Perso, j'aime moins ses Beethoven, et je me sens conforté quand je lis dans Resmusica sous la plume de JC Hulot
"On retrouve très naturellement cette grandeur et ce lyrisme exacerbé, comme ce choix de tempos très vifs, dans les deux symphonies les plus extraverties de Beethoven, mais à tout prendre, ces excès de romantisme restent un cran en deçà de ce que, avec autant de fougue mais nettement plus de profondeur d'interprétation, Carlos Kleiber fit à Vienne (DG). Il est vrai que les orchestres anglais choisis pour ces enregistrements impressionnent plus par leur engagement que par leur raffinement, loin des références des Berlinois ou des Viennois dans ce répertoire. "
https://www.resmusica.com/2025/02/14/sui...ustateurs/
Pour être juste il faudrait mettre en regard la vision de Crescendo Magazine (sous la plume de PS Tribot)
"...On ne conseille pas aux auditeurs d’enchaîner immédiatement avec les symphonies de Beethoven, dont la 7e est proposée directement en complément à ce Brahms. Pourtant, cette lecture de la Symphonie n°7, peut-être moins immédiatement frappante d’un point de vue de la dramaturgie musicale, est digne d'éloges par cette gestion de la tension dans une gradation idéale de la construction musicale. Charisme et panache sont toujours présents avec un final évidemment vitaminé et puissant de cette "apothéose de la danse". Même topo avec la Symphonie n°5, dense et héroïque, traversée par un élan remarquable, en particulier dans l’Allegro final, virtuose et galvanisant. On regrette juste dans cette symphonie, un orchestre certes vaillant, mais un peu plus abrasif de fini.
Enfin, savourons l’excellent Concerto pour violon de Brahms porté par l’archer inspiré et solaire Ayla Erduran. On y découvre un Carlos Païta accompagnateur attentionné et attentif de sa soliste. Une lecture à découvrir. "
https://www.crescendo-magazine.be/la-den...beethoven/
"On retrouve très naturellement cette grandeur et ce lyrisme exacerbé, comme ce choix de tempos très vifs, dans les deux symphonies les plus extraverties de Beethoven, mais à tout prendre, ces excès de romantisme restent un cran en deçà de ce que, avec autant de fougue mais nettement plus de profondeur d'interprétation, Carlos Kleiber fit à Vienne (DG). Il est vrai que les orchestres anglais choisis pour ces enregistrements impressionnent plus par leur engagement que par leur raffinement, loin des références des Berlinois ou des Viennois dans ce répertoire. "
https://www.resmusica.com/2025/02/14/sui...ustateurs/
Pour être juste il faudrait mettre en regard la vision de Crescendo Magazine (sous la plume de PS Tribot)
"...On ne conseille pas aux auditeurs d’enchaîner immédiatement avec les symphonies de Beethoven, dont la 7e est proposée directement en complément à ce Brahms. Pourtant, cette lecture de la Symphonie n°7, peut-être moins immédiatement frappante d’un point de vue de la dramaturgie musicale, est digne d'éloges par cette gestion de la tension dans une gradation idéale de la construction musicale. Charisme et panache sont toujours présents avec un final évidemment vitaminé et puissant de cette "apothéose de la danse". Même topo avec la Symphonie n°5, dense et héroïque, traversée par un élan remarquable, en particulier dans l’Allegro final, virtuose et galvanisant. On regrette juste dans cette symphonie, un orchestre certes vaillant, mais un peu plus abrasif de fini.
Enfin, savourons l’excellent Concerto pour violon de Brahms porté par l’archer inspiré et solaire Ayla Erduran. On y découvre un Carlos Païta accompagnateur attentionné et attentif de sa soliste. Une lecture à découvrir. "
https://www.crescendo-magazine.be/la-den...beethoven/
Thierry , Grenoble
Retrouver à domicile l'émotion du spectacle vivant.
(La tanière de "l'Hermite" #47:
https://forum-hifi.fr/thread-18111-post-...#pid748315
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(La tanière de "l'Hermite" #47:
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