Merci Lamiphil pour tes éclaircissements !
Je tâcherai de ne pas l'oublier lors de mon prochain achat de l'Humboldt
D'ailleurs il serait intéressant que tu nous racontes un peu tes impressions sur ce super intégré. Qu'à il remplacé dans ton système et qu'elles ont été les améliorations ?
Alors Hifitub,
Effectivement je compare le Hovland avec le pré de l'Auralic d'une part. Et l'integré Watt d'autre part depuis le Dac Auralic.
Donc les plus du Watt, une transparence immédiate, un voile s'est levé, aucune fatigue d'écoute apportée par ce surplus de détails. Les timbres sont superbes, la variété des peaux de percussion par exemple est extraordinaire.
Le Hovland avait un caractère peut-être plus fruité, c'était gourmand à l'écoute, mais pas chaud quand même, et au final le plaisir est la aussi.
Mais j'avoue que la droiture du Watt me séduit, car ce n'est pas analytique ni froid, on sent qu'on est dans le studio ou sur la scène, sans rien en moins ni en plus.
Le seul secteur sur lequel le Hovland va plus un peu plus loin je pense est sur le côté energie, micro-impacts, qui apporte peut-être plus de vie à la musique, à voir si cela correspond à la réalité. Mais il me semble que je ressens aussi ces petits impacts et cette micro-dynamique en concert alors situé à 5 metres de la scène.
Au final, les point positifs du Watt font pencher la balance, je signale aussi que côté puissance ressentie et image il y a égalité.
Je tâcherai de ne pas l'oublier lors de mon prochain achat de l'Humboldt
D'ailleurs il serait intéressant que tu nous racontes un peu tes impressions sur ce super intégré. Qu'à il remplacé dans ton système et qu'elles ont été les améliorations ?
Alors Hifitub,
Effectivement je compare le Hovland avec le pré de l'Auralic d'une part. Et l'integré Watt d'autre part depuis le Dac Auralic.
Donc les plus du Watt, une transparence immédiate, un voile s'est levé, aucune fatigue d'écoute apportée par ce surplus de détails. Les timbres sont superbes, la variété des peaux de percussion par exemple est extraordinaire.
Le Hovland avait un caractère peut-être plus fruité, c'était gourmand à l'écoute, mais pas chaud quand même, et au final le plaisir est la aussi.
Mais j'avoue que la droiture du Watt me séduit, car ce n'est pas analytique ni froid, on sent qu'on est dans le studio ou sur la scène, sans rien en moins ni en plus.
Le seul secteur sur lequel le Hovland va plus un peu plus loin je pense est sur le côté energie, micro-impacts, qui apporte peut-être plus de vie à la musique, à voir si cela correspond à la réalité. Mais il me semble que je ressens aussi ces petits impacts et cette micro-dynamique en concert alors situé à 5 metres de la scène.
Au final, les point positifs du Watt font pencher la balance, je signale aussi que côté puissance ressentie et image il y a égalité.