11-08-2025, 06:18 PM
(Modification du message : 11-09-2025, 09:22 AM par Steph44200.)
The Saxophones - No Time For Poetry [2025]
![[Image: ytk69kv9mofab-600.jpg]](https://i.ibb.co/Ld63TdTM/ytk69kv9mofab-600.jpg)
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Superbe.
CHRONIQUE : NO TIME FOR POETRY - THE SAXOPHONES
Qu’il est doux d’entendre les Saxophones de nouveau. Le couple à la ville comme à la scène formé par Alexi Erenkov et Alison Alderdice, plutôt rares au disque, est de retour avec un quatrième album de pop hors d’âge aux sujets bien actuels. Avec No Time For Poetry, les Californiens font ce qu’ils savent faire de mieux : des chansons poétiques bien charnues à l’essence fifties et aux textes sans équivoque, embaumées par la voix de crooner d’Erenkov. On se téléporte illico dans un temps où la gomina graisse les cheveux, où l’on pourrait traverser des déserts en Mustang le cœur battant. Entre jazz et pop orchestrale, romantisme atmosphérique à la Richard Hawley et le minimalisme d’un Leonard Cohen, le spleen des amoureux s’infuse en nous grâce à des guitares cristallines, des percussions scintillantes (Too Big To California), des bois discrets (une flûte alto, une clarinette), des synthés doux, et des tempos lents comme suspendus. L’ambiance se noircit à mi-parcours avec l’interlude instrumental I Fought The War, qui annonce la noirceur du synthétique Peace with Power ou encore la ballade tourmentée America’s the Victim, avant de clôturer dans la chaleur intime du saxophone du morceau-titre. Magique. © Charlotte Saintoin/Qobuz
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Qu’il est doux d’entendre les Saxophones de nouveau. Le couple à la ville comme à la scène formé par Alexi Erenkov et Alison Alderdice, plutôt rares au disque, est de retour avec un quatrième album de pop hors d’âge aux sujets bien actuels. Avec No Time For Poetry, les Californiens font ce qu’ils savent faire de mieux : des chansons poétiques bien charnues à l’essence fifties et aux textes sans équivoque, embaumées par la voix de crooner d’Erenkov. On se téléporte illico dans un temps où la gomina graisse les cheveux, où l’on pourrait traverser des déserts en Mustang le cœur battant. Entre jazz et pop orchestrale, romantisme atmosphérique à la Richard Hawley et le minimalisme d’un Leonard Cohen, le spleen des amoureux s’infuse en nous grâce à des guitares cristallines, des percussions scintillantes (Too Big To California), des bois discrets (une flûte alto, une clarinette), des synthés doux, et des tempos lents comme suspendus. L’ambiance se noircit à mi-parcours avec l’interlude instrumental I Fought The War, qui annonce la noirceur du synthétique Peace with Power ou encore la ballade tourmentée America’s the Victim, avant de clôturer dans la chaleur intime du saxophone du morceau-titre. Magique. © Charlotte Saintoin/Qobuz
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