je viens ici pour vous partager mon expérience personnelle et surtout vous lire 
Audiophile Mélomane, j'aime avant tout l'émotion, la musicalité avec une préférence pour la musique de films et les voix féminines avec un peu de piano.
Mais j'aime aussi écouter de la pop...
(quand j'écoute c'est confortablement installé, et les yeux fermés pour obliger mon cerveau à se concentrer sur l’ouïe
(car naturellement la vue occupe la plupart de son attention).
Dernièrement j'ai été confronté à un problème technique dont j'ai trouvé la solution que je vous partage ci-dessous :
Contexte utilisateur
Installation Hi-Fi haut de gamme :
Section analogique : Platine CD Micromega Solo H, préampli McIntosh C504, ampli McIntosh MC502 + Leedh Psyché II (cablage fourni par Gilles Millot le concepteur de mes enceintes que j'ai eu la chance de rencontrer).
Section numérique : Roon Nucleus One → SoTM sMS200 Neo → DAC Micromega (ancien modèle).
Home cinéma : TV Sony Bravia J90 + système HT-A9 + NAS double RJ45 hébergeant Plex (pass-through activé).
Réseau local : Freebox Delta-S, switch QNAP (2 SFP 10Gb + 4 RJ45 à 2,5Gb),
Approche pragmatique, non dogmatique.
Problèmes rencontrés
Solutions appliquées
Résultat final
Conclusion
Optimiser un réseau audio/vidéo ne nécessite pas forcément des dépenses importantes.
Une réflexion logique sur l’architecture réseau, l’isolation des flux critiques, l’usage d’IP fixes et la suppression du Wi-Fi sur les maillons sensibles donnent de vrais résultats audibles et mesurables.
Ce retour d’expérience montre que la rigueur technique prime souvent sur l’achat d’accessoires audiophiles coûteux ou ésotériques.
En espérant peut-être en aider certains sans dépenser des fortunes
La suite remplacer mon vieux DAC pour un modèle très musical pour garder l'esprit de mon système.

Audiophile Mélomane, j'aime avant tout l'émotion, la musicalité avec une préférence pour la musique de films et les voix féminines avec un peu de piano.
Mais j'aime aussi écouter de la pop...
(quand j'écoute c'est confortablement installé, et les yeux fermés pour obliger mon cerveau à se concentrer sur l’ouïe
(car naturellement la vue occupe la plupart de son attention).
Dernièrement j'ai été confronté à un problème technique dont j'ai trouvé la solution que je vous partage ci-dessous :
Contexte utilisateur
Installation Hi-Fi haut de gamme :
Section analogique : Platine CD Micromega Solo H, préampli McIntosh C504, ampli McIntosh MC502 + Leedh Psyché II (cablage fourni par Gilles Millot le concepteur de mes enceintes que j'ai eu la chance de rencontrer).
Section numérique : Roon Nucleus One → SoTM sMS200 Neo → DAC Micromega (ancien modèle).
Home cinéma : TV Sony Bravia J90 + système HT-A9 + NAS double RJ45 hébergeant Plex (pass-through activé).
Réseau local : Freebox Delta-S, switch QNAP (2 SFP 10Gb + 4 RJ45 à 2,5Gb),
Approche pragmatique, non dogmatique.
Problèmes rencontrés
- Instabilités réseau (notamment en DHCP avec 4 ports RJ45 actifs sur la box).
- TV Sony limitée à 100 Mbps en RJ45 → bridage de l’Imax Enhanced + pass-through audio impossible.
- Risque de pollution réseau sur un switch partagé (TV, Hi-Fi, etc.).
- Surcharge EMI potentielle (Wi-Fi, HDMI-CEC activé en permanence…).
Solutions appliquées
- Passage en IP fixe pour tous les équipements critiques.
- Réseau entièrement câblé (Wi-Fi désactivé).
→ La box alimente le switch QNAP via SFP 10Gb.
→ Le switch QNAP distribue :
• 1 port pour le Roon Nucleus
• 2 ports pour le NAS (agrégation de lien)
• 1 port vers le switch NETGEAR GS108 réservé à l’audio (SoTM) + consoles de jeu (Jamais actifs en même temps : musique ou jeu).
(pour ceux qui se posent la question le 2e port SFP alimente un PC dédié à l'IA générative)
- TV rebranchée directement à la box pour l’isoler du réseau audio.
- Adaptateur USB 3.0 → RJ45 Gigabit sur le port USB "caché" de la TV (au lieu du 100 Mbps intégré).
→ Débit multiplié par 3, lecture Imax et Plex fluide.
- Ferrites clips posées sur les câbles sensibles (alimentation ou RJ45) à titre préventif.
- Architecture en double switch = seuls les équipements nécessaires restent allumés en mon absence (pour accéder à ma musique via Roon ARC ou PLEX pour la vidéo.
Résultat final
- Suppression totale des déconnexions aléatoires.
- Lecture fluide en Imax & Plex pass-through.
- Réseau structuré, hiérarchisé, silencieux.
- Coût d’optimisation < 50 €.
- Résultats validés par test en aveugle sur les câbles et l’alimentation avec un PowerQuest 8 prises
(j'envisage juste d'ajouter une AUDIOPHONICS LPSU25 Alimentation Linéaire régulée Filtre EMI RFI 9V 2A 25VA en supplément pour le SoTM)
Conclusion
Optimiser un réseau audio/vidéo ne nécessite pas forcément des dépenses importantes.
Une réflexion logique sur l’architecture réseau, l’isolation des flux critiques, l’usage d’IP fixes et la suppression du Wi-Fi sur les maillons sensibles donnent de vrais résultats audibles et mesurables.
Ce retour d’expérience montre que la rigueur technique prime souvent sur l’achat d’accessoires audiophiles coûteux ou ésotériques.
En espérant peut-être en aider certains sans dépenser des fortunes

La suite remplacer mon vieux DAC pour un modèle très musical pour garder l'esprit de mon système.