Passage cette après-midi chez Robert (Razmote) en présence de Gérard (Gegeseco).
Le système de Robert (voir sa signature) à beaucoup évolué depuis mon dernier passage. Robert aurait-il le syndrômr de la changîte aigüe ? On en est pas loin !!! Un ampli double mono primaire a pris place alimenté à partir du streamer SMSL DP3 via le Dac Topping DX7S. Le contrôle du volume se fait via la télécommande du DP3 qui agit sur le volume du DX7S (corriges-moi Robert si je me plante...). Cela permet la suppression d'un appareil et du coup de ses câbles (CS et modulations).
Ce qui m'avait frappé la première fois que j'étais venu faire une écoute chez Robert, c'était le niveau de détail lors des écoutes, j'avais alors peu d'expérience et de référence en la matière. Depuis je me suis aguerri en la matière au travers des différentes écoutes sur vos systèmes et pourtant aujourd'hui encore je suis toujours aussi surpris. Le médium et haut médium est absente de toute dureté.
La scène a gagné en largeur et en profondeur, chose intéressante car cela permet un détachement des instruments et par conséquent une meilleure lisibilité et une restitution qui me semble plus cohérente.
Un léger manque dans le bas du spectre (comme le reconnait Robert) malgré l'avancé du point d'écoute pour minimiser son impact, mais là Robert se confronte aux caractéristiques acoustique de sa pièce. Pas grand chose à faire hormis du traitement ou de la convolution...
Etant habitué aux écoute avec le Dac-19, une écoute que l'on pourrait qualifié de chaleureuse, j'ai malgré tout ressenti comme une gêne, un manque, que je qualifierai de d'émotion sur les voix, ce coté chaleureux peut-être. C'est une question sur laquelle nous avons débattu, à savoir est-ce qu'une écoute plus analytique ne retire-elle pas ce coté chaleureux ? La sémantique qui est utilisée en hifi et donc par nous autres n'a pas forcément le même sens pour chacun d'entre nous !!! Tout comme la recherche de chacun d'entre nous vers une restitution qui sera plus analytique pour les uns, plus analogique pour les autres, plus chaleureuses pour d'autres encore...
Mais Robert ne compte pas s'arrêter là, il est à la recherche d'un petit plus dans le bas du spectre et pense actuellement partir sur la piste des câbles HP. J'en ai profité pour lui ramener les Xindak FS 3 (câble plat constitué de 35 morceaux de feuille de cuivre 5N recouvert de PTFE les uns des autres). Ils sont venus remplacer les YBA Glass (utilisé en bi-câblage), que Robert qualifie de neutre. J'ai découvert ces câbles HP à l'époque sur des Totem Forest. De façon subtile, je pourrai dire qu'il apporte un léger plus dans la bas du spectre, que celui-ci est plus tendu, mais rien d'extraordinaire.
J'aurai pensé qu'il apporterai une différence plus significative. Etait-ce le fait que le FS3 ne peut être mis en oeuvre qu'en mono-câblage et que des strap lambda étaient utilisés ?
Cela me fait penser à quelque chose dans le système de Robert qui empêche ces différences de s'exprimer plus nettement. Il serait intéressant à ce sujet de tester différents pistes dont celles des câbles modulations plus haut de gamme pour voir l'impact qu'ils pourraient avoir...
Tout comme j'aurai tendance à dire que le Topping DX7S est analytique et manque de chaleur. Si toutefois, ses deux caractéristiques peuvent être présentent simultanément et donc ne pas s'opposer...
En ce qui me concerne, j'associerai plutôt le DP3 avec le Dac-19 (c'est ce que j'ai actuellement sur mon système et je t'invite pour une écoute afin que tu vois ce que cela peux donner sur mon système...), mais comme l'a dit à juste titre Gérard, il s'agit là d'une histoire de gout...
Cerise sur le gâteau, nous avons eu le droit à une démo Home-cinéma Atmos de toute beauté et de haute volée et avec les enceintes principales alimentées ce coup-ci !!!
Un vrai régal
Le système de Robert (voir sa signature) à beaucoup évolué depuis mon dernier passage. Robert aurait-il le syndrômr de la changîte aigüe ? On en est pas loin !!! Un ampli double mono primaire a pris place alimenté à partir du streamer SMSL DP3 via le Dac Topping DX7S. Le contrôle du volume se fait via la télécommande du DP3 qui agit sur le volume du DX7S (corriges-moi Robert si je me plante...). Cela permet la suppression d'un appareil et du coup de ses câbles (CS et modulations).
Ce qui m'avait frappé la première fois que j'étais venu faire une écoute chez Robert, c'était le niveau de détail lors des écoutes, j'avais alors peu d'expérience et de référence en la matière. Depuis je me suis aguerri en la matière au travers des différentes écoutes sur vos systèmes et pourtant aujourd'hui encore je suis toujours aussi surpris. Le médium et haut médium est absente de toute dureté.
La scène a gagné en largeur et en profondeur, chose intéressante car cela permet un détachement des instruments et par conséquent une meilleure lisibilité et une restitution qui me semble plus cohérente.
Un léger manque dans le bas du spectre (comme le reconnait Robert) malgré l'avancé du point d'écoute pour minimiser son impact, mais là Robert se confronte aux caractéristiques acoustique de sa pièce. Pas grand chose à faire hormis du traitement ou de la convolution...
Etant habitué aux écoute avec le Dac-19, une écoute que l'on pourrait qualifié de chaleureuse, j'ai malgré tout ressenti comme une gêne, un manque, que je qualifierai de d'émotion sur les voix, ce coté chaleureux peut-être. C'est une question sur laquelle nous avons débattu, à savoir est-ce qu'une écoute plus analytique ne retire-elle pas ce coté chaleureux ? La sémantique qui est utilisée en hifi et donc par nous autres n'a pas forcément le même sens pour chacun d'entre nous !!! Tout comme la recherche de chacun d'entre nous vers une restitution qui sera plus analytique pour les uns, plus analogique pour les autres, plus chaleureuses pour d'autres encore...
Mais Robert ne compte pas s'arrêter là, il est à la recherche d'un petit plus dans le bas du spectre et pense actuellement partir sur la piste des câbles HP. J'en ai profité pour lui ramener les Xindak FS 3 (câble plat constitué de 35 morceaux de feuille de cuivre 5N recouvert de PTFE les uns des autres). Ils sont venus remplacer les YBA Glass (utilisé en bi-câblage), que Robert qualifie de neutre. J'ai découvert ces câbles HP à l'époque sur des Totem Forest. De façon subtile, je pourrai dire qu'il apporte un léger plus dans la bas du spectre, que celui-ci est plus tendu, mais rien d'extraordinaire.
J'aurai pensé qu'il apporterai une différence plus significative. Etait-ce le fait que le FS3 ne peut être mis en oeuvre qu'en mono-câblage et que des strap lambda étaient utilisés ?
Cela me fait penser à quelque chose dans le système de Robert qui empêche ces différences de s'exprimer plus nettement. Il serait intéressant à ce sujet de tester différents pistes dont celles des câbles modulations plus haut de gamme pour voir l'impact qu'ils pourraient avoir...
Tout comme j'aurai tendance à dire que le Topping DX7S est analytique et manque de chaleur. Si toutefois, ses deux caractéristiques peuvent être présentent simultanément et donc ne pas s'opposer...
En ce qui me concerne, j'associerai plutôt le DP3 avec le Dac-19 (c'est ce que j'ai actuellement sur mon système et je t'invite pour une écoute afin que tu vois ce que cela peux donner sur mon système...), mais comme l'a dit à juste titre Gérard, il s'agit là d'une histoire de gout...
Cerise sur le gâteau, nous avons eu le droit à une démo Home-cinéma Atmos de toute beauté et de haute volée et avec les enceintes principales alimentées ce coup-ci !!!
Un vrai régal
TWL7+ sur barette Vibex One7R, CS TWL10+ sur Streamer/Dac Teac UD701N, modulation Rasta RL14 Gold, blocs mono Xindak PA1-CS origine, HP PEL Alycastres S2, HP Duelund (12+16+20).
Demat Freebox sur alim DC J92 & DC18+, RJ45 Duo Logilink Flat awg30 CCA sur cascade Meraki MS220 tweaké condo sur alim DC J92 double & DC13+ & DC15, 1Attack Flat awg32/7 Cu.
Demat Freebox sur alim DC J92 & DC18+, RJ45 Duo Logilink Flat awg30 CCA sur cascade Meraki MS220 tweaké condo sur alim DC J92 double & DC13+ & DC15, 1Attack Flat awg32/7 Cu.