Le vrai innovateur, c’était la Squeezebox pour moi, pas Linn. Le rapport prestation prix des Akurate était celui de leurs appareils, restitution dans le style Linn, c’était plus un choix de marque comme on choisit Naim, qu’un choix de performance. C’est mon avis. Lumin est venu chatouiller Linn sur son propre terrain, copie du style de l’arrière du boitier, usage de la norme openhome, mais de toute façon il y avait une nette distinction dans les idées technologiques des deux marque, en particulier sur des choses qui comptent beaucoup comme l’alimentation et les étages analogiques, pas la spécialité de Lumin qui avait un savoir faire en lecture réseau avant tout. J’avais fait upgrader l’akurate chez Gert Volk un électronicien allemand qui remettait en cause la musicalité liée à l’alim et étage de sortie. Le rapport prestation prix de Linn est discutable, comme d’autres marques, à chacun ses choix.
Pour moi il ne se comparaient pas vraiment, Linn et Lumin, ils étaient du même niveau mais sur des choix technologiques différents. C’était plus facile pour Lumin de gagner sur le terrain de la musicalité avec une alim linéaire et l’usage de transfos lundahl sur la sortie analogique, mais le Lumin A1 brillait surtout par son appli (qui est mise à jour si régulièrement Phile pour les Lumin car c’est avant tout une appli pour les appareils de la marque, dont les autres peuvent bénéficier gratuitement pour de nombreux autres appareils ce qui est inédit sur le marché), et des choix donnant un résultat plus facile à vivre coté analogique que le Linn plus terne.
C’était le souci de mon côté, je suis passé directement de ma platine cd qui a cramé (audio analogue Maestro 24/96) à l’Akurate DS/1 de seconde main. Il ne me restait plus beaucoup pour comparer, collectivement ce fut face à une audio analogue Paganini rev2, un couple audiomat tempo2 evo / CEC TL51, Ayon CD2S ensuite, CD5s aussi. Musicalement on s’emmerdait toujours un peu avec le Linn. J’ai arrêté de comparer après le Lumin mais ce n’est pas pour cela que la démat ne posait, ne pose même, des soucis de musicalité dont le cd arrive à se sortir plus facilement, à cause des serveurs, réseau, alims, boiboites, cables... mais en terme de résolution la démat a rapidement battu toutes les mécaniques cd moyennes jusqu’à quelques milliers d’euros, toutes les platines cd à suréchantillonage étaient moyenne quand de bons dac avec de la démat permettaient d’obtenir la musicalité de formats natifs pas suréchantillonnés à tors et à travers. Une squeezebox bien alimentée sur sortie spdif était meilleure que bien des mécaniques cd, le souci a toujours été l’optimisation en demat qui est externe principalement, quand le cd s’optimise plus en interne par le fabricant. Bien des audiophiles ne voyaient pas le souci de mettre de la tune dans un CEC TL3N modifié VM, mais autant pour une source démat numérique optimisée ça grattait plus, pourquoi alors qu’un ordi est censé faire le job....
Pour moi il ne se comparaient pas vraiment, Linn et Lumin, ils étaient du même niveau mais sur des choix technologiques différents. C’était plus facile pour Lumin de gagner sur le terrain de la musicalité avec une alim linéaire et l’usage de transfos lundahl sur la sortie analogique, mais le Lumin A1 brillait surtout par son appli (qui est mise à jour si régulièrement Phile pour les Lumin car c’est avant tout une appli pour les appareils de la marque, dont les autres peuvent bénéficier gratuitement pour de nombreux autres appareils ce qui est inédit sur le marché), et des choix donnant un résultat plus facile à vivre coté analogique que le Linn plus terne.
(01-27-2021, 10:47 AM)lArédien a écrit :(01-26-2021, 11:48 PM)Nicoben a écrit : Pas en avance, il y a quelques années cela passait pour de la folie donc on essayait de se voiler la face sur l’impact... j’avais un switch dédié et un nas sur alim linéaire Teddy Pardo il y a dix ans sur l’Akurate DS aux débuts de la démat « high end ». D’ailleurs Teddy Pardo a fabriqué sa première double alim pour switch et Nas pour moi...(...)
Impressionnant ! A partir de quand as-tu cessé de comparer avec le CD ?
C’était le souci de mon côté, je suis passé directement de ma platine cd qui a cramé (audio analogue Maestro 24/96) à l’Akurate DS/1 de seconde main. Il ne me restait plus beaucoup pour comparer, collectivement ce fut face à une audio analogue Paganini rev2, un couple audiomat tempo2 evo / CEC TL51, Ayon CD2S ensuite, CD5s aussi. Musicalement on s’emmerdait toujours un peu avec le Linn. J’ai arrêté de comparer après le Lumin mais ce n’est pas pour cela que la démat ne posait, ne pose même, des soucis de musicalité dont le cd arrive à se sortir plus facilement, à cause des serveurs, réseau, alims, boiboites, cables... mais en terme de résolution la démat a rapidement battu toutes les mécaniques cd moyennes jusqu’à quelques milliers d’euros, toutes les platines cd à suréchantillonage étaient moyenne quand de bons dac avec de la démat permettaient d’obtenir la musicalité de formats natifs pas suréchantillonnés à tors et à travers. Une squeezebox bien alimentée sur sortie spdif était meilleure que bien des mécaniques cd, le souci a toujours été l’optimisation en demat qui est externe principalement, quand le cd s’optimise plus en interne par le fabricant. Bien des audiophiles ne voyaient pas le souci de mettre de la tune dans un CEC TL3N modifié VM, mais autant pour une source démat numérique optimisée ça grattait plus, pourquoi alors qu’un ordi est censé faire le job....
La hifi est femme. Imparfaite par nature, on la choisit pour ce qu'elle a, pas pour ce qu'elle dit avoir. Mais si on voit ses défauts avant ses qualités, on est pas fait pour en avoir une, mieux vaut se soulager sous la douche, en écoutant la radio.
Ventes à venir ou en cours (MP si intéressé pour en discuter): Albedo, Leedh E2 Glass, Coincident Statement Linestage, blocs mono Coincident SE845 Turbo
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