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Wireshark au secours de votre SQ… avant que votre DAC ne fasse la gueule !
Cher(e) audiophile en quête de perfection,
Vous avez investi dans un câble en cuivre oxygène-free, un routeur en titane aérospatial, et un streamer qui coûte plus cher qu’une voiture d’occasion… mais votre musique sautille comme si elle avait bu trois expressos ?
Peut-être que votre réseau, lui, n’a pas lu les bons manuels.
Heureusement, KIKIWILYBIE nous tend Wireshark — pas une baguette magique, mais presque.
La méthode "Docteur Réseau"
1. Capturez le bon trafic… pas les pubs YouTube de votre ado
- Lancez Wireshark sur votre interface réseau (Ethernet de préférence — le Wi-Fi, c’est joli, mais capricieux).
- Filtrez uniquement le trafic audio avec :
```udp portrange 16384-32767```
→ Parce qu’on veut analyser RTP, pas les 47 mises à jour de Windows en arrière-plan.
2. Analysez comme un pro (ou comme un geek très motivé)
Allez dans `Telephony > RTP > RTP Streams`, puis cliquez sur "Analyze".
Wireshark vous livre alors le verdict :
- Perte de paquets : < 1 % → sinon, votre voix (ou votre Mahler) se transforme en radio brouillée.
- Jitter: < 30 ms → au-delà, les paquets arrivent comme des invités en retard à un dîner silencieux.
- Latence : < 150 ms → parce que même Beethoven n’apprécierait pas un écho posthume.
Rappel : un flux audio de qualité, c’est comme un orchestre —tout le monde doit jouer en même temps, pas “quand ça leur chante”.
3. Diagnostiquez les traîtres du réseau- Isolez la conversation entre votre source et votre lecteur avec un filtre IP.
- Cherchez les retransmissions TCP ou les paquets perdus — souvent la faute d’un switch fatigué, d’un câble mal câblé… ou d’un voisin qui télécharge *toute la filmographie de Marvel* en 8K.
4. Écoutez le résultat… oui, vraiment
Wireshark peut rejouer le flux audio capturé (`Telephony > VoIP Calls > Play Stream`).
C’est le moment de vérifier si votre MOS (Mean Opinion Score) vaut plus que “ça crachote, mais j’entends quand même la basse”.
Les seuils sacrés (selon les normes… et le bon sens)
- Jitter : ≤ 30 ms
- Perte : ≤ 1 %
- Latence : ≤ 150 ms
→ Au-delà ? Votre SQ devient SQuiet… parce qu’il n’y a plus grand-chose à écouter.
Conclusion
Wireshark ne remplacera pas votre ampli, mais il pourrait bien sauver votre écoute du dimanche matin.
En quelques clics, vous passez de “pourquoi ça sonne comme dans un tunnel ?”
, c’était donc ce switch bon marché !”.
Alors, avant de blâmer votre DAC, interrogez votre réseau.
Parce que même le meilleur convertisseur du monde ne peut pas rattraper un paquet perdu… ni un jitter qui danse la salsa.
Happy streaming, mes amis — et que le jitter soit avec vous !
Cher(e) audiophile en quête de perfection,
Vous avez investi dans un câble en cuivre oxygène-free, un routeur en titane aérospatial, et un streamer qui coûte plus cher qu’une voiture d’occasion… mais votre musique sautille comme si elle avait bu trois expressos ?
Peut-être que votre réseau, lui, n’a pas lu les bons manuels.
Heureusement, KIKIWILYBIE nous tend Wireshark — pas une baguette magique, mais presque.
La méthode "Docteur Réseau"
1. Capturez le bon trafic… pas les pubs YouTube de votre ado
- Lancez Wireshark sur votre interface réseau (Ethernet de préférence — le Wi-Fi, c’est joli, mais capricieux).
- Filtrez uniquement le trafic audio avec :
```udp portrange 16384-32767```
→ Parce qu’on veut analyser RTP, pas les 47 mises à jour de Windows en arrière-plan.
2. Analysez comme un pro (ou comme un geek très motivé)
Allez dans `Telephony > RTP > RTP Streams`, puis cliquez sur "Analyze".
Wireshark vous livre alors le verdict :
- Perte de paquets : < 1 % → sinon, votre voix (ou votre Mahler) se transforme en radio brouillée.
- Jitter: < 30 ms → au-delà, les paquets arrivent comme des invités en retard à un dîner silencieux.
- Latence : < 150 ms → parce que même Beethoven n’apprécierait pas un écho posthume.
Rappel : un flux audio de qualité, c’est comme un orchestre —tout le monde doit jouer en même temps, pas “quand ça leur chante”.
3. Diagnostiquez les traîtres du réseau- Isolez la conversation entre votre source et votre lecteur avec un filtre IP.
- Cherchez les retransmissions TCP ou les paquets perdus — souvent la faute d’un switch fatigué, d’un câble mal câblé… ou d’un voisin qui télécharge *toute la filmographie de Marvel* en 8K.
4. Écoutez le résultat… oui, vraiment
Wireshark peut rejouer le flux audio capturé (`Telephony > VoIP Calls > Play Stream`).
C’est le moment de vérifier si votre MOS (Mean Opinion Score) vaut plus que “ça crachote, mais j’entends quand même la basse”.
Les seuils sacrés (selon les normes… et le bon sens)
- Jitter : ≤ 30 ms
- Perte : ≤ 1 %
- Latence : ≤ 150 ms
→ Au-delà ? Votre SQ devient SQuiet… parce qu’il n’y a plus grand-chose à écouter.
Conclusion
Wireshark ne remplacera pas votre ampli, mais il pourrait bien sauver votre écoute du dimanche matin.
En quelques clics, vous passez de “pourquoi ça sonne comme dans un tunnel ?”
, c’était donc ce switch bon marché !”.
Alors, avant de blâmer votre DAC, interrogez votre réseau.
Parce que même le meilleur convertisseur du monde ne peut pas rattraper un paquet perdu… ni un jitter qui danse la salsa.
Happy streaming, mes amis — et que le jitter soit avec vous !