Pourquoi le jitter m'est sensible par une crispation, une dureté dans le haut medium ?
L'ami Shannon a pondu son théorème lorsque nos grands parents saluaient la reconstruction post guerre 1945 en écoutant du bakélite mono !
Mais fait suer ce gars... 2,2 fois la fréquence la plus haute à reproduire, et HOP, c'est dans la boite.
On se demande même à quoi ça a pu servir à l'époque ! (enfin si, mais c'est une autre histoire...)
D'autant qu'il n'est pas le seul a avoir bossé sur le sujet... Quelques décennies avant, durant 14-18, un anglais avait déjà bossé l'approche mathématique.
Y'a des mecs comme ça... Les guerres, se foutre sur la gueule, ça les inspire (on connait ça ailleurs ) !
Revenons à Shannon (au fait, qq'un connait son prénom ?) : Lui, travaillant chez Bell, a su formaliser la chose avec son pote Harry Nyquist. Pour arroser ça, sont même allés au Mc Do .
Bref... Je diverge... (non, c'est pas vulgaire, mais présomptueux dirait ma concierge !).
Considérons donc que plus une fréquence est aigue, plus elle sera représentée dans les successions d'échantillons à 44kHz ou + à l'entrée des circuits (puisque échantillons à 2,2 fois la plus haute fréquence, c'est pas pour rien...).
Donc, les fréquences aigues (et les harmoniques au dessus) seront, par cumulation, encore plus sensibles au jitter et à sa conséquence audible...
D'où crispation, dureté dans le haut medium (et harmoniques), par un développement temporel sujet au jitter.
Ce que j'ai nommé "distorsion temporelle".
Pis c'est là que l'oreille humaine est naturellement la plus sensible... Pour entendre ta compagne dire "à table" ou encore "qui qu'a pissé en dernier à côté et laissé la lunette ouverte".
CQFD ou bien ?
L'ami Shannon a pondu son théorème lorsque nos grands parents saluaient la reconstruction post guerre 1945 en écoutant du bakélite mono !
Mais fait suer ce gars... 2,2 fois la fréquence la plus haute à reproduire, et HOP, c'est dans la boite.
On se demande même à quoi ça a pu servir à l'époque ! (enfin si, mais c'est une autre histoire...)
D'autant qu'il n'est pas le seul a avoir bossé sur le sujet... Quelques décennies avant, durant 14-18, un anglais avait déjà bossé l'approche mathématique.
Y'a des mecs comme ça... Les guerres, se foutre sur la gueule, ça les inspire (on connait ça ailleurs ) !
Revenons à Shannon (au fait, qq'un connait son prénom ?) : Lui, travaillant chez Bell, a su formaliser la chose avec son pote Harry Nyquist. Pour arroser ça, sont même allés au Mc Do .
Bref... Je diverge... (non, c'est pas vulgaire, mais présomptueux dirait ma concierge !).
Considérons donc que plus une fréquence est aigue, plus elle sera représentée dans les successions d'échantillons à 44kHz ou + à l'entrée des circuits (puisque échantillons à 2,2 fois la plus haute fréquence, c'est pas pour rien...).
Donc, les fréquences aigues (et les harmoniques au dessus) seront, par cumulation, encore plus sensibles au jitter et à sa conséquence audible...
D'où crispation, dureté dans le haut medium (et harmoniques), par un développement temporel sujet au jitter.
Ce que j'ai nommé "distorsion temporelle".
Pis c'est là que l'oreille humaine est naturellement la plus sensible... Pour entendre ta compagne dire "à table" ou encore "qui qu'a pissé en dernier à côté et laissé la lunette ouverte".
CQFD ou bien ?
Ce n'est pas toi qui aimes la Musique... Mais la Musique qui te fait aimer... Thierry.
Mon contexte : http://www.living-leedh.com/?page_id=528
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