04-19-2019, 09:41 PM (Modification du message : 04-19-2019, 09:45 PM par Chet.)
(04-19-2019, 08:55 PM)Van Der Graaf Generator a écrit : Continuité warholienne ...
Pour la VRAIE banane... difficile vu l'âge !
On est bien d'accord que ces références vous font ENCORE chialer ou dresser les poils ?
Pas uniquement vos premiers émois
(04-19-2019, 09:41 PM)Chet a écrit : On est bien d'accord que ces références vous font ENCORE chialer ou dresser les poils ?
Pas uniquement vos premiers émois
Plutot premiers emois pour moi..
Il n'y a pas vraiment de musique que j'ecoutais a 13 ans qui me procure la meme emotion aujourd'hui.
04-20-2019, 12:20 AM (Modification du message : 04-20-2019, 12:22 AM par KYBLA.)
Hello
à 12 ans, au club disque de l'internat du lycée je découvrais ce Floyd ,
46 ans plus tard - Echoes et l'entrée de la guitare de Gilmour me fait toujours de l'effet.
vers 18 balais , j'achetais ça , un de mes premiers lp achetés - avec W.Y.W.H des Floyd -
les harmonies vocales du D. Crosby Band me fait toujours de l'effet
ces ressentis n'ont pas comme support un événement particulier , 1er zamours , soirée enfumée ETC...
simplement LA MUSIQUE .
-Exister serait une entreprise totalement impraticable si on cessait d’accorder de l’importance à ce qui n’en a pas.- Emil Cioran
Mes débuts se sont faits principalement avec des concertos pour piano et orchestre ou pour violon et orchestre (Mozart, Brahms, Rachmaninov, Tchaïkovski, Bach...) J'étais moins attiré par la musique symphonique ou par l'opéra.
Vers 15 ans, j'ai subi un électrochoc avec les Deep Purple (Machine Head, Made In Japan) qui m'a fait virer vers une musique plus vivante...
S'en sont suivis Genesis, Status Quo, The rolling Stones, Pink Floyd...
3 ans plus tard, j'ai amorcé un autre virage vers le Jazz et le blues, puis la fusion et le smooth jazz. Je n'écoute pratiquement plus les disques de mon adolescence si ce n'est par nostalgie un titre ou deux par an.
Udayan
"The trouble with the world is that the stupid are cocksure and the intelligent full of doubt." Bertrand Russell