à jtwildduck : yes
à Lamouette : en effet, et comme il est toujours intéressant d'observer ce qui s'est fait ailleurs mais qui peut être appliqué à notre profit, un peu de culture-confiture, j'ai l'âge pour : le principe dont tu parles est celui qui était utilisé au début des outils hydrauliques. Des machines à vapeur capables de fournir une grande énergie mais peu de puissance remplissaient des grands réservoirs sous débit moyen. ces réservoirs (d'eau, d'où le nom) alimentaient eux-mêmes de plus petits réservoirs situés à proximité des outils qui avaient besoin d'une puissance élevée, mais pas nécessairement de beaucoup d'énergie. Les machines à vapeur, bien adaptées à la fourniture de puissance constante mais inaptes aux changements rapides de régimes imposées par les outils étaient écrantées par ce double système de réservoirs et tournaient peinardes, sans à-coups.
Un équilibre est à trouver au cas pas cas entre la sollicitation du transfos et des redresseurs et le besoin de réactivité de l'ensemble de filtrage.
à Lamouette : en effet, et comme il est toujours intéressant d'observer ce qui s'est fait ailleurs mais qui peut être appliqué à notre profit, un peu de culture-confiture, j'ai l'âge pour : le principe dont tu parles est celui qui était utilisé au début des outils hydrauliques. Des machines à vapeur capables de fournir une grande énergie mais peu de puissance remplissaient des grands réservoirs sous débit moyen. ces réservoirs (d'eau, d'où le nom) alimentaient eux-mêmes de plus petits réservoirs situés à proximité des outils qui avaient besoin d'une puissance élevée, mais pas nécessairement de beaucoup d'énergie. Les machines à vapeur, bien adaptées à la fourniture de puissance constante mais inaptes aux changements rapides de régimes imposées par les outils étaient écrantées par ce double système de réservoirs et tournaient peinardes, sans à-coups.
Un équilibre est à trouver au cas pas cas entre la sollicitation du transfos et des redresseurs et le besoin de réactivité de l'ensemble de filtrage.