05-25-2020, 03:43 PM
Ecouté trois disques récents comportant le même programme, Frédéric Chopin : Concertos pour piano 1 & 2.
– Dans la collection qui vient d'être commercialisée d'enregistrements du chef Hans Rosbaud des années 1951-1961, dirigeant l'Orchestre de Baden-Baden, avec Hans Richter-Haaser et Nikita Magaloff comme solistes ;
– Chez Decca, par Benjamin Grosvenor et le chef Elim Chan dirigeant l'orchestre d'Ecosse ;
– Chez Warner Classics, Yundi Li joue et dirige l'orchestre la Philharmonie de Varsovie.
Dans le n° 1, l'immense pianiste Richter-Haaser se détache du lot, à mon avis, juvénile et romantique à souhait, tout comme le chef qui l'accompagne. Stylistiquement pertinent.
J'aime aussi la version Yundi Li, plus "objective" et distanciée, sans le moindre pathos, très construite et cohérente. Le pianiste Grosvenor quant à lui fait du Grosvenor, avec d'infinies joliesses sonores (les trilles trop décoratifs). Ça peut plaire, mais j'ai dû me forcer pour l'écouter jusqu'au bout. Idem avec Nikita Magaloff dans le second concerto...
– Dans la collection qui vient d'être commercialisée d'enregistrements du chef Hans Rosbaud des années 1951-1961, dirigeant l'Orchestre de Baden-Baden, avec Hans Richter-Haaser et Nikita Magaloff comme solistes ;
– Chez Decca, par Benjamin Grosvenor et le chef Elim Chan dirigeant l'orchestre d'Ecosse ;
– Chez Warner Classics, Yundi Li joue et dirige l'orchestre la Philharmonie de Varsovie.
Dans le n° 1, l'immense pianiste Richter-Haaser se détache du lot, à mon avis, juvénile et romantique à souhait, tout comme le chef qui l'accompagne. Stylistiquement pertinent.
J'aime aussi la version Yundi Li, plus "objective" et distanciée, sans le moindre pathos, très construite et cohérente. Le pianiste Grosvenor quant à lui fait du Grosvenor, avec d'infinies joliesses sonores (les trilles trop décoratifs). Ça peut plaire, mais j'ai dû me forcer pour l'écouter jusqu'au bout. Idem avec Nikita Magaloff dans le second concerto...