10-31-2018, 06:25 PM
il faut tout lire, pas que ce qui va dans le sens qui nous arrange , je n'ai même pas cité tout les contre:
"Les horloges capables de traiter avec régularité du flux à 64, 128 voire 256 fois la fréquence d'un CD ne sont pas rares. Mais quelles sont les conséquences possibles du brui¬tage d'alimentation ou d'échauffement des composants à de telles vitesses ? Si la dérive et son jitter amènent à une fausse interprétation en PCM, en DSDIFF, cette dernière peut influencer le décodage des densités et nuire à la res¬titution générale. Mécaniquement, plus la fréquence de travail est haute, plus les dérives potentielles ont statisti¬quement de conséquences. De la même manière on peut donc considérer que le format DSD nécessitera un filtrage et une alimentation rigoureuse au même titre que pour le format PCM.
Le mastering
Enfin, qu'en est-il du mastering ? A interroger les éditeurs, ces derniers sont naturellement d'un avis visant à pousser à la consommation basée sur le format et personne ne pourra leur en vouloir pour cela ! De retour en studio, on peut constater que les logiciels de mastering ne proposent pas systématiquement de méthode simple pour éditer le flux et effectuer des montages DSDIFF.
Les calculs d'effets, le mixage et l'application de filtres à virgule flottante imposent un passage par le format PCM 384KHz puis un retour au format DSDIFF. Ce format PCM, avis pris auprès d'ingénieurs du son opérationnels, res¬pecte à peu près la réponse impulsionnelle du format DSDIFF. On comprend aisément que lorsque l'on sort du marquage simple, l'intérêt potentiel s'amenuise.
De même, pour les productions dont le mixage nécessite un mastering de 100 pistes, il est illusoire d'imaginer que les systèmes de nos jours soient capables de calculer l'en¬semble. Nous nous posons donc fort justement la question de savoir combien de productions sortent sans aucune modification structurelle de l'enregistrement ?"
"Les horloges capables de traiter avec régularité du flux à 64, 128 voire 256 fois la fréquence d'un CD ne sont pas rares. Mais quelles sont les conséquences possibles du brui¬tage d'alimentation ou d'échauffement des composants à de telles vitesses ? Si la dérive et son jitter amènent à une fausse interprétation en PCM, en DSDIFF, cette dernière peut influencer le décodage des densités et nuire à la res¬titution générale. Mécaniquement, plus la fréquence de travail est haute, plus les dérives potentielles ont statisti¬quement de conséquences. De la même manière on peut donc considérer que le format DSD nécessitera un filtrage et une alimentation rigoureuse au même titre que pour le format PCM.
Le mastering
Enfin, qu'en est-il du mastering ? A interroger les éditeurs, ces derniers sont naturellement d'un avis visant à pousser à la consommation basée sur le format et personne ne pourra leur en vouloir pour cela ! De retour en studio, on peut constater que les logiciels de mastering ne proposent pas systématiquement de méthode simple pour éditer le flux et effectuer des montages DSDIFF.
Les calculs d'effets, le mixage et l'application de filtres à virgule flottante imposent un passage par le format PCM 384KHz puis un retour au format DSDIFF. Ce format PCM, avis pris auprès d'ingénieurs du son opérationnels, res¬pecte à peu près la réponse impulsionnelle du format DSDIFF. On comprend aisément que lorsque l'on sort du marquage simple, l'intérêt potentiel s'amenuise.
De même, pour les productions dont le mixage nécessite un mastering de 100 pistes, il est illusoire d'imaginer que les systèmes de nos jours soient capables de calculer l'en¬semble. Nous nous posons donc fort justement la question de savoir combien de productions sortent sans aucune modification structurelle de l'enregistrement ?"