Et bien voilà, l'IN300 est arrivé hier ! Un peu frigorifié par le trajet (c'est le nord, ici :-)), il a cérémonieusement été déballé. A ce propos, on note la qualité de l'emballage, clairement un cran au dessus de ce qui est fait pour les séries 50/80/100/200.
Il y a deux choses très positives qui m'ont marqué à la première écoute, par rapport à l'IN200 Signature :
Après quelques heures de chauffe et une journée de rodage (avec un bon vieux cd de rodage isotek en boucle), le défaut des middle-bass en retrait s'est déjà nettement amoindri.
Je viens de me faire un bon vieux "Histoire de Melody Nelson", c'est incroyable de détails, les violons sont chatoyants, le timbre éraillé de la voix est hyper réaliste, les percussions sont précises, nettes, et la basse avec cette légère disto est juste parfaite.
On poursuit le rôdage, suite de l'écoute dans les prochains jours !
Il y a deux choses très positives qui m'ont marqué à la première écoute, par rapport à l'IN200 Signature :
- Quel punch ! Et pourtant je ne trouvais pas que l'IN200 Signature en manquait. Mais le bond est flagrant. Ca se sent sur toutes les attaques de notes, de l'extrême grave à l'aigu. Sur mes 30cm, les kick de grosse caisse vous mettaient un coup à la poitrine, ici ça devient de la claque au visage. Pareille pour des petites notes de guitares, du slap à la basse. Quel relief!
- Il ya énormément plus de textures dans le middle. C'était peut-être le seul reproche que je pouvais faire à l'IN200, qui pouvait parfois être un brin trop lisse dans ce registre. Ce n'est pas le cas de l'IN300, clairement.
- Les middle-bass, donc entre les middle et l'extrême grave, sont un peu creux (autours des 100-200Hz). C'est un peu gênant : on a l'extrême bas du spectre bien présent, puis un "trou", puis des middles et des aigus de nouveau bien présents.
- J'ai un buzz (on en parlait récemment) au niveau du transfo. Ca ne s'entend pas avec la musique, mais c'est pas top.
Après quelques heures de chauffe et une journée de rodage (avec un bon vieux cd de rodage isotek en boucle), le défaut des middle-bass en retrait s'est déjà nettement amoindri.
Je viens de me faire un bon vieux "Histoire de Melody Nelson", c'est incroyable de détails, les violons sont chatoyants, le timbre éraillé de la voix est hyper réaliste, les percussions sont précises, nettes, et la basse avec cette légère disto est juste parfaite.
On poursuit le rôdage, suite de l'écoute dans les prochains jours !
Un cocktail de RPis, de Boxem et de NAD, de Kefs, de Monitor Audio et de DIY, sur 6 zones d'écoute (à voir ici).