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Sirius G2.1 d'Auralic : boite magique?
#1
Je me permets de vous faire partager ce qui a été pour moi une vraie révélation en matière d'amélioration de la chaine numérique.
Adepte de la dématérialisation (voir ma config) je me suis longtemps interrogé sur le bien fondé de tout ce qui concerne les horloges et autres matériels de nettoyage et reconstitution du signal numérique.
Après avoir atteint le but que je m'était fixé en matière d'évolution et très satisfait du résultat obtenu, je me suis décidé à me faire prêter le Sirius G2.1 d'Auralic sur lequel j'avais lu quelques articles mondiaux élogieux.
J'ai attendu environ 10 mois de rodage de mon matos pour faire la démarche.
Dès les premières écoutes la claque a été immédiate : plus de tout...
Détails, scène sonore qui était déjà très bonne, et plus surprenant, les graves améliorés sans retoucher mon caisson JL Audio Fathom f113v2 calibré et mis en phase par des mesures acoustiques.
Pour résumer mon ressenti, encore plus de présence des instruments et des voix.
Force est de constater que le traitement du numérique en "direct live" est très délicat et que, la plus part du temps, il y a perte de données qui induisent irrévocablement une dégradation du signal analogique après décodage.
Pour ma part, le Sirius est inséré en liaison USB entre la source Nucléus et le DAC Lampizator Amber 3.
Ce boitier "magique" fait également la convolution et a un égaliseur paramétrique pour ceux qui en auraient besoin. Au regard des mesures acoustiques de ma pièce dédiée je n'en ai pas besoin.
Fini pour moi les interminables cogitations concernant les alims et câbles. (une câble ne vas pas rétablir un signal dégradé, sa seule mission est de conserver le plus possible la qualité du signal qui le traverse).  Le seul câble que j'ai soigné particulièrement concerne la liaison USB du signal "nettoyé" à la sortie du Sirius qui est un Odeion Omicron à 360€. Pour info j'ai essayé le Sigma de la même marque à 2600€ sans faire la moindre différence. De même, le vendeur m'avait également mis à l'essai un câble alim secteur Odeion Sigma à 5300€ qui m'a servi à alimenter le DAC Lampizator sans plus de succès : aucune différence audible pour mes modestes "esgourdes" avec un câble tout à fait ordinaire! Big Grin
Voilà, si quelqu'un d'entre vous est intéressé par un essai, je pourrai vous donner, en message privé, les coordonnées du vendeur qui propose très facilement ce prêt d'une semaine environ.
HP:Tannoy GRS bicâblage:apertura et auditorium 23 amplis:blocs mono Tsakiridis Apollon "ultima" caisson:JLAudio câble audio Chord Shawline DAC:Lampizator Amber3 câble USB:Odeion Omicron source:Nucleus roon Upsampler:Sirius 2.1 d'Auralic ligne secteur dédiée:câble dble blindage meuble HIFI: DIY suspendu charpente
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#2
Bonjour Bobo,
J’ai fractionné ton message et ai créé un fil à part pour ce Sirius G2.1 d'Auralic

La modération
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#3
Merci pour ce retour Bobo de ce produit effectivement peu connu. 
En lisant la fiche descriptive, il est indiqué qu'un micro peut y être raccordé afin de faire "la correction" du signal par rapport à la pièce, tu as des infos dessus ?
Auralic Aries G1, Transrotor zet1, Gold Note PH10, Audiomat Tempo 2.8, Audiomat Opéra réf 12, Denon DCD 1510, server Roon NUC i5 akasa, JMR Cantabile Jubile
mon Install :http://forum-hifi.fr/thread-14576.html
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#4
Je croyais que c’était juste pour upscaler des formats moi s résolus.
Cela améliore aussi la qualité sonore d’une piste flac 24/192 ??

Intéressant car je pensais rajouter un jour un Léo à mon Vega…

J’avoue avoir un peu de mal parfois à comprendre leurs produits.

Ps: heureux de lire qu’une autre personne ait le même sentiment que moi sur les câbles secteurs…
J’ai testé et résultat: aucune différence !
Contrairement aux câbles hp et modulation ou la chaque changement est directement audible…
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#5
Bonne initiative de la modération pour avoir créé ce sujet, merci Steph44200.
Désolé pour le retard des réponses je n'étais pas abonné à ce nouveau sujet.

(08-22-2022, 07:55 PM)Audiofan a écrit : Merci pour ce retour Bobo de ce produit effectivement peu connu. 
En lisant la fiche descriptive, il est indiqué qu'un micro peut y être raccordé afin de faire "la correction" du signal par rapport à la pièce, tu as des infos dessus ?

Audiofan , le Sirius fait la convolution, c.a.d. la correction du signal en fonction du comportement acoustique de la salle. C'est un domaine que je n'ai pas bien exploité. Le plus sérieux, se serait de faire des mesures avec un micro dédié et REW et là je te renvoi à l'excellent sujet de pda0 sur le traitement acoustique. Une fois les mesures faites, le logiciel REW peut sortir la courbe de correction de ta salle que tu pourras faire prendre en compte par le Sirius. Je sais que c'est possible mais je n'ai pas les détails de la méthode.
Le Sirius a la réputation de pouvoir mener une correction du signal numérique (égalisation paramétrique ou convolution) avec un minimum d'altération.
Autrement, sa fonction principale consiste à "nettoyer" le signal numérique comme je le décris plus haut.

Gebulon , j'utilise l'upscaler qui sort tous les signaux en DSD 512. En fait j'ai laissé ce réglage qui est mis par défaut pour une entrée et une sortie en USB. C'est bien mais je pense que l'apport principal ne vient pas de là. J'ai pu tester différent niveaux de richesse du signal sans de changement significatif à l'écoute.
Ce qui m'a aussi impressionné, c'est le nivellement par le haut de tous les formats d'encodage. Même le mp3 175kbps s'écoute presque comme du 196/24b.
Cela m'amène à préciser que le Sirius est aussi un "aiguilleur" du signal numérique : 4 entrées numériques (AES, coax, TOS et USB) peuvent être connectées, après traitement, à 4 sorties.(séparément et une seule à la fois)
Cela m'est utile pour, par exemple, faire passer le son de la télé et pouvoir ainsi profiter de concerts en streaming dans des conditions optimisées. Même dans ce cas le travail du Sirius est impressionnant.
Enfin, tu parles de l'horloge "ultime" que représente le Leo de chez Auralic. Le Sirius est doté d'une double  horloges à très haute précision associée à un calculateur industriel très puissant, nécessaires pour un traitement sérieux et en temps réel du signal. Je témoigne donc de cet amélioration significative. Je ne saurais te dire ce que l'horloge Leo pourrait apporter en plus, sachant que sa précision est encore supérieure à celles du Sirius.
Si j'ai bien compris, la logique d'Auralic dans ton cas, serait de t'équiper du Sirius puis éventuellement du Leo.
Faut avoir le budget !!! Blush  Tu peux toujours le tester...
Pour ma part, très content du Sirius, je n'envisage pas cet upgrade "ULTIME"
HP:Tannoy GRS bicâblage:apertura et auditorium 23 amplis:blocs mono Tsakiridis Apollon "ultima" caisson:JLAudio câble audio Chord Shawline DAC:Lampizator Amber3 câble USB:Odeion Omicron source:Nucleus roon Upsampler:Sirius 2.1 d'Auralic ligne secteur dédiée:câble dble blindage meuble HIFI: DIY suspendu charpente
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#6
Merci pour ces réponses Wink
Je vais me d’aster de déchiffrer un peu tout ça et tenter un essai du Sirius.

J’avoue avoir un peu de mal à positionner les produits Auralic…
Mais peut-être que plutôt que d’investir dans un switch hdg, le Sirius est une alternative intéressante Wink
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#7
(09-18-2022, 01:02 PM)Gebulon a écrit : J’avoue avoir un peu de mal à positionner les produits Auralic…

Mais peut-être que plutôt que d’investir dans un switch hdg, le Sirius est une alternative intéressante Wink

De mon point de vue il n'y aura pas photo sur le résultat, le switch reste bien en amont, avant le lecteur, alors que le Sirius fait son traitement juste avant le DAC.
Pour t'éclairer un peu plus voilà des infos traduites :
article du 22/09/2021 de Sam Rosen  n°117 de la revue positive--feedback-com :


Sur le Sirius plusieurs entrées et sorties numériques sont présentes. Vous pouvez entrer en  AES, Coax, Toslink, USB et sortir sur les quatre également. Le Sirius G2.1 dispose de deux sorties USB. Une qui est complètement isolée et qui fournira la meilleure qualité sonore des options de sortie USB, et une qui maximise la compatibilité. Toutes ces entrées et sorties rendent le Sirius G2.1 incroyablement polyvalent. Vous ne pouvez pas utiliser les sorties USB et les autres sorties numériques en même temps, mais par exemple, vous pouvez choisir de sortir vers d’autres sorties numériques (AES, Coax, Toslink),et du coup vous pouvez connecter jusqu'à trois DAC au Sirius G2.1 en même temps, ce qui peut être amusant lorsque l'on compare les équipements. Il y a également un port Ethernet à l'arrière du Sirius, mais il n'est utilisé que pour les mises à jour du micrologiciel et la configuration Web.
Je souhaite qu'AURALiC offre une fonctionnalité de streaming de base, similaire à ce qu'ils ont fait avec le Vega G2. Mais sur le Sirius G2.1, ils ne l'ont pas fait, et par conséquent, vous aurez besoin d'une source numérique à mettre devant le Sirius G2.1.
Le Sirius dispose également de la technologie exclusive Lighting Link d'AURALiC, à la fois une entrée et une sortie. Celui-ci utilise un câble HDMI pour fournir une seule connexion numérique à large bande passante qui peut vous permettre de chaîner plusieurs produits AURALiC G2/G2.1/GX ensemble. L'avantage de cette connexion est qu'elle a une gigue incroyablement faible et ne nécessite pas de compression du signal d'horloge. Il offre également un contrôle bidirectionnel, permettant à tous les composants d'une pile G2/G2.1/GX d'agir comme s'il s'agissait d'un seul composant. Le point de contrôle unique est honnêtement ma partie préférée de la technologie Lighting Link, et le fait que l'AURALiC ait réfléchi à cela et ait proposé une solution montre une fois de plus son souci du détail.
Le Sirius G2.1 est le premier produit d'AURALiC à présenter sa plate-forme de traitement numérique de nouvelle génération. Cette plate-forme est construite sur la dernière génération de FPGA Xilinx. Pour ceux qui ne connaissent pas, FPGA signifie Field Programmable Gate Array. Ce qui rend les FPGA intéressants, c'est qu'ils contiennent essentiellement un tas de matériel qui peut être configuré pour effectuer des tâches très spécifiques. Cette configuration est effectuée par un logiciel et vous écrivez la configuration de la même manière que vous écrivez un programme informatique, mais au lieu que le programme produise un tas de 1 et de 0 qui s'exécutent sur un ordinateur à usage général, à la place, il configure et connecte les différents éléments matériels du FPGA pour créer un ordinateur spécialement conçu et optimisé pour effectuer une tâche très spécifique lorsque des données sont fournies sur son entrée.
Pourquoi utiliser des FPGA ? Les FPGA, comme je l'ai dit ci-dessus, vous permettent essentiellement de créer du matériel optimisé pour résoudre un problème particulier, et donc il peut résoudre ce problème rapidement et potentiellement mieux qu'un ordinateur à usage général. Cela devient important lorsque nous parlons d'audio numérique, car le suréchantillonnage peut prendre diverses formes. Il peut être rapide, mais inexact, et il peut être incroyablement précis, mais lent et gourmand en ressources. Pour effectuer un suréchantillonnage de très haute qualité, rapidement et avec précision, vous avez besoin soit d'un ordinateur polyvalent puissant, soit d'un matériel spécialisé pouvant accélérer le traitement. Par exemple, l'algorithme qu'AURALiC utilise pour suréchantillonner la musique vers le DSD 512 nécessiterait les ressources dédiées d'un ordinateur de bureau puissant et coûteux, sans la mise en œuvre du FPGA présent dans le Sirius. Cela signifierait une chaleur, une puissance et un bruit de ventilateur supplémentaires que nous voulons tous éviter dans une pièce d'écoute.
AURALiC n'est pas la première entreprise à déployer le FPGA pour le traitement audio numérique, Chord le fait depuis des années, et plusieurs entreprises telles que PS Audio et DCS utilisent également des FPGA. L'un des avantages des FPGA est que vous pouvez continuer à mettre à niveau la configuration du FPGA même après la livraison d'un produit. Une configuration FPGA mise à jour peut avoir un impact beaucoup plus important qu'une simple mise à jour logicielle, car elle peut littéralement reconfigurer le matériel au sein de l'appareil. C'est pourquoi PS Audio et DCS peuvent produire des DAC qui restent à jour pendant des années. Chaque fois qu'ils poussent une mise à jour logicielle majeure, la plate-forme DAC/Digital fait un pas en avant significatif. Avec l'intégration du FPGA dans le Sirius, AURALiC se met dans la même position pour pouvoir offrir ces avantages à ses clients, et, espérons-le, permettra au Sirius d'avoir une durée de vie très longue. Il est trop tôt pour savoir si AURALiC exécutera cela, mais l'expérience passée avec eux m'a appris à être optimiste car ils ont l'habitude de prendre en charge et d'ajouter des fonctionnalités aux produits longtemps après leur sortie.

Examiner l'équipement
Tout ce qui est utilisé dans cette revue a été rodé pendant au moins 200 heures. De même, je n'ai commencé à écrire cette critique qu'après 200 heures pour m'assurer que mon point de vue n'était pas teinté par les premières impressions.

Le Sirius G2.1 - Un couteau suisse numérique
Le Sirius G2.1 est un couteau suisse numérique et peut effectuer de nombreuses fondations différentes en fonction de votre objectif final. La seule chose qu'il ne peut pas faire est de passer en mode "passthrough". AURALiC est très clair à ce sujet. Quelle que soit la façon dont vous configurez l'appareil, il y aura un certain niveau de traitement numérique qui se produira entre les entrées et les sorties. Personnellement, j'apprécie vraiment qu'AURALiC soit franc à ce sujet, car d'après mon expérience, je n'ai jamais trouvé de composant vraiment transparent, même s'il dispose d'un "mode passthrough".
Alors que peut faire le Sirius ? Il peut bien sûr suréchantillonner, et il peut changer de format entre PCM et DSD ou vice versa. Il prend en charge jusqu'à DSD 512 et des taux d'échantillonnage PCM jusqu'à 384 kHz. C'est un re-clocker, car toutes ses entrées numériques sont mises en cache, puis resynchronisées en utilisant non pas une mais trois horloges à 72 ips. Le Sirius peut également effectuer une compensation de placement des haut-parleurs et prend en charge la fonctionnalité d'égalisation paramétrique complète. En plus de tout cela, il fournit également un contrôle de volume numérique, et bien qu'il ne soit pas aussi bon qu'un contrôle de volume analogique, lors de mes tests, j'ai trouvé qu'il était préférable d'utiliser un périphérique source (comme un streamer ou un ordinateur) pour contrôler le volume numériquement.
Maintenant, certains d'entre vous peuvent se demander pourquoi vous avez besoin d'un sur échantillonneur. Après tout, de nombreux DAC prennent en charge de nombreux taux d'échantillonnage différents, et beaucoup soutiennent que vous ne pouvez pas "créer ou ajouter des détails" s'il n'y en a pas. Nous parlerons de la partie création/ajout de détails un peu plus tard mais concentrons-nous d'abord sur les autres DAC.
Selon le DAC, vous aurez soit un DAC qui implémente une puce et R2R, soit quelque chose de personnalisé comme un DAC basé sur FPGA. Les DAC à puce sont les plus courants et disposent généralement du moins de ressources de calcul. Il est également vrai que la plupart des DAC ont une fréquence de fonctionnement interne, ce que j'entends par là, c'est que tous les signaux entrant dans le DAC sont suréchantillonnés à une certaine valeur avant que le DAC ne commence réellement le processus de conversion de la musique numérique en analogique. Pour cette raison, de nombreux DAC ont des taux d'échantillonnage d'entrée et des formats qui ont tendance à sonner mieux que les autres. Bien qu'il s'agisse d'une généralisation, je pense que la plupart conviendraient que les DAC basés sur Sabre, par exemple, sonnent mieux lorsqu'ils sont alimentés en DSD, de préférence DSD256 ou DSD512. Alors que les DAC Chord, par exemple, semblent mieux sonner avec un PCM à taux d'échantillonnage élevé. De même Chord, DCS,et les DAC AURALiC ont tendance à mieux sonner lors de l'utilisation du réseau (le cas échéant) ou des entrées USB. Alors que mon Schiit Gungnir Multi-bit sonne mieux avec Digital Coax.
Le génie de ce qu'AURALiC a fait avec le Sirius G2.1 est qu'il vous a fourni une plate-forme numérique qui vous permet d'optimiser et d'adapter le chemin du signal numérique aux forces des fabricants de DAC. Pour les conceptions propriétaires extrêmement haut de gamme comme le DCS Rossini, ces avantages sont moins visibles, mais pour les DAC avec des préférences claires pour l'entrée, le format ou la fréquence d'échantillonnage comme Chord ou Schiit, les différences peuvent être assez étonnantes.
De même, si vous êtes comme moi et que votre système se compose principalement de DAC avec un excellent contrôle de volume intégré, la possibilité de créer des éléments tels que la compensation des haut-parleurs et l'égalisation paramétrique dans la chaîne de signal numérique peut faire une grande différence en faisant confiance à des éléments comme Roon ou Dirac. Difficile après de s’en défaire.
Installation et configuration
Pour cet examen, j'ai connecté l'Aries G2.1 au Sirius G2.1 à l'aide de Lighting Link. J'ai fait des tests en USB ainsi qu'en AES, et comme je m'y attendais, j'ai trouvé peu de différence entre les entrées Sirius G2.1. Ceci est attendu car une grande partie du travail du Sirius G2.1 consiste à s'assurer que chaque entrée est nettoyée autant que possible avant de transmettre des données à l'une de ses sorties. L'avantage de connecter l'Aries G2.1 au Sirius G2.1 via Lighting Link est que vous profitez de la communication bidirectionnelle qui permet à Aries et Sirius d'agir comme un seul appareil. En pratique, l'exécution est vraiment excellente.
Les DAC étaient connectés au Sirius des manières suivantes (un seul était connecté à la fois) :
  1. DCS Rossini – Entrée USB
  2. Accord Dave - USB In
  3. Accord Hugo 2 – Entrée USB
  4. Schiit Gungnir Multi-Bit – Entrée coaxiale numérique
J'ai essayé d'autres entrées pour chacun des DAC ci-dessus, mais ce sont les entrées sur lesquelles je me suis installé. Alors que je parlerai du Sirius et de son impact sur le son de chacun des DAC ci-dessus.
Avant de plonger dans la façon dont le Sirius interagissait avec chacun des DAC ci-dessus, je veux parler des caractéristiques qui semblaient être universellement vraies lorsque Sirius était dans la chaîne de signal, sans rapport avec le DAC et même la fréquence d'échantillonnage.
La première chose que j'ai remarquée était le fond noir. Peu importe le DAC que j'ai placé devant le Sirius, à chaque fois j'ai été vraiment surpris de voir à quel point l'arrière-plan était silencieux, ce qui a permis une plus grande sensation d'espace et de séparation. L'autre chose que j'ai remarquée, c'est ce qu’il semblait que les basses moyennes et hautes étaient plus prononcées. Avec le Sirius dans la chaîne du signal, la musique avait simplement un plus grand sens de l'entraînement et du rythme. C'était encore une fois universel et a été confirmé lorsque ma femme est entrée et m'a demandé si j'avais augmenté les basses. J'ai vérifié et je me suis assuré que le PEQ était désactivé et qu'aucun autre égaliseur n'était actif. Il est également important de noter que ce que j'ai entendu ne ressemblait pas à un égaliseur, cela sonnait plus naturel, presque comme si ce lecteur était toujours là et attendait juste quelque chose comme le Sirius G2.1 pour le découvrir.
Ce lecteur supplémentaire n'est cependant pas tout à fait amusant et bon. Alors que j'aimais les effets qu'il avait sur mes haut-parleurs, en écoutant au casque, j'ai trouvé que c'était un peu plus lourd que ce que je voulais. Bien qu'il m'ait été facile d'échanger des tubes sur mon amplificateur de casque pour affiner la présentation des médiums et des médiums inférieurs, ceux qui disposent d'options moins personnalisables doivent se demander s'ils bénéficieraient de ce lecteur supplémentaire. Si vous pensez que vous aimerez, alors j'ai le pressentiment que vous aimerez le Sirius. Il est également important de noter que le PEQ intégré de Sirius vous permettra de le rappeler si vous le souhaitez.
L'autre chose qui semblait être universellement vraie était que les aigus étaient rendus d'une manière incroyablement douce et analogique. Toute trace de dureté disparut. D'après ce que j'ai entendu, ce n’était pas un détail.
En général, j'ai trouvé les scènes sonores améliorées de Sirius G2.1 et livré une musique plus dynamique et vivante. J'ai pu écouter de la musique beaucoup plus longtemps à des volumes plus élevés, ce que j'ai appris est l'un des meilleurs moyens de savoir si un processeur numérique fait son travail.
Le Sirius et le Schiit Gungnir Multi-bit
Pour être clair, le Sirius et le Schiit Gungnir Multi-bit (Gumby) sont un jumelage idiot. Le Sirius coûtant près de 7 fois le coût du Gumby, il est bien plus approprié d'acheter un meilleur DAC, et je pense que la plupart seraient d'accord avec cette affirmation. Au lieu de cela, le but de ce test est de comprendre si la thèse d'AURALiC est correcte. Pouvez-vous améliorer le son d'un DAC en déchargeant la majorité du traitement numérique sur un système externe, en optimisant la sortie en fonction de la fréquence d'échantillonnage préférée du DAC et en dérivant le singulier via l'entrée préférée ? Si vous le pouvez, un DAC moins cher devrait être plus facile à repérer les améliorations.
La réponse est oui, vous pouvez. D'après mon expérience avec le Gumby, il sonne mieux lorsqu'il est alimenté à des fréquences d'échantillonnage comprises entre 176 kHz et 192 kHz. Il a également tendance à mieux sonner sur l'entrée numérique coaxiale (My Gumby a USB Gen 5 qui, bien que bon, est toujours battu par le coaxial avec une bonne source). La configuration du Sirius avec ses sorties numériques activées, la conversion de DSD en PCM et le suréchantillonnage de PCM en 176 kHz ou 192 kHz n'ont pris que quelques minutes via le menu à l'écran.
Après m'être assis et avoir appuyé sur play, j'ai été un peu choqué de voir à quel point les choses dynamiques ont commencé à apparaître. J'ai toujours aimé le Gumby, mais pour être honnête, il a toujours été un peu sec, et je ne l'appellerais jamais le DAC le plus dynamique ou le plus dur. J'aurais dit que c'est un DAC neutre, qui penche légèrement vers la gauche du neutre, peut sonner un peu dur sur des enregistrements moins importants et fournit une belle réponse des basses, mais manque de détails dans les basses.
Avec le Sirius dans le mix, beaucoup de ce qui précède a changé. J'ai trouvé que le DAC sonnait maintenant légèrement à droite du neutre, et que le haut de gamme était complètement apprivoisé. Peu importe ce que je jouais, le son était doux et étendu, et ce n'est qu'avec des volumes beaucoup plus élevés que j'ai trouvé du grain dans les aigus. Le plus gros changement pour moi a été la présentation des basses. Il s'est resserré, a commencé plus profondément et a fourni plus de détails.
Pour m'assurer que le Sirius était vraiment la cause de toute cette excitation, j'ai essayé de le supprimer et de passer directement du Aries G2.1 au Gumby. Alors que le Bélier a fourni certains des points positifs, tels qu'un dessus plus lisse et un arrière-plan légèrement plus sombre (cela est dû à l'isolation du bruit extrêmement bien exécutée et à la fonctionnalité de suppression de la gigue qu'AURALiC a intégré au Bélier G2), la magie dynamique et l'excitation a été perdu. Le Gumby était redevenu un DAC juste à gauche du neutre, et la transformation que j'avais eue avec le Sirius dans le circuit a disparu.
Le Sirius et le Hugo 2
Avant de commencer cette section, il est important de savoir que je pense que le Hugo 2 est l'un des meilleurs DAC que j'ai entendu à tout prix. Il fait simplement tout ce que je veux qu'il fasse, et il le fait incroyablement bien.
Les DAC Chord sont tous axés sur une résolution subtile. Ce que je veux dire par là, c'est qu'ils fournissent une quantité massive de détails, mais n'attirent pas autant l'attention sur ce détail. C'est comme regarder un téléviseur dont le réglage de netteté est parfaitement réglé. Lorsque vous regardez l'image, les détails apparaissent de manière naturelle, mais votre attention n'est pas artificiellement attirée sur eux.
S'asseoir et appuyer sur play était une expérience similaire, mais moins perceptible, à mettre le Sirius devant le Gumby. Il semblait que la plage dynamique du Hugo 2 avait fait un pas en avant de manière positive. Le Hugo 2 a également perdu le peu de grain qui existait dans le haut de gamme. J'ai toujours trouvé la présentation des basses du Hugo 2 un peu plus légère, très détaillée, mais plus légère. Bien que je ne pense pas que Sirius ait ajouté des détails sur les basses, il a fourni une augmentation de la quantité de basses, ce qui était bienvenu. Le résultat a encore une fois déplacé le Hugo 2, cette fois non pas plus chaud mais vers un son plus naturel et sans effort.
La raison pour laquelle c'est important, c'est parce que c'est un son que j'associe au Dave et au M Scaler, ou au DCS Rossini. Je ne dis pas le Hugo 2 + Sirius = Dave/M Scaler ou Rossini, mais la qualité naturelle qui, selon mon expérience, est aussi réservée aux systèmes DAC/Digital de 12 000 $ + a été obtenue avec le Sirius et Hugo 2 pour environ 9 500 $, ce qui est tout simplement impressionnant.
Bien que je n'aie pas passé beaucoup de temps à faire fonctionner le Hugo 2 sur le Chord M Scaler (je n'ai pas de câble double BNC vers un mini câble numérique coaxial), j'ai passé un week-end à les écouter ensemble, et de mémoire, le Sirius a produit un très résultat différent.
Avec le M Scaler, dont nous parlerons plus en détail ci-dessous, je trouve qu'il augmente la netteté. Vous obtenez tous les détails pour lesquels Chord est connu et vous obtenez une scène sonore gravée dans l'espace. Mais la clé est qu'elle est gravée, les bords sont durs, et bien que l'image soit claire, les détails sont sur votre visage et avec un mauvais enregistrement, cela peut être trop. Le Sirius a adopté une approche différente, et bien que je ne sois pas sûr qu'il ait fait ressortir le même niveau de détail dans le Hugo 2, il a plutôt apporté plus de profondeur et plus d'énergie. Si je devais choisir entre le M Scaler et le Sirius pour une écoute longue durée avec le Hugo 2, le Sirius serait probablement ma préférence.
Le Sirius et l'accord Dave
Le Chord Dave et le M Scaler sont les piliers de mon système depuis quelques années maintenant. Ils constituent un front-end numérique de fin de jeu exceptionnel. La chose que j'ai apprise très tôt sur le M Scaler, c'est qu'il semblait ajouter du grain autour des aigus. Ce n'est pas trop perceptible au début, mais avec le temps, vous vous rendez compte qu'il y a quelque chose qui ne devrait pas être. On pense que ce phénomène est dû aux interférences électriques induites par les deux câbles BNC utilisés pour connecter le M Scaler au Dave. Pour certains, ils ne le remarqueront jamais, et pour ceux qui le font, la seule solution que j'ai trouvée pour résoudre ce problème est un ensemble de câbles que j'ai examinés dans le passé appelé les câbles Wave BNC ( ICI ). Mes réflexions sur le Chord Dave et le M Scaler sont basées sur le fait d'avoir ces câbles dans mon système, alors gardez cela à l'esprit.
Pour le Dave, j'ai connecté le Sirius via USB. J'ai essayé toutes les autres sorties car j'étais curieux, mais j'ai personnellement trouvé que l'USB sonnait bien, et j'ai un câble USB dont je suis un grand fan, ce qui a fini par être ma solution préférée. Pour le premier tour d'écoute, j'ai réglé le Sirius pour suréchantillonner en DXD, et j'ai configuré le Sirius pour convertir le DSD en DXD, puis j'ai appuyé sur play.
Semblable à la façon dont j'ai décrit le Hugo 2 ci-dessus, les détails de Dave et M Scaler sont gravés dans l'espace qui vous entoure. Le Dave est plus naturel dans sa façon de le faire. Il produit une scène sonore massive, que ce soit avec des haut-parleurs ou des écouteurs, et de loin l'image la plus stable que j'aie entendue.
Cependant, il fait ce qui précède au prix d'être agressif, les bords sont tranchants, et bien qu'il soit excitant, cela peut parfois être trop. Ce n'est pas non plus le combo frontal numérique le plus riche en tonalités, il n'est pas sec, mais il ne me saisit pas comme le Rossini me saisit. Il ne fait pas le lien émotionnel.
Le Sirius a changé cela pour moi. Cela a amené le Dave dans une direction différente. Au lieu d'une scène sonore gravée, j'ai eu quelque chose de plus subtil. Certains détails n'étaient pas présents, mais je ne peux pas dire que j'ai raté les détails car le résultat était plus agréable à mes oreilles. J'ai plus d'espace et j'ai une définition et une quantité de basses que je n'associe pas aux DAC Chord. Le Sirius et le Dave étaient mon combo préféré pour cette période d'examen. J'ai vraiment aimé la façon dont ils se sont réunis. Les caractéristiques plus chaudes et plus excitantes que le Sirius a apporté à la table se mélangeaient vraiment bien avec l'approche détaillée et plus froide du Dave, et le résultat était une très belle combinaison.
Si vous avez un Dave, je pense que cela vaut la peine d'auditionner un Sirius. Le M Scaler est génial, mais il n'est pas évolutif via une mise à niveau du micrologiciel en direct, là où se trouve le Sirius. Le M Scaler n'offre pas toutes les fonctionnalités supplémentaires du Sirius. Pour cette fonctionnalité supplémentaire et ce châssis plus agréable, le Sirius est plus cher, mais je pense que les résultats parlent d'eux-mêmes du point de vue sonore.
De plus, bien que le M Scaler puisse être utilisé avec d'autres DAC, il n'est pas censé l'être. Le Sirius, en revanche, ne fait aucune hypothèse sur le DAC auquel il sera branché.
Le Sirius et le DCS Rossini
Semblable au combo Gumby et Sirius, le combo DCS Rossini et Sirius est étrange. Si vous achetez DCS DAC, vous allez probablement également acheter un suréchantillonneur auprès de DCS. Cependant, je voulais voir si le frontal AURALiC pouvait améliorer le rendement déjà exceptionnel du DCS Rossini et même si ce n'était pas le cas, je voulais toujours avoir une idée de la différence.
Le DCS Rossini a une signature sonore qui, à mon avis, ressemble nettement à un DAC. Il produit des détails sans sonner gravés ou durs. Semblable au son de Dave et Sirius, mais avec un peu plus d'âme dans le milieu de gamme. Le Dave peint des scènes sonores larges et expansives, le Rossini peut le faire, mais seulement si l'enregistrement est censé être large et expansif, et sinon, il produit un espace intime. C'est la capacité du Rossini à changer de caractéristiques qui en fait le roi de ma collection de DAC.
En branchant le Rossini sur le Sirius via USB, j'ai choisi de tout suréchantillonner vers DSD128. Les résultats étaient un peu moins détaillés que DXD, mais incroyablement fluides. Comme tous les DAC, le Sirius branché sur les basses a fait un pas en avant, en particulier les médiums. Dans le Rossini, cela était très visible car cela changeait la signature sonore d'un DAC presque parfaitement neutre à un DAC peu chaud.
Pour corriger cela, j'ai réglé le mappeur sur M1 (à mon avis, cela produit un son plus froid) et je me suis assuré que le sur-échantillonneur interne du DCS était réglé sur DSD pour éviter autant de traitement supplémentaire que possible. Le résultat était incroyablement intéressant car il rendait le Rossini tellement plus amusant. C'était un bon moment en tapant du pied. En écoutant Mika's Live at Brooklyn Steel , l'une de mes chansons préférées "Tomorrow" était tout simplement plus amusante et plus excitante que je ne l'avais entendue auparavant.
Cette excitation a cependant eu un prix. Lors de l'utilisation de mes haut-parleurs, le coup de pied des basses moyennes a dynamisé la pièce, avec un casque, c'était un peu trop. La scène sonore est restée la même et le Rossini a pu se transformer de grand et expansif en petit personnel comme il l'a toujours fait.
Les résultats de la commutation du Sirius pour toujours suréchantillonner à l'aide de DXD ont fourni à peu près les mêmes avantages. Cela a également permis d'utiliser des filtres numériques plus complexes du côté du Rossini, ce qui a également amélioré mon expérience d'écoute.
Je pense que le fait que le Sirius ait pu apporter des améliorations au Rossini, et surtout ne pas nuire au Rossini, témoigne de la qualité et du sérieux avec lequel AURALiC a approché le Sirius. Comme je l'ai dit au début de cette section, l'objectif n'était pas de tester une paire probable du monde réel, mais de voir si le Sirius pouvait s'asseoir dans le même rack que l'un des noms les plus connus de l'audio numérique, et la réponse était oui. L'équipe AURALiC devrait être incroyablement fière. De même, si vous avez un DCS Rossini ou Bartok et que vous souhaitez ajouter un peu de chaleur ou un peu plus de quantité de basses, le Sirius peut valoir la peine d'être auditionné, mais je m'attendrais à ce que les résultats ne soient pas nettement meilleurs, simplement différents.

égaliseur
Pendant mon séjour avec le Sirius, j'ai testé la fonctionnalité d'égalisation paramétrique et la compensation de placement des haut-parleurs. Bien que je n'aie pas tendance à égaliser mes enceintes (je préfère traiter la pièce si possible), j'ai sorti mon microphone de mesure et REW et effectué quelques mesures et corrigé quelques zones problématiques en dessous de 200hz dans ma pièce. Après avoir fait les corrections, j'ai re-mesuré et les corrections ont été appliquées correctement.
J'ai ensuite fait la même chose dans le DSP de Roon, vérifié les mesures, puis comparé les deux approches différentes. Je n'ai jamais aimé utiliser le DSP de Roon. Bien que cela fonctionne bien, je trouve toujours que la musique prend des propriétés tonales différentes lors du passage par le Roon DSP. Avec le Sirius, je ne pouvais pas dire si le DSP était activé ou non (autre que la meilleure réponse des basses pour ma pièce). Les DSP ne sont évidemment pas censés être transparents, mais la mise en œuvre d'AURALiC m'a vraiment rendu difficile d'entendre les signes révélateurs d'un traitement de signal supplémentaire.
conclusion
Le Sirius G2.1 est une offre numérique sérieuse d'AURALiC. J'ai toujours trouvé que ces produits étaient des leaders de classe, mais avec le Sirius, AURALiC a créé un produit qui a le potentiel d'améliorer considérablement toute expérience utilisant un DAC. Pour ce faire, il transfère le traitement complexe nécessaire au suréchantillonnage ou à la conversion de format vers le DAC et vers du matériel dédié.
Pour trois de mes quatre DAC, le Sirius a apporté des améliorations bienvenues qui, dans certains cas, les faisaient ressembler à des DAC qui étaient environ le double de leur prix de vente au détail. Alors que j'emballais le Sirius et le Aries G2.1 pour les remettre à AURALiC, je me sentais triste. Il est rare que quelque chose d'aussi intéressant et polyvalent apparaisse à ma porte et j'espère qu'un jour il sera de retour pour rester.
HP:Tannoy GRS bicâblage:apertura et auditorium 23 amplis:blocs mono Tsakiridis Apollon "ultima" caisson:JLAudio câble audio Chord Shawline DAC:Lampizator Amber3 câble USB:Odeion Omicron source:Nucleus roon Upsampler:Sirius 2.1 d'Auralic ligne secteur dédiée:câble dble blindage meuble HIFI: DIY suspendu charpente
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