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Antre II, le retour
Au delà du catalogue il faut les disques… un pressage de Brel ou Gainsbourg qui sonne mieux que le numérisé de merde fait dans les premières années du numérique, ça n’existe pas en neuf, alors que c’est à se taper le cul par terre de bonheur auditif sur le disque de la grande époque. Et constaté sur un excellent système vinyle équilibré, un Diana Krall en fichier ou en vinyle donne un résultat strictement identique à l’écoute, donc les écarts sont liés à la qualité du disque d’époque (mix mastering etc…) vs son pendant numérique souvent loupé, le reste c’est du défaut de mise en oeuvre du vinyle, ou du numérique, ni plus, ni moins Smile
Le vrai son vinyle de qualité facile, c’est donc le repiquage des master, ou des vinyles issus de ces masters si ils ont disparu, vers du fichier en DSD avec du matériel de qualité.
La hifi est femme. Imparfaite par nature, on la choisit pour ce qu'elle a, pas pour ce qu'elle dit avoir. Mais si on voit ses défauts avant ses qualités, on est pas fait pour en avoir une, mieux vaut se soulager sous la douche, en écoutant la radio.

Ventes  à venir ou en cours (MP si intéressé pour en discuter): Albedo, Leedh E2 Glass, Coincident Statement Linestage, blocs mono Coincident SE845 Turbo
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Je pense que c'est une erreur de penser que les bons vinyles sont dans le passé. Certes, il y en a, mais dans les productions récentes "vinylisées" à partir d'enregistrements numériques, il y aussi quelques pépites. Le point commun reste la qualité de l'enregistrement et la mise en oeuvre. Les vinyleux qui sont restés sur le PC en USB sur les premiers DAC (et même certains actuels) peuvent garder une grosse frustration, de même que ceux qui passent trop rapidement sur une platine avec de mauvais pressages. Suivant les moyens mis en oeuvre, on peut pencher vers l'un ou l'autre. Sur une production récente (à l'exception de certains labels "Old School"), la conversion N/A ne se fait pas au même endroit.
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Bon…
Soyons rationnels 

Mes meilleurs enregistrements de Queen sont des rip de vinyle. Parce que la production numérique de ces albums est du gros kk. 

Mais lire des trous et des bosses avec un amplificateur mécanique reste un truc olé olé bourré de distorsions des le départ, des fréquences gravables  fonction de la distance au centre, l’usure des la première lecture, etc etc.  

Je ne dis pas qu’on ne peut pas y prendre de plaisir. J’ai écouté de très bons systèmes vinyle chez Bill et Poprock par exemple. 

Mais attention à ne pas systématiquement comparer des albums numériques au mastering abject avec leur version vinyle très correctement faite. 

Amicalement
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Un peu excessif ! non ?
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Ce n'est pas le numérique qui est coupable des mauvais CDs, Fichiers streamés ou chargés ou vinyles issus de numérique. Le numérique ext excellent, par exemple comme dit thierry les rips de vinyles sont excellents, souvent meilleurs que les rééditions digitales. J'en ai beaucoup et pas de déceptions.
Pour vérifier: une carte son pro, 2 micros électrostatiques, enregistrer du live - thierry par ex..

Comme beaucoup l'ont déjà dit depuis longtemps, c'est le mastering qui fait tout, et pour les vinyles la gravure - j'en ai des mous, des agressifs,....il y a des pressages géniaux et d'aqutres nuls.
Alors dire "le vinyle", "le CD", "le....", cela n'a pas beaucoup de sens.
Remarque sur les premiers CDs édités que l'on qualifie souvent de mauvais, ce n'est pas le cas. les premiers que j'ai achetés vers 1984 sont en parfait état et sonnent mieux que les rééditions. Le meilleur exemple pour moi est Electric Ladyland, un album que j'adore. J'ai les vinyles (Allemagne, Japon - le mieux) et le premier CD, un double CD. J'ai au fil du temps acheté les nouvelles éditions, il y en a un paquet, (la pire étant de Douglas), et finalement j'ai réécouté le premier et c'est le meilleur. Au fur et à mesure des rééditions le volume augmente et le son se durcit.

Pour les CDs, je renouvelle mon conseil: CIMP records -Jazz non compressé, prises sans trafic.
Enceintes:Onken-Altec 416/Iwata-JBL2445Be/ T925; Tannoy K3838; ATC scm11;Triangle Comète; JM Lab Cobalt 816S
Amplis:Accuphase P102;Forté 4A;1A;Arpège Ref10,Atoll AM80,Hiraga 8W;FX802;MCR 510
Pré: PerreauxEP;Tact RCS 2.2X; Mytek Brooklyn DAC; Preamp passif CI Audio 
CD:Nuprime CD8T, BD:Oppo93 , ReavonUBR-X110 - Squeezebox Touch, SB III (x 3)
Vinyle:Thorens TD160 bras Lurné ;TD 165;V15 V15V, AT 440Mlb, DL103,pré pré Hiraga pré ADL GT40
Magnétos:K7 nakamich BX2,TEAC W-1200, Bandes TEAC 3340, 2300; Sony TC377;minidisc Sony MDS JE500

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(05-17-2024, 09:39 PM)Nicoben a écrit : Au delà du catalogue il faut les disques… un pressage de Brel ou Gainsbourg qui sonne mieux que le numérisé de merde fait dans les premières années du numérique, ça n’existe pas en neuf, alors que c’est à se taper le cul par terre de bonheur auditif sur le disque de la grande époque. Et constaté sur un excellent système vinyle équilibré, un Diana Krall en fichier ou en vinyle donne un résultat strictement identique à l’écoute, donc les écarts sont liés à la qualité du disque d’époque (mix mastering etc…)  vs son pendant numérique souvent loupé, le reste c’est du défaut de mise en oeuvre du vinyle, ou du numérique, ni plus, ni moins Smile
Le vrai son vinyle de qualité facile, c’est donc le repiquage des master, ou des vinyles issus de ces masters si ils ont disparu, vers du fichier en DSD avec du matériel de qualité.

C’est cela…. Voilà pourquoi j’ai largué ma platine vinyle depuis des années… Cool
source Audiomat drive D1Mk3+Sotm sMS 1000 SQ Eunhasu, Dac B AUDIO B.dac EX , ampli Ypsilon Phaethon SE,  enceintes Rockport Avior, câbles Alethéia + Ypsilon argent, Shunyata Everest, meubles WOODLINK.
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Ahhh moi j’en ai une dans le placard (qui attend un meuble et une partie préampli MM bonne et pas chère symétrisant le signal pour pouvoir la déporter sur le coté de la pièce: ouvert aux suggestions pour le pré symétriseur, qui pourrait être un ancien préampli disposant d’un bon étage phono).
Sa fonction sera 90% esthétique et jeu de gamin qui n’a pas grandi, 10% musicale pour lire les quelques vinyles que j’ai à la maison. Je suis généreux sur les 10%.
La hifi est femme. Imparfaite par nature, on la choisit pour ce qu'elle a, pas pour ce qu'elle dit avoir. Mais si on voit ses défauts avant ses qualités, on est pas fait pour en avoir une, mieux vaut se soulager sous la douche, en écoutant la radio.

Ventes  à venir ou en cours (MP si intéressé pour en discuter): Albedo, Leedh E2 Glass, Coincident Statement Linestage, blocs mono Coincident SE845 Turbo
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Je ne voulais pas relancer un débat pro vs cons, ou c'est quoi le meilleur ! Juste rebondir sur les anciens médias qui nous amène à prendre le temps de l'écoute.
Chaque techno a son lot de contrainte : quelles soient mécaniques, électriques, électro-magnétiques ! Dès le départ du transport de bit, le numérique est un lot à merde... Je crois que nous le savons. Le vinyle avec sa lecture au burin préhistorique (je force le trait évidemment) n'est pas à l'origine de la lecture absolue du signal. Le CD n'est pas en reste, car répondant aux mêmes contraintes de la démat avec le gain d'un support, mais aussi une partie mécanique qui peut être bruyante et ronflante... Bref "on n'a pas le cul sorti des ronces" !
Mon sentiment reste plus modéré (déformation), je trouve mon bonheur dans un peu toutes ces sources.
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Salut

Ce débat ne me gêne pas ici Olivier  Wink 

Il est complexe, dépend des attentes de chacun (j’ai écrit attentes et non pas goûts).

Il dépend intégralement des autres maillons, on a un système de maillons interconnectés depuis la piste qu’elle soit sur un vinyle, un CD ou un disque dur jusqu’à la pièce. 

Chaque technologie a des défauts intrinsèques et des limites. 

Pour le numérique, il y a eu la « découverte » du dither indispensable quand on passe de calculs de mix/mastering en 24 bits au 16 bits, qui conduit à des distorsions très désagréables et qui était absent de nombreux premiers CD et que 40 ans plus tard certains ingés son semblent avoir parfois oublié. 

Il y a eu enduite la possibilité de jouer aux apprentis sorciers avec tous les outils numériques de reverb ou de compression dynamique et la guerre du volume. 

La possibilité de « on corrigera en post production » a aussi conduit certaines production à bâcler les prises de son, alors que c’est le point de départ essentiel et critique. 

Mon jugement et avis sur vinyle/numérique n’est pas basé sur ce qu’on peut obtenir en moyenne mais sur ce qu’on peut obtenir de mieux pour chaque techno, à partir de prises de son aux petits oignons, effectuées avec des micros à 15k€ pièce et des ingénieurs du son au top. 

Une première limite du vinyle est qu’on est obligé d’empiler preampli phono et preampli avec gain, quand tous ces éléments peuvent être supprimés avec le numérique dans beaucoup de configurations. 

La lecture d’un vinyle est que cela plaise ou pas, choque ou pas, basée sur un concept plus qu’archaïque de conversion d’un signal mécanique en signal électrique. C’est nécessairement bourré de distorsions qui iront jusqu’aux enceintes et oreilles après avoir été amplifiées 3 fois: preampli phono, preampli, ampli. 
Par ailleurs, la précision de ce signal par rapport à la prise de son est extrêmement faible même avec des cellules et des électroniques à pas de prix. 

Si je passe à la partie « écoutes », sur des petites formations de jazz ou de classique, l’illusion du réel peut être atteinte en numérique mais je ne l’ai jamais entendue en vinyle. Alors que l’illusion du réel n’est pas l’objectif de la hifi qui n’est que la fidélité à la source. L’illusion du réel demande à la fois des prises de son au meilleur niveau et une hifi sans faille, pièce comprise. 

En terme de matériel, c’est la précision uniforme en fréquence extravagante de MSB et de Benchmark qui conduit à ce naturel du réel.

La précision ne sert pas à entendre le percussionniste de gratter le nez, mais permet de traiter par exemple le bruit de fond de la salle de prise de son ou des électroniques de prise de son comme non corrélées au signal audio (à condition évidemment que le matériel de prise de son soit au même niveau)  et quand ce bruit est décorrélé, le cerveau peut l’oublier et ne plus l’entendre même s’il est physiquement présent. 

Le vinyle à la fois par la façon d’extraire l’information de base et la nécessité de beaucoup plus d’électroniques ne me semble pas, en l’état, d’atteindre ce type de restitution. 

Cela ne m’empêche pas de largement préférer par exemple certains albums de Miles Davis sur une platine Vinyle par rapport aux CD d’origine. Jusqu’à ce que j’achète des remasterings faits par des orfèvres. 

Amicalement
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Thierry, là où nos attentes divergent, c'est sur cette partie de ton message, je cite :
"Alors que l’illusion du réel n’est pas l’objectif de la hifi qui n’est que la fidélité à la source."

Pour moi la hi-fi c'est quand l'illusion est proche du réel...
Au final dans ton approche de la hi-fi, il me semble que t'y rajoute un maillon, la source... J'entends par la source, la fidélité de la reproduction de l'enregistrement ... C'est ce que tu veux dire ?
Si c'est cela, il me semble que c'est un élément que personne ne peut maîtriser, ni même le meilleurs dac ou platine au monde
 Enceinte DAVIS THE WALL | Dac AUDIOMAT MAESTRO 4 Référence| V12 Ear yoshino  | Switch ANSUZ XTC | Câble secteur Magic Furutech L4/L6 | LES MESURES | Câble Hp 2404 INAKUSTIK
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