04-14-2019, 02:33 PM
Hervé (Renan) a très justement rendu compte de cette écoute chez Maxi.
En ce qui me concerne je résumerai cette écoute par plusieurs mots clés:
- simple et naturel comme l’accueil qui m’a ete fait, pour moi c’etait une première ainsi qu’une découverte de son système et du personnage.
- agréable et accessible comme le personnage et les échanges qui ont accompagné cette écoute.
Je m’etendrai Pas d’avantage sur le sujet mais plutôt sur l’ecoute.
Dans une pièce à vivre qui me semble pas évidente à maîtriser (baies vitrée sur l’une bonne moitié des murs) se trouve le système dans un position que je qualifierai de central. La trône 2 enceintes de 2 m de haut de marque Austrlienne Duntechle modèle étant des Crown Prince, belles bêtes. Elles sont drivées par un ampli intégré classAudio de classe D de 2x300 W via un drive Tascam avec recollage par Mutec 3 et décodage par Dac Weiss 2. Tout ce petit monde ayant fait l’objet d’optimisations diverses par le maître des lieux, câblage interne et externe tant au niveau des câbles numériques, qu’analogique et Enfin hop comme secteur... le maître des lieux est aussi maître dans la conception des câbles. Tout cela ne paye pas de mine or mis les deux tours de contrôles que sont les Duntech. l'écoute se fait au prêt, tout au plus a 2m des enceintes, une découverte de plus pour moi. La scène est large sur 160 degrés environ et profonde avec une bonne lecture des differents plans. Les instruments sont détournés de telle sorte qu’il apparaît impossible possible qu’ils se chevauchent sauf sur un enregistrement que nous a ramené Hervé, un orchestre symphonique pourtant mais qui là tenait dans le poing de ma main, bras tendu, comme quoi tous les enregistrements ne se valent pas. Les timbres sont naturels, la dynamique explosive à fort volume ce qui a été là cas lors des premiers morceaux et rectifié par la suite pour mon plus grand bonheur. Le système est montant à mon goût avec les Maxi 1 mais redoutable de précision sur toute la largeur du spectre, comme si le fait d’alleger légèrement le médium permettait de faire apparaître des détails dans les 2 extrêmes du spectre ainsi qu’une definition et précision accrues. Le grave est sec et loin d’etre Envahissant, j’en demanderai même un peu plus sur ce registre. L’aigu file plus haut, l’on ressent bien le côté métallique des cordes. Parfois un peut dur pour mes oreilles sur certains morceux, mais cela reste une histoire de goût.
Lors du passage sur le Rasta 3, je ressent plus de matière, le bas médium et le grave sont plus présents, l’ecoute Me paraît plus naturelle, en mémoire Kari Bremnes Coastal Ship avec une voix qui est là bien pleine et non montante que ce fut le cas avec le Maxi 1.
S’en suit une légère perte de détails dans les aigus, un haut aigu moins présent.
Il apparaît que l’equilibre ou le caractère des deux câbles est différents et il serai t intéressant de pouvoir conjuguer pour notre plus grand bonheur les qualités de chacun d’eux. Quel travail remarquable de la part de Maxi et Rasta, chapeau !!!
Maxi l’avait bien compris avant nous et avait pensé au Maxi 2 qui était pour moi, moins montant, plus équilibré mais là encore au détriment de la précision avc un chou il l’a moins de matière que le Rasta 3. Est-ce l’isolation des conducteurs entre eux et par rapport au interférence qui fait cette petite différence ?
En tout les cas une écoute fort agréable et instructive et la rencontre d’un vrai et grand passionné de hi-fiti toujours à la recherche et en quête de...
Merci aussi à Robert (Razmote) pour avoir organisé cette rencontre.
En ce qui me concerne je résumerai cette écoute par plusieurs mots clés:
- simple et naturel comme l’accueil qui m’a ete fait, pour moi c’etait une première ainsi qu’une découverte de son système et du personnage.
- agréable et accessible comme le personnage et les échanges qui ont accompagné cette écoute.
Je m’etendrai Pas d’avantage sur le sujet mais plutôt sur l’ecoute.
Dans une pièce à vivre qui me semble pas évidente à maîtriser (baies vitrée sur l’une bonne moitié des murs) se trouve le système dans un position que je qualifierai de central. La trône 2 enceintes de 2 m de haut de marque Austrlienne Duntechle modèle étant des Crown Prince, belles bêtes. Elles sont drivées par un ampli intégré classAudio de classe D de 2x300 W via un drive Tascam avec recollage par Mutec 3 et décodage par Dac Weiss 2. Tout ce petit monde ayant fait l’objet d’optimisations diverses par le maître des lieux, câblage interne et externe tant au niveau des câbles numériques, qu’analogique et Enfin hop comme secteur... le maître des lieux est aussi maître dans la conception des câbles. Tout cela ne paye pas de mine or mis les deux tours de contrôles que sont les Duntech. l'écoute se fait au prêt, tout au plus a 2m des enceintes, une découverte de plus pour moi. La scène est large sur 160 degrés environ et profonde avec une bonne lecture des differents plans. Les instruments sont détournés de telle sorte qu’il apparaît impossible possible qu’ils se chevauchent sauf sur un enregistrement que nous a ramené Hervé, un orchestre symphonique pourtant mais qui là tenait dans le poing de ma main, bras tendu, comme quoi tous les enregistrements ne se valent pas. Les timbres sont naturels, la dynamique explosive à fort volume ce qui a été là cas lors des premiers morceaux et rectifié par la suite pour mon plus grand bonheur. Le système est montant à mon goût avec les Maxi 1 mais redoutable de précision sur toute la largeur du spectre, comme si le fait d’alleger légèrement le médium permettait de faire apparaître des détails dans les 2 extrêmes du spectre ainsi qu’une definition et précision accrues. Le grave est sec et loin d’etre Envahissant, j’en demanderai même un peu plus sur ce registre. L’aigu file plus haut, l’on ressent bien le côté métallique des cordes. Parfois un peut dur pour mes oreilles sur certains morceux, mais cela reste une histoire de goût.
Lors du passage sur le Rasta 3, je ressent plus de matière, le bas médium et le grave sont plus présents, l’ecoute Me paraît plus naturelle, en mémoire Kari Bremnes Coastal Ship avec une voix qui est là bien pleine et non montante que ce fut le cas avec le Maxi 1.
S’en suit une légère perte de détails dans les aigus, un haut aigu moins présent.
Il apparaît que l’equilibre ou le caractère des deux câbles est différents et il serai t intéressant de pouvoir conjuguer pour notre plus grand bonheur les qualités de chacun d’eux. Quel travail remarquable de la part de Maxi et Rasta, chapeau !!!
Maxi l’avait bien compris avant nous et avait pensé au Maxi 2 qui était pour moi, moins montant, plus équilibré mais là encore au détriment de la précision avc un chou il l’a moins de matière que le Rasta 3. Est-ce l’isolation des conducteurs entre eux et par rapport au interférence qui fait cette petite différence ?
En tout les cas une écoute fort agréable et instructive et la rencontre d’un vrai et grand passionné de hi-fiti toujours à la recherche et en quête de...
Merci aussi à Robert (Razmote) pour avoir organisé cette rencontre.
TWL7+ sur barette Vibex One7R, CS TWL10+ sur Streamer/Dac Teac UD701N, modulation Rasta RL14 Gold, blocs mono Xindak PA1-CS origine, HP PEL Alycastres S2, HP Duelund (12+16+20).
Demat Freebox sur alim DC J92 & DC18+, RJ45 Duo Logilink Flat awg30 CCA sur cascade Meraki MS220 tweaké condo sur alim DC J92 double & DC13+ & DC15, 1Attack Flat awg32/7 Cu.
Demat Freebox sur alim DC J92 & DC18+, RJ45 Duo Logilink Flat awg30 CCA sur cascade Meraki MS220 tweaké condo sur alim DC J92 double & DC13+ & DC15, 1Attack Flat awg32/7 Cu.