explication claire des formats :
http://www.mamosa.org/jenfi.home/debuter...riques.php et le fameux jitter ....
"Bien que cela puisse fonctionner sur de courtes distances, l'interface S/PDIF sera beaucoup moins fiable et beaucoup plus sujettes au JITTER, décalage de l'horloge de synchronisation (lire ci-après). Les informations numériques S/PDIF sont transmises dans le câble à des fréquences étant de 2 Mhz (Fs = 32 kHz), 2,8 MHz (Fs = 44,1 kHz) et 3.1Mhz (Fs = 48 kHz). A de telles fréquences, il se produit ce qui est appelé « l'effet pelliculaire » (cf. encart)."
MacBook Air -Chord Hugo2-Focal Clear