05-23-2024, 09:25 PM
(Modification du message : 05-23-2024, 11:31 PM par alexlesourisseau.)
oui j'aime bien mon nouveau jouet ! avec plaisir pour la playlist.
Bon je vais essayer de vous retranscrire au mieux mon ressenti sur ce DAC8 de chez Audio Research.
D’abord je précise que je n’ai pas une culture Hifi incroyable donc je compare avec ce que je connais. Ce que j’ai préféré et que j’ai gardé jusqu’ici c’est un DAC2 avec UA20400 de la même compagnie je l’adore et même si ça ne veut pas dire grand-chose il peut selon moi être qualifié de Dac « musical ». C’est le meilleur adjectif que je lui trouve, il sait transmettre l’émotion.
Ce que je dis plus bas est limité à la fois par ma très humble connaissance de la hifi et par le prisme de mes goûts. Ici s’arrêtera la valeur de mon analyse.
Pour présenter la bête. Le Dac8 est un dac symétrique à base de PCM1792 deux puces en tout, une par canal, donc deux dac par canal. Tout ce qu’il y a de plus commun me direz-vous. Oui mais voilà on est chez ARC, la mise en œuvre est donc soignée et ça s’entend. Les étages de sorties les alimentations notamment sont exemplaires bref du bon Audio Research comme j’aime.
Un petit tour du propriétaire :
Les PCM 1792 :
20240523_202345 by Alexandre pierre sourisseau, sur Flickr
Les étages symétriques discrets et multiples fet comme sait le faire ARC
20240523_202217 by Alexandre pierre sourisseau, sur Flickr
Deux transfos d’alim :
20240523_202329 by Alexandre pierre sourisseau, sur Flickr
La partie alimentation exemplaire :
20240523_202317 by Alexandre pierre sourisseau, sur Flickr
20240523_202356 by Alexandre pierre sourisseau, sur Flickr
Les deux horloges pour adapter aux échantillonnages.
20240523_202305 by Alexandre pierre sourisseau, sur Flickr
Le jitter est inférieur à 10ps les signaux SPDIF sont reclockés. Il ne me parait pas utile du tout de revoir les horloges.
Une vue d’ensemble du cœur de la bête :
20240523_202406 by Alexandre pierre sourisseau, sur Flickr
Et grande nouveauté j’ai maintenant une télécommande !
20240523_202857 by Alexandre pierre sourisseau, sur Flickr
Les deux dacs ont été comparés sur un LS5mkII et un REF110 enceintes 95db de rendement mêmes câbles XLR maison. Entrées AES sur le DAC8 et coax sur le DAC2.
Je ne vais pas vous faire languir plus longtemps, le premier morceau que j’ai écouté est «If you go» de Shirley Horn, le détail des cymbales est d’emblé largement supérieur, les notes de piano se détachent du reste là ou le DAC2 à tendance à englober le tout en comparaison. Le mot qui vient est aérien. Arrive la voix de Shirley avec le détail des petits bruits de sa bouche, la voix vous prend directement au cœur, le rim click sur la caisse claire est net, précis sans bavure. Le dac 2 est très clairement moins défini et enrobe légèrement la voix de la chanteuse ce n’est pas désagréable mais plus lourd voir pataud pourrait-on dire en somme.
La première comparaison donne le ton on est sur du lourd. 1/0
Après cette cuisante déculottée prise par le DAC2 j’ai choisi un morceau avec lequel je sais que ça le fait bien et que beaucoup de dac modernes peinent à bien reproduire Maybe de Janis Joplin. Immédiatement la basse avec Le DAC8 est plus nette plus profonde on suit bien la ligne, les cuivres sont bien timbrés et vient la voix de Janis, l’exercice est difficile tant j’ai écouté le morceau, la voix de Janis m’apparait limpide et claire encore une fois, pas agressive, la guitare non plus ne me flingue pas les oreilles. Après ces premières minutes d’écoute, alléluia ; je trouve l’émotion. le DAC2 produit également une restitution hyper plaisante sur ce morceau, il faut le souligner et notamment sur la voix de Janis ainsi que la guitare, ce n’est peut-être pas ce qui "devrait être" d’un point de vue " HIFI " mais qu’est-ce que c’est bon ! je trouve ça peut être même meilleur sur cet aspect précis, il y a un coté plaisir qui ne laisse pas indifférent avec le DAC2.
Pour être gentil disons un partout balle au centre
J’ai ensuite écouté Japanese roots -Také daké, la flute commence, le DAC8 la rend limpide, bien timbrée on sent le bois de l’instrument, les percussions sont ultra dynamiques précises, l’ensemble des timbres est excellent le carillon à l’arrière est fluide tout en détails, toutes les micros infos sont là, la frappe sur le tambour est sans commune mesure avec ce que propose le DAC2, bref rien à dire c’est vivant, vraiment excellent. Le DAC2 en comparaison est à la ramasse total.
Là c’est clair 2/1
Si j'étais blanche -Cecile Mclorin salvant
Premières notes de piano, magnifique, juste, le dac n’en fait pas des caisses mais c’est hyper dynamique on distingue toutes les harmoniques et la différence est flagrante avec le DAC2 qui a tendance à lisser la restitution de l’instrument la rendre plus homogène, la voix est encore une fois limpide les timbres sont justes. Les nuances dans le grave sont bien plus intelligibles avec le DAC8 qui est vraiment très largement au dessus sur ce registre. Les basses du DAC2 semblent comme engluées.
3/1 ça commence a sentir le roussi pour le DAC2 !
vivaldi-amandine Beyer
J’ai ensuite passé ce morceau parce que je l’aime particulièrement, malheureusement ma pièce ne permet pas aux enceintes d’exprimer leur plein potentiel. Pour un tel morceau et juger de la largeur de la scène il faudrait beaucoup plus d’espace mais quelques pistes semblent intéressantes, le Tutti au début du morceau est plus étagé on distingue mieux les instruments les uns des autres, le clavecin est d’une clarté que je n’imaginais pas possible, le violon d’amandine Beyer est pur et lumineux, il sonne vrai. La restitution avec le DAC2 est cependant plaisante également et le violon en particulier même si c’est différent est intéressant aussi et plus doux sur ce morceau et ce mastering particulier sur le fil du rasoir.
Egalité sur ce coup là
Bass drops nenad-vasilic
Là, j’aurais pas dû, la lisibilité de la contrebasse n’a rien à voir avec celle du DAC2, les nuances les articulations la dynamique de folie enterre le DAC2. Les effets de salle lors des prises de son plus lointaines sur la contrebasse sont d’une réalité confondante comparé au DAC2. Le détail du jeu sur les cordes, les micros infos rendent le tout bien plus proche de la réalité, c’est du Live comparé au DAC2.
4/1
Soyeusement-michel godard
D’emblé c’est encore le détail du jeu sur le théorbe qui frappe, les différentes harmoniques rendent le tout bien timbré, j’ai monté le son jusqu’au déraisonnable tant c’était bon. Le saxo ressort bien avec l’effet de salle, on distingue mieux les instruments encore une fois. Le DAC2 ne démérite pas sur ce morceau.
Aller égalité pour être sympa avec le papy.
Pink panthère-markusphilippe
Ce qui m’a frappé d’abord ce sont Les glissando et les groul du sax qui sont juste joussif l’effet de live est immédiat, la différence dans le jeu de la contrebasse se fait encore une fois bien ressentir même si c’est moins marqué que sur le Bass drops. Sur ce morceau c’est le timbre du Sax les effets qui sont largement mieux retranscrits avec le DAC8.
5/1
The Family-nina simone
Premières notes j’ai monté le son ! mon dieu que c’est bon, je commençais à me dire que le DAC8 était moins adapté aux vieux enregistrements ou au classique. Que nenni pour les vieux enregistrements ! la subtilité du jeu de guitare l’aération des instruments les coups de grosse caisse c’est punchy, la voix de Nina est sublime même si ce n’est pas l’enregistrement qui la met le plus en valeur, là c’est foot tapping à souhait. Du tout bon. Le kiffe.
6/1
Je termine avec Piano man wolfgang-Haffner
Boum ! la profondeur de la grosse caisse me traverse aucune comparaison avec le DAC2 n’est possible, la voix est toujours limpide, on distingue toutes les petites inflexions, les nuances, ce qui fait le grain de la voix, sa tessiture. La contrebasse est ample et toute en nuances ; on sent la délicatesse et la force à la fois des notes de piano la dynamique est là, c’est live. Sur le DAC2 la voix parait comme enrobée encore une fois, il y a un coté charnel mais qui passe moins bien sur ce morceau ça fait brouillon à coté du DAC8, sur le papy la contrebasse est illisible à coté de ce que propose le DAC8.
7/1
Voilà Paul, et les autres, mon ressenti sur ce DAC8, c’est dynamique à souhait on dirait une grenade bien tranquille mais prête à tout dévaster sur son passage si on dégoupille, limpide, très très bien timbré, juste et précis, la restitution du grave est très largement supérieure à ce que j’ai connu c’est foot tapping, punchy, un kick de l’espace. Les micros infos apportent le réalisme sans en faire trop. Bref c’est plus que validé une réussite et au prix auquel on les trouve aujourd’hui c’est cadeau. Il faudra que je teste l’entrée USB du DAC8 mais elle est particulière et ne fonctionne qu’avec..... windows quelle hérésie !??? par contre le pilote propriétaire ARC garanti une utilisation bit perfect il doit donc y avoir vérification du flux USB, je vais surement essayer une Rasp avec un windows léger dessus pour voir ce que ça donne…à suivre
sur ce je vais profiter de ma soirée solo pour avancer sur mon KSA 50!
le tout en musique bien sur
Bon je vais essayer de vous retranscrire au mieux mon ressenti sur ce DAC8 de chez Audio Research.
D’abord je précise que je n’ai pas une culture Hifi incroyable donc je compare avec ce que je connais. Ce que j’ai préféré et que j’ai gardé jusqu’ici c’est un DAC2 avec UA20400 de la même compagnie je l’adore et même si ça ne veut pas dire grand-chose il peut selon moi être qualifié de Dac « musical ». C’est le meilleur adjectif que je lui trouve, il sait transmettre l’émotion.
Ce que je dis plus bas est limité à la fois par ma très humble connaissance de la hifi et par le prisme de mes goûts. Ici s’arrêtera la valeur de mon analyse.
Pour présenter la bête. Le Dac8 est un dac symétrique à base de PCM1792 deux puces en tout, une par canal, donc deux dac par canal. Tout ce qu’il y a de plus commun me direz-vous. Oui mais voilà on est chez ARC, la mise en œuvre est donc soignée et ça s’entend. Les étages de sorties les alimentations notamment sont exemplaires bref du bon Audio Research comme j’aime.
Un petit tour du propriétaire :
Les PCM 1792 :
20240523_202345 by Alexandre pierre sourisseau, sur Flickr
Les étages symétriques discrets et multiples fet comme sait le faire ARC
20240523_202217 by Alexandre pierre sourisseau, sur Flickr
Deux transfos d’alim :
20240523_202329 by Alexandre pierre sourisseau, sur Flickr
La partie alimentation exemplaire :
20240523_202317 by Alexandre pierre sourisseau, sur Flickr
20240523_202356 by Alexandre pierre sourisseau, sur Flickr
Les deux horloges pour adapter aux échantillonnages.
20240523_202305 by Alexandre pierre sourisseau, sur Flickr
Le jitter est inférieur à 10ps les signaux SPDIF sont reclockés. Il ne me parait pas utile du tout de revoir les horloges.
Une vue d’ensemble du cœur de la bête :
20240523_202406 by Alexandre pierre sourisseau, sur Flickr
Et grande nouveauté j’ai maintenant une télécommande !
20240523_202857 by Alexandre pierre sourisseau, sur Flickr
Les deux dacs ont été comparés sur un LS5mkII et un REF110 enceintes 95db de rendement mêmes câbles XLR maison. Entrées AES sur le DAC8 et coax sur le DAC2.
Je ne vais pas vous faire languir plus longtemps, le premier morceau que j’ai écouté est «If you go» de Shirley Horn, le détail des cymbales est d’emblé largement supérieur, les notes de piano se détachent du reste là ou le DAC2 à tendance à englober le tout en comparaison. Le mot qui vient est aérien. Arrive la voix de Shirley avec le détail des petits bruits de sa bouche, la voix vous prend directement au cœur, le rim click sur la caisse claire est net, précis sans bavure. Le dac 2 est très clairement moins défini et enrobe légèrement la voix de la chanteuse ce n’est pas désagréable mais plus lourd voir pataud pourrait-on dire en somme.
La première comparaison donne le ton on est sur du lourd. 1/0
Après cette cuisante déculottée prise par le DAC2 j’ai choisi un morceau avec lequel je sais que ça le fait bien et que beaucoup de dac modernes peinent à bien reproduire Maybe de Janis Joplin. Immédiatement la basse avec Le DAC8 est plus nette plus profonde on suit bien la ligne, les cuivres sont bien timbrés et vient la voix de Janis, l’exercice est difficile tant j’ai écouté le morceau, la voix de Janis m’apparait limpide et claire encore une fois, pas agressive, la guitare non plus ne me flingue pas les oreilles. Après ces premières minutes d’écoute, alléluia ; je trouve l’émotion. le DAC2 produit également une restitution hyper plaisante sur ce morceau, il faut le souligner et notamment sur la voix de Janis ainsi que la guitare, ce n’est peut-être pas ce qui "devrait être" d’un point de vue " HIFI " mais qu’est-ce que c’est bon ! je trouve ça peut être même meilleur sur cet aspect précis, il y a un coté plaisir qui ne laisse pas indifférent avec le DAC2.
Pour être gentil disons un partout balle au centre
J’ai ensuite écouté Japanese roots -Také daké, la flute commence, le DAC8 la rend limpide, bien timbrée on sent le bois de l’instrument, les percussions sont ultra dynamiques précises, l’ensemble des timbres est excellent le carillon à l’arrière est fluide tout en détails, toutes les micros infos sont là, la frappe sur le tambour est sans commune mesure avec ce que propose le DAC2, bref rien à dire c’est vivant, vraiment excellent. Le DAC2 en comparaison est à la ramasse total.
Là c’est clair 2/1
Si j'étais blanche -Cecile Mclorin salvant
Premières notes de piano, magnifique, juste, le dac n’en fait pas des caisses mais c’est hyper dynamique on distingue toutes les harmoniques et la différence est flagrante avec le DAC2 qui a tendance à lisser la restitution de l’instrument la rendre plus homogène, la voix est encore une fois limpide les timbres sont justes. Les nuances dans le grave sont bien plus intelligibles avec le DAC8 qui est vraiment très largement au dessus sur ce registre. Les basses du DAC2 semblent comme engluées.
3/1 ça commence a sentir le roussi pour le DAC2 !
vivaldi-amandine Beyer
J’ai ensuite passé ce morceau parce que je l’aime particulièrement, malheureusement ma pièce ne permet pas aux enceintes d’exprimer leur plein potentiel. Pour un tel morceau et juger de la largeur de la scène il faudrait beaucoup plus d’espace mais quelques pistes semblent intéressantes, le Tutti au début du morceau est plus étagé on distingue mieux les instruments les uns des autres, le clavecin est d’une clarté que je n’imaginais pas possible, le violon d’amandine Beyer est pur et lumineux, il sonne vrai. La restitution avec le DAC2 est cependant plaisante également et le violon en particulier même si c’est différent est intéressant aussi et plus doux sur ce morceau et ce mastering particulier sur le fil du rasoir.
Egalité sur ce coup là
Bass drops nenad-vasilic
Là, j’aurais pas dû, la lisibilité de la contrebasse n’a rien à voir avec celle du DAC2, les nuances les articulations la dynamique de folie enterre le DAC2. Les effets de salle lors des prises de son plus lointaines sur la contrebasse sont d’une réalité confondante comparé au DAC2. Le détail du jeu sur les cordes, les micros infos rendent le tout bien plus proche de la réalité, c’est du Live comparé au DAC2.
4/1
Soyeusement-michel godard
D’emblé c’est encore le détail du jeu sur le théorbe qui frappe, les différentes harmoniques rendent le tout bien timbré, j’ai monté le son jusqu’au déraisonnable tant c’était bon. Le saxo ressort bien avec l’effet de salle, on distingue mieux les instruments encore une fois. Le DAC2 ne démérite pas sur ce morceau.
Aller égalité pour être sympa avec le papy.
Pink panthère-markusphilippe
Ce qui m’a frappé d’abord ce sont Les glissando et les groul du sax qui sont juste joussif l’effet de live est immédiat, la différence dans le jeu de la contrebasse se fait encore une fois bien ressentir même si c’est moins marqué que sur le Bass drops. Sur ce morceau c’est le timbre du Sax les effets qui sont largement mieux retranscrits avec le DAC8.
5/1
The Family-nina simone
Premières notes j’ai monté le son ! mon dieu que c’est bon, je commençais à me dire que le DAC8 était moins adapté aux vieux enregistrements ou au classique. Que nenni pour les vieux enregistrements ! la subtilité du jeu de guitare l’aération des instruments les coups de grosse caisse c’est punchy, la voix de Nina est sublime même si ce n’est pas l’enregistrement qui la met le plus en valeur, là c’est foot tapping à souhait. Du tout bon. Le kiffe.
6/1
Je termine avec Piano man wolfgang-Haffner
Boum ! la profondeur de la grosse caisse me traverse aucune comparaison avec le DAC2 n’est possible, la voix est toujours limpide, on distingue toutes les petites inflexions, les nuances, ce qui fait le grain de la voix, sa tessiture. La contrebasse est ample et toute en nuances ; on sent la délicatesse et la force à la fois des notes de piano la dynamique est là, c’est live. Sur le DAC2 la voix parait comme enrobée encore une fois, il y a un coté charnel mais qui passe moins bien sur ce morceau ça fait brouillon à coté du DAC8, sur le papy la contrebasse est illisible à coté de ce que propose le DAC8.
7/1
Voilà Paul, et les autres, mon ressenti sur ce DAC8, c’est dynamique à souhait on dirait une grenade bien tranquille mais prête à tout dévaster sur son passage si on dégoupille, limpide, très très bien timbré, juste et précis, la restitution du grave est très largement supérieure à ce que j’ai connu c’est foot tapping, punchy, un kick de l’espace. Les micros infos apportent le réalisme sans en faire trop. Bref c’est plus que validé une réussite et au prix auquel on les trouve aujourd’hui c’est cadeau. Il faudra que je teste l’entrée USB du DAC8 mais elle est particulière et ne fonctionne qu’avec..... windows quelle hérésie !??? par contre le pilote propriétaire ARC garanti une utilisation bit perfect il doit donc y avoir vérification du flux USB, je vais surement essayer une Rasp avec un windows léger dessus pour voir ce que ça donne…à suivre
sur ce je vais profiter de ma soirée solo pour avancer sur mon KSA 50!
le tout en musique bien sur