Quelques suppositions tout de même:
L'ampli amplifie le bruit du préampli, lui même amplifiant celui de la source, c'est l'ensemble des 3 qui est le maillon faible en terme de SNR, les défauts de chaque appareil sont amplifiés par le suivant, l'ensemble étant forcément plus mauvais que le moins bon des éléments, surtout si le mauvais n'est pas le dernier (l'ampli). Aujourd'hui la source est souvent au top (sauf étage de sortie à tube limitant au mieux à 100db le rapport signal bruit). Sur le préampli, en atténuant le signal de la source avec le controle de volume puis en réamplifiant le signal on vient ajouter le bruit du préampli par dessus le signal atténué de la source donc le préampli est forcément le principal maillon faible surtout si l'ampli derrière montre un excellent rapport signal bruit comme un AHB2.
Que la somme des trois ne pose pas de souci notable à l'écoute ok, que ce ne soit pas le SNR qui fasse le réel gain à l'écoute d'un appareil, probable, mais en terme de conception un appareil qui cherche à donner le signal d'origine sur toute sa plage dynamique a de bonnes chances de mieux respecter les plus petits signaux au rendu subjectif à la fin (aération dans l'écoute, ambiances sonores, timbres de par le dégradé harmonique, attaques de notes, relief) si bien sûr en plus il est réussi coté respect des timbres ce qui n'est pas toujours le cas même avec des chiffres plaçant l'engin en haut du classement Sinad du forum objectivant.
Pour prendre l'exemple du AHB2 (exploit technologique et en plus sonnant bien), ce que l'on constate à l'écoute c'est qu'en choisissant dessus le niveau de gain (en liaison directe avec une bonne source à controle de volume intégré et des enceintes assez expressives), c'est toujours le gain minimum sur l'ampli donc la moindre atténuation du signal sortie de source, qui donne le résultat le plus "raffiné", celui paraissant le moins poussé, amplifié, dynamisé par un gain d'amplification supérieur, et donc le gain semblant à l'écoute le mieux respecter la plage dynamique, représentation des informations de la piste dans sa gradation dynamique (quand un préampli analogique avec du gain ou un choix de gain supérieur sur l'ampli vient plus encore atténuer le signal de la source et pousser dans le tuyau en sortie avec la sensation de plus de dynamique macro, de grosses informations mises en avant, au détriment des informations les plus petites et donc de la plage dynamique fine de la piste. Probablement pas de lien direct avec les SNR, mais un lien direct avec l'appareil qu'on entend le plus, et en "haute fidélité" on peut imaginer que plus entendre la source que le pré ou l'ampli, c'est plus entendre la piste.
De mon côté j'utilise un peu toutes les possibilités, source avec volume numérique et étage de sortie tube (SNR et plage dynamique moyenne certainement), pré actif avec controle de volume analogique par résistances (à super SNR), pré actif à tube avec contrôle de volume analogique par transfos, source sans étage de sortie actif avec contrôle de volume passif intégré (avec un SNR très important). Le dernier enterre tous les autres avec une marge conséquente, mais c'est un tout... et l'aspect absence d'étage de sortie avec contrôle de volume passif bien fait, adapté aux impédances des amplis de puissance, me semble un facteur important dans le respect de la piste dans ses plus petites informations et naturel attendu.
L'ampli amplifie le bruit du préampli, lui même amplifiant celui de la source, c'est l'ensemble des 3 qui est le maillon faible en terme de SNR, les défauts de chaque appareil sont amplifiés par le suivant, l'ensemble étant forcément plus mauvais que le moins bon des éléments, surtout si le mauvais n'est pas le dernier (l'ampli). Aujourd'hui la source est souvent au top (sauf étage de sortie à tube limitant au mieux à 100db le rapport signal bruit). Sur le préampli, en atténuant le signal de la source avec le controle de volume puis en réamplifiant le signal on vient ajouter le bruit du préampli par dessus le signal atténué de la source donc le préampli est forcément le principal maillon faible surtout si l'ampli derrière montre un excellent rapport signal bruit comme un AHB2.
Que la somme des trois ne pose pas de souci notable à l'écoute ok, que ce ne soit pas le SNR qui fasse le réel gain à l'écoute d'un appareil, probable, mais en terme de conception un appareil qui cherche à donner le signal d'origine sur toute sa plage dynamique a de bonnes chances de mieux respecter les plus petits signaux au rendu subjectif à la fin (aération dans l'écoute, ambiances sonores, timbres de par le dégradé harmonique, attaques de notes, relief) si bien sûr en plus il est réussi coté respect des timbres ce qui n'est pas toujours le cas même avec des chiffres plaçant l'engin en haut du classement Sinad du forum objectivant.
Pour prendre l'exemple du AHB2 (exploit technologique et en plus sonnant bien), ce que l'on constate à l'écoute c'est qu'en choisissant dessus le niveau de gain (en liaison directe avec une bonne source à controle de volume intégré et des enceintes assez expressives), c'est toujours le gain minimum sur l'ampli donc la moindre atténuation du signal sortie de source, qui donne le résultat le plus "raffiné", celui paraissant le moins poussé, amplifié, dynamisé par un gain d'amplification supérieur, et donc le gain semblant à l'écoute le mieux respecter la plage dynamique, représentation des informations de la piste dans sa gradation dynamique (quand un préampli analogique avec du gain ou un choix de gain supérieur sur l'ampli vient plus encore atténuer le signal de la source et pousser dans le tuyau en sortie avec la sensation de plus de dynamique macro, de grosses informations mises en avant, au détriment des informations les plus petites et donc de la plage dynamique fine de la piste. Probablement pas de lien direct avec les SNR, mais un lien direct avec l'appareil qu'on entend le plus, et en "haute fidélité" on peut imaginer que plus entendre la source que le pré ou l'ampli, c'est plus entendre la piste.
De mon côté j'utilise un peu toutes les possibilités, source avec volume numérique et étage de sortie tube (SNR et plage dynamique moyenne certainement), pré actif avec controle de volume analogique par résistances (à super SNR), pré actif à tube avec contrôle de volume analogique par transfos, source sans étage de sortie actif avec contrôle de volume passif intégré (avec un SNR très important). Le dernier enterre tous les autres avec une marge conséquente, mais c'est un tout... et l'aspect absence d'étage de sortie avec contrôle de volume passif bien fait, adapté aux impédances des amplis de puissance, me semble un facteur important dans le respect de la piste dans ses plus petites informations et naturel attendu.
La hifi est femme. Imparfaite par nature, on la choisit pour ce qu'elle a, pas pour ce qu'elle dit avoir. Mais si on voit ses défauts avant ses qualités, on est pas fait pour en avoir une, mieux vaut se soulager sous la douche, en écoutant la radio.
Ventes à venir ou en cours (MP si intéressé pour en discuter): Albedo, Leedh E2 Glass, Coincident Statement Linestage, blocs mono Coincident SE845 Turbo
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